3 réponses
Bonjour, étonnant de la part du papa.
Depuis combien de temps est en place cette garde alternée ?
Avait il quelque chose a reprocher a ce système ?
Y avait il un jugement du JAF pour cette garde ?
L'adolescence est compliquer pour tout les ados et encore plus pour ceux victime de séparation. Ils ne trouvent pas leur place au seins d'une "famille" qui n'est plus sur la même longueur d'onde.
Avec votre ex, étiez vous d'accords sur l'éducation etc ? ou y avait-il des désaccords ?
Souvent les jeunes vont ou les contraintes sont moindres.
Je pense que ces jeunes et c'est surement le cas de votre fille, sont en avance sur le fait d'être confronter aux problèmes relationnel, et ne savent pas comment les gérer alors qu'ils en comprennent les enjeux.
Si je peux me permettre de vous donner un conseil, c'est de rester en contact avec votre fille du mieux possible sans parler de ce qu'il se passe dans un premier temps, qu'elle ne sente pas encore plus responsable de la situation et de votre mal être.
Nous nous posons la question aussi d'affronter un JAF sans avocats, nous n'avons pas les moyens d'en prendre un, mais trop de moyen pour avoir l'aide juridictionnelle, alors nous subissons la situation aussi en attendant des jours meilleurs.
Bon courage.
Depuis combien de temps est en place cette garde alternée ?
Avait il quelque chose a reprocher a ce système ?
Y avait il un jugement du JAF pour cette garde ?
L'adolescence est compliquer pour tout les ados et encore plus pour ceux victime de séparation. Ils ne trouvent pas leur place au seins d'une "famille" qui n'est plus sur la même longueur d'onde.
Avec votre ex, étiez vous d'accords sur l'éducation etc ? ou y avait-il des désaccords ?
Souvent les jeunes vont ou les contraintes sont moindres.
Je pense que ces jeunes et c'est surement le cas de votre fille, sont en avance sur le fait d'être confronter aux problèmes relationnel, et ne savent pas comment les gérer alors qu'ils en comprennent les enjeux.
Si je peux me permettre de vous donner un conseil, c'est de rester en contact avec votre fille du mieux possible sans parler de ce qu'il se passe dans un premier temps, qu'elle ne sente pas encore plus responsable de la situation et de votre mal être.
Nous nous posons la question aussi d'affronter un JAF sans avocats, nous n'avons pas les moyens d'en prendre un, mais trop de moyen pour avoir l'aide juridictionnelle, alors nous subissons la situation aussi en attendant des jours meilleurs.
Bon courage.