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Donc 3 choix :
- vous restez au effectif de l'entreprise en continuant à adresser des arrêts de travail à votre employeur, si votre médecin prescripteur trouve que votre état de santé le justifie. La cpam ne les prendra pas en compte (c'est à dire pas d'ijss mais versement de la pension d'invalidité). Et selon les conditions prévues à votre contrat prévoyance de l'entreprise, il est peut être prévu un complément à votre pension invalidité.
- fin de l'arrêt de travail - votre employeur organise une visite de reprise à la médecine du travail - avis d'aptitude vous retournez à votre travail ; un avis d'inaptitude = procédure de reclassement etc .... licenciement éventuel avec donc indemnisation Pôle Emploi. N'ayant jamais cumulé votre invalidité cat 2 avec votre activité salariée, Pôle Emploi déduira de vos allocations le montant de votre pension invalidité cat 2.Quant à votre prévoyance elle se basera sur le montant qu'elle doit vous indemniser (souvent maximum 80% du salaire brut de référence) ; elle recalculera donc votre indemnisation pour ne pas dépasser ce montant.
- vous proposez une rupture conventionnelle à votre employeur (certains vous diront que la rupture conventionnelle est proposée par l'employeur et non par le salarié - la question n'est absolument pas là - la rupture conventionnelle doit être acceptée par les 2 parties peu importe qui la propose) - vous vous retrouvez dans le même cas de figure que pour une inaptitude pour maladie simple. Donc pas de différence entre une inaptitude pour maladie simple ou une rupture conventionnelle pour les indemnités de licenciement ; mis à part les délais et la possibilité de reclassement si le médecin du travail n'indique pas que le maintien du salarié dans un emploi serait gravement préjudiciable à son état de santé ; que l'état de santé du salarié fait obstacle à tout reclassement dans un emploi.
Bonne soirée