Arret maladie pour état dépressif
jenibois
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dna.factory Messages postés 29257 Date d'inscription Statut Modérateur Dernière intervention -
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Bonjour,
je suis en arrêt maladie pour état dépressif , c'est lors d'une altercation avec un de mes patrons qu'il m'a fait péter un plomb . Mon médecin m'a arrêté pour deux semaines, mais le problème est que quand je vais revenir , ils vont me faire la misère , donc je n'ai plus envie de retourner sur ce lieu de travail , ni de travailler pour eux , je ne veux pas démissionner car cela fait 5 ans que je subis , de la suspicion et du harcèlement ( a cause de mon Nom et que mon père travaille avec moi) donc je vais pas leur faire se plaisir de partir moi meme , je souhaite qu'il me licencie mais très rapidement comment puis je m'y prendre et merci d'avance pour vos réponses
je suis en arrêt maladie pour état dépressif , c'est lors d'une altercation avec un de mes patrons qu'il m'a fait péter un plomb . Mon médecin m'a arrêté pour deux semaines, mais le problème est que quand je vais revenir , ils vont me faire la misère , donc je n'ai plus envie de retourner sur ce lieu de travail , ni de travailler pour eux , je ne veux pas démissionner car cela fait 5 ans que je subis , de la suspicion et du harcèlement ( a cause de mon Nom et que mon père travaille avec moi) donc je vais pas leur faire se plaisir de partir moi meme , je souhaite qu'il me licencie mais très rapidement comment puis je m'y prendre et merci d'avance pour vos réponses
3 réponses
Prendre garde aussi à la fausse bonne idée de l' "abandon de poste" au cas où d'aucuns viendraient à te la souffler ....
donc je vais pas leur faire se plaisir de partir moi même , je souhaite qu'il me licencie
Mauvaise idée...
La seule solution consiste à demander à l'employeur une rupture conventionnelle, mais dans la mesure ou la rupture est à l'initiative de l'employeur, il n'a bien évidemment aucune obligation d'accepter.
Au delà de ça, aucun moyen de se faire licencier proprement et sans risque (qu'il soit financier, mais aussi en terme de communication... vos futurs employeurs risquent de contacter votre employeur actuel...)
Si vous ne voulez pas démissionner, il ne reste plus qu'a vous battre, et je vais être franc, si vous avez du vous arrêter pour dépression, vous n'aurez pas les épaules pour porter l'affaire au prud'homme pour harcèlement...
Mauvaise idée...
La seule solution consiste à demander à l'employeur une rupture conventionnelle, mais dans la mesure ou la rupture est à l'initiative de l'employeur, il n'a bien évidemment aucune obligation d'accepter.
Au delà de ça, aucun moyen de se faire licencier proprement et sans risque (qu'il soit financier, mais aussi en terme de communication... vos futurs employeurs risquent de contacter votre employeur actuel...)
Si vous ne voulez pas démissionner, il ne reste plus qu'a vous battre, et je vais être franc, si vous avez du vous arrêter pour dépression, vous n'aurez pas les épaules pour porter l'affaire au prud'homme pour harcèlement...
Merci pour vos réponses
Je suis en arrêt maladie (anxio dépressif ) depuis le 5 juin 2014 et nous sommes le 19 aout , j'ai fait appel a une avocate pour ma situation pour demander une rupture conventionnelle a mon employeur voila un mois que la demande a était faite , et toujours pas de réponse , mon arrêt se finit le 5 septembre et je suis dans une impasse , j'aimerai trouver une solution.
Je suis en arrêt maladie (anxio dépressif ) depuis le 5 juin 2014 et nous sommes le 19 aout , j'ai fait appel a une avocate pour ma situation pour demander une rupture conventionnelle a mon employeur voila un mois que la demande a était faite , et toujours pas de réponse , mon arrêt se finit le 5 septembre et je suis dans une impasse , j'aimerai trouver une solution.
Je répète ce que j'ai dit plus haut.
Peut importe que vous soyez assisté par une avocate, l'employeur n'a aucune obligation de vous proposer une rupture conventionnelle
Le simple fait qu'il n'en parle pas est une réponse en soit.
Comme indiqué plus haut, il n'y a que deux solutions :
- Vous profitez de votre arrêt pour trouver un autre boulot, pour pouvoir démissionner sans trop de risques. Alors oui, Ca aurait été préférable de faire ces démarches en juin, surtout que c'est la meilleure période sur le marché de l'emploi.
- Vous montez un dossier pour harcèlement, et portez l'affaire au prud'homme. Ca veut dire se battre, ça veut dire le harcèlement qui empire, avec l'arrivée de leurs avocats, des mensonges des collègues qui auront une augmentation/promotion, etc...
L'autre solution consiste à retourner voir le médecin, et demander une reconduction de l'arrêt.
Peut importe que vous soyez assisté par une avocate, l'employeur n'a aucune obligation de vous proposer une rupture conventionnelle
Le simple fait qu'il n'en parle pas est une réponse en soit.
Comme indiqué plus haut, il n'y a que deux solutions :
- Vous profitez de votre arrêt pour trouver un autre boulot, pour pouvoir démissionner sans trop de risques. Alors oui, Ca aurait été préférable de faire ces démarches en juin, surtout que c'est la meilleure période sur le marché de l'emploi.
- Vous montez un dossier pour harcèlement, et portez l'affaire au prud'homme. Ca veut dire se battre, ça veut dire le harcèlement qui empire, avec l'arrivée de leurs avocats, des mensonges des collègues qui auront une augmentation/promotion, etc...
L'autre solution consiste à retourner voir le médecin, et demander une reconduction de l'arrêt.