Altercation avec le directeur en dehors de mes heures de travail
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Bonjour,
je viens vers vous aujourd'hui car je viens d'avoir une altercation avec mon employeur, je vous fais un rapide historique de la situation.
Je tombe malade la semaine dernière, le médecin m'arrête quelques jours. Suite à une surinfection, il me prolonge mon arrêt initial.
Je travail en restauration rapide.
Aujourd'hui, mon lieu de travail se trouvant tout près de chez moi, et les aillant tenu au courant de cette prolongation d'arrêt hier au téléphone, je décide d'aller déposer mon arrêt en main propre, aillant quelques courses à faire dans les alentours.
Mais là, mon directeur me tombe dessus, me demandant si, je cite "J'ai pas mal au cul de venir", qu'il est hors de question que je commande, qu'on ne me servira pas, et quand bien même, que je n'aurai pas la réduction qui m'est dût (étant employé.)
Je lui demande donc de, toujours sous citation, "se détendre", lui expliquant que je suis en arrêt, pas à mon poste, et qu'il n'est pas en droit de me parler comme ça, et lui tourne le dos.
Il continue tout de même ses reflexions (il se trouvais derrière moi.), me disant qu'on ne prendrais pas ma commande, que "j'ai vraiment pas mal au cul d'osé venir au restaurant (pour déposer mon arrêt à la base, je le rappelle.)"
Craquage extrème, je le confesse, je l'ai invité à "Aller se faire en**ler".
Là il me suis jusqu'à dehors, m'ordonne de rester là, me disant que je l'ai insulté devant deux témoins (ses subordonnés directs), que ça va pas se passer comme ça, que quand je vais revenir de mon ârret, ça va être ma fête, qu'on aura une bonne discussion, et que de toute manière, "ça va te tomber dessus, y'a eu deux témoins."
Alors voilà, ma question est là suivante :
Etait-il déjà, pour commencer, en droit de refuser de me servir ?
Et aussi, est-ce que j'encours un quelconque danger, une sanction ? sachant que je suis en arrêt depuis quelques jours, et que je le suis toujours pendant encore quelques jours.
à la base, j'aurai bien imaginé que non, étant donné que je ne travaillais pas, et que donc je ne suis pas son subordonné à l'instant T.
Mais le fait qu'il insiste bien sur le fait qu'il y ai deux témoins me fait douter.
merci d'avance pour vos réponses, si réponses il y à.
je viens vers vous aujourd'hui car je viens d'avoir une altercation avec mon employeur, je vous fais un rapide historique de la situation.
Je tombe malade la semaine dernière, le médecin m'arrête quelques jours. Suite à une surinfection, il me prolonge mon arrêt initial.
Je travail en restauration rapide.
Aujourd'hui, mon lieu de travail se trouvant tout près de chez moi, et les aillant tenu au courant de cette prolongation d'arrêt hier au téléphone, je décide d'aller déposer mon arrêt en main propre, aillant quelques courses à faire dans les alentours.
Mais là, mon directeur me tombe dessus, me demandant si, je cite "J'ai pas mal au cul de venir", qu'il est hors de question que je commande, qu'on ne me servira pas, et quand bien même, que je n'aurai pas la réduction qui m'est dût (étant employé.)
Je lui demande donc de, toujours sous citation, "se détendre", lui expliquant que je suis en arrêt, pas à mon poste, et qu'il n'est pas en droit de me parler comme ça, et lui tourne le dos.
Il continue tout de même ses reflexions (il se trouvais derrière moi.), me disant qu'on ne prendrais pas ma commande, que "j'ai vraiment pas mal au cul d'osé venir au restaurant (pour déposer mon arrêt à la base, je le rappelle.)"
Craquage extrème, je le confesse, je l'ai invité à "Aller se faire en**ler".
Là il me suis jusqu'à dehors, m'ordonne de rester là, me disant que je l'ai insulté devant deux témoins (ses subordonnés directs), que ça va pas se passer comme ça, que quand je vais revenir de mon ârret, ça va être ma fête, qu'on aura une bonne discussion, et que de toute manière, "ça va te tomber dessus, y'a eu deux témoins."
Alors voilà, ma question est là suivante :
Etait-il déjà, pour commencer, en droit de refuser de me servir ?
Et aussi, est-ce que j'encours un quelconque danger, une sanction ? sachant que je suis en arrêt depuis quelques jours, et que je le suis toujours pendant encore quelques jours.
à la base, j'aurai bien imaginé que non, étant donné que je ne travaillais pas, et que donc je ne suis pas son subordonné à l'instant T.
Mais le fait qu'il insiste bien sur le fait qu'il y ai deux témoins me fait douter.
merci d'avance pour vos réponses, si réponses il y à.
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- Demande de mutation travail - Guide
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2 réponses
Bonjour,
je le confesse, je l'ai invité à "Aller se faire en**ler".
En arrêt ou pas, une insulte devant témoins mérite un dépôt de plainte.
Votre retour dans l'entreprise s'annonce très difficile et surtout insupportable.
je le confesse, je l'ai invité à "Aller se faire en**ler".
En arrêt ou pas, une insulte devant témoins mérite un dépôt de plainte.
Votre retour dans l'entreprise s'annonce très difficile et surtout insupportable.
D’accord, donc demander des reponses ici n’est pas clairement utile quoi.
J’viens poser une question sérieuse a la base, j’demande pas la lune, juste des repondes.
J’viens poser une question sérieuse a la base, j’demande pas la lune, juste des repondes.
Salut
Et non, le parton ne fait ce que bon lui semble, et il n'est pas libre de mettre dehors qui il veux.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGIARTI000020869785/2010-06-28/
Pour le reste, vous êtes mal barré, votre responsable peut se retourner contre vous pour l'insulte. Et quand bien même, il à malheureusement le pouvoir de vous pourrir la vie au quotidien jusqu'à ce que vous craquiez.
le patron est le chef de son établissement.
Donc il dirige son établissement comme bon lui semble.
Si "un client " ne lui convient pas, il est libre de le mettre dehors.
Et non, le parton ne fait ce que bon lui semble, et il n'est pas libre de mettre dehors qui il veux.
Il est interdit de refuser à un consommateur la vente d'un produit ou la prestation d'un service, sauf motif légitime, et de subordonner la vente d'un produit à l'achat d'une quantité imposée ou à l'achat concomitant d'un autre produit ou d'un autre service ainsi que de subordonner la prestation d'un service à celle d'un autre service ou à l'achat d'un produit dès lors que cette subordination constitue une pratique commerciale déloyale au sens de l'article L. 120-1.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGIARTI000020869785/2010-06-28/
Pour le reste, vous êtes mal barré, votre responsable peut se retourner contre vous pour l'insulte. Et quand bien même, il à malheureusement le pouvoir de vous pourrir la vie au quotidien jusqu'à ce que vous craquiez.
Le fait est qu’il a insisté, m’as lancé des piques et des piques avant que j´en arrive a ce point.
Était-il dans son droit, a me refuser de commander ?
Et tant qu’a faire, semantiquement parlant, inviter quelqu’un a pratiquer la sodomie n’est en rien une insulte.
Là vous y aller un peu fort et ça va ....faire très mal.
Je confirme une attitude qui portera préjudice c'est indéniable.
Je doute que votre employeur vous accueil avec un grand sourire.