Succession
malarmee
Messages postés
7
Date d'inscription
vendredi 15 janvier 2016
Statut
Membre
Dernière intervention
22 avril 2016
-
16 janv. 2016 à 01:32
malarmee Messages postés 7 Date d'inscription vendredi 15 janvier 2016 Statut Membre Dernière intervention 22 avril 2016 - 16 janv. 2016 à 10:43
malarmee Messages postés 7 Date d'inscription vendredi 15 janvier 2016 Statut Membre Dernière intervention 22 avril 2016 - 16 janv. 2016 à 10:43
A voir également:
- Succession
- Succession compte joint monsieur ou madame - Guide
- Plus-value succession indivision - Guide
- Déblocage des fonds succession banque - Guide
- Succession - Guide
- Déclaration de succession 2705 - Guide
1 réponse
condorcet
Messages postés
39501
Date d'inscription
jeudi 11 février 2010
Statut
Membre
Dernière intervention
21 juin 2023
18 285
16 janv. 2016 à 07:31
16 janv. 2016 à 07:31
Aujourd'hui, en tant que fille légitime des deux mais après 16 ans, ai-je encore droit à une part de succession de mon père et si oui, suis-je en droit de la demander à ma mère toujours en vie ?
Il est certain qu'une indivision existe avec votre mère.
Vous pouvez demander à recevoir votre part.
Cela dépend essentiellement de la nature des droits recueillis par votre mère dans la succession de votre père et de son option en sa qualité de bénéficiaire d'une donation au dernier vivant.
Généralement le conjoint survivant opte pour l'usufruit.
Dans ce cas de figure votre part serait seulement la nue-propriété soit d'un montant bien moins important, amputé de 20 % correspondant à la valeur (fiscale) de son usufruit.
Si votre mère a consenti a remettre à votre soeur consanguine l'équivalent de ses droits dans la succession de votre père, c'est uniquement dans l'intention de se libérer vis à vis d'une personne envers laquelle elle n'avait aucun lien de parenté.
Aujourd'hui, votre mère se retrouve en la seule présence de ses 2 enfants, vous et votre frère utérin.
Il est certain qu'une indivision existe avec votre mère.
Vous pouvez demander à recevoir votre part.
Cela dépend essentiellement de la nature des droits recueillis par votre mère dans la succession de votre père et de son option en sa qualité de bénéficiaire d'une donation au dernier vivant.
Généralement le conjoint survivant opte pour l'usufruit.
Dans ce cas de figure votre part serait seulement la nue-propriété soit d'un montant bien moins important, amputé de 20 % correspondant à la valeur (fiscale) de son usufruit.
Si votre mère a consenti a remettre à votre soeur consanguine l'équivalent de ses droits dans la succession de votre père, c'est uniquement dans l'intention de se libérer vis à vis d'une personne envers laquelle elle n'avait aucun lien de parenté.
Aujourd'hui, votre mère se retrouve en la seule présence de ses 2 enfants, vous et votre frère utérin.
16 janv. 2016 à 10:43