Abandon de poste et insubordination ????
slash17
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Bonjour madame, bonjour monsieur,
Je me permet de vous joindre car je rencontre des difficultés sur mon lieu
de travail. Depuis le 17 octobre 2013 je suis en CDI au sein d un
établissement pour personnes agees.
J ai été convoqué ce jour, le 21 janvier 2013, par la direction de mon
établissement suite à une convocation reçue par lettre recommandée avec
accusé de réception.
Je me suis rendue à cet entretien.
La direction a souhaité que je m explique sur des faits qui se sont
déroulés le 4 janvier 2014 vers 7h du matin.
En effet j ai pris mon poste de travail d aide soignante à 6h30 mais je
suis allée voir vers 7h l'infirmière, seule responsable hiérarchique de l
établissement présente ce jour, pour lui faire part que je souffrais
horriblement du dos.
Étant donné que nous étions le week-end, l infirmière à appelé le directeur
pour lui faire part de mon souhait de quitter mon poste de travail.
De façon telephonique, le directeur à estimer mon maintien sur mon poste de
travail jusqu'à son arrivée et qu'il me fasse rencontrer sur place un de
leur médecin.
Ne pouvant physiquement pas répondre à cette demande, aussi bien pour moi
même que pour la sécurité des résidents, je suis retournée voir l
infirmière en poste pour l informer que je partais pour me rendre aux
urgences.
Une fois les examens et les résultats donnés par l hôpital je suis arrêtée
pour 10 jours. En sortant de l hopital, je téléphone à la structure ou je
travaille pour l'ai en informer.
J ai envoyé dans la foulée les arrêts de travail relatifs à ce jour en
respectant le délais de 48h.
Aujourd'hui ma direction estime que j'ai fait preuve d insubordination en
ne respectant pas les directives du directeur et que mon départ pour les urgences constitue un abandon de poste.
Comment réagir ? Est ce justifié ?
Merci d'avance
Je me permet de vous joindre car je rencontre des difficultés sur mon lieu
de travail. Depuis le 17 octobre 2013 je suis en CDI au sein d un
établissement pour personnes agees.
J ai été convoqué ce jour, le 21 janvier 2013, par la direction de mon
établissement suite à une convocation reçue par lettre recommandée avec
accusé de réception.
Je me suis rendue à cet entretien.
La direction a souhaité que je m explique sur des faits qui se sont
déroulés le 4 janvier 2014 vers 7h du matin.
En effet j ai pris mon poste de travail d aide soignante à 6h30 mais je
suis allée voir vers 7h l'infirmière, seule responsable hiérarchique de l
établissement présente ce jour, pour lui faire part que je souffrais
horriblement du dos.
Étant donné que nous étions le week-end, l infirmière à appelé le directeur
pour lui faire part de mon souhait de quitter mon poste de travail.
De façon telephonique, le directeur à estimer mon maintien sur mon poste de
travail jusqu'à son arrivée et qu'il me fasse rencontrer sur place un de
leur médecin.
Ne pouvant physiquement pas répondre à cette demande, aussi bien pour moi
même que pour la sécurité des résidents, je suis retournée voir l
infirmière en poste pour l informer que je partais pour me rendre aux
urgences.
Une fois les examens et les résultats donnés par l hôpital je suis arrêtée
pour 10 jours. En sortant de l hopital, je téléphone à la structure ou je
travaille pour l'ai en informer.
J ai envoyé dans la foulée les arrêts de travail relatifs à ce jour en
respectant le délais de 48h.
Aujourd'hui ma direction estime que j'ai fait preuve d insubordination en
ne respectant pas les directives du directeur et que mon départ pour les urgences constitue un abandon de poste.
Comment réagir ? Est ce justifié ?
Merci d'avance
A voir également:
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- Demande de candidature pour un poste - Guide
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- Avis de passage la poste connaître expéditeur - Guide
- Abandon debit - Forum carte bancaire
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3 réponses
bjr
pour l'insubordination et l'abandon de poste si vous avez la preuve de votre arrivée aux urgences ça fait léger comme motif
pour l'insubordination et l'abandon de poste si vous avez la preuve de votre arrivée aux urgences ça fait léger comme motif
J'avoue qu'un dossier comme ça, c'est comme le gars qui se fait virer parce qu'il a loué un vélo au lieu d'utiliser sa voiture de fonction...
Ca doit bien faire marrer au prud'hommes...
Sauf qu'au final, c'est pas drôle....
Je ne sais pas si en arrondissant les angles on peut pas faire passer ça en droit de retrait..
Ce n'est pas l'environnement qui est en cause (et encore... à voir si c'est pas une maladie de travail, sur du long terme), le maintient (strict) dans l'entreprise est peut-être possible (quoi que si elle a du aller aux urgences), mais dans tout les cas, faire le travail n'est plus possible pour des raisons de santés (c'est un coup à empirer la situation en devant aider un résident à se lever)...
La seule erreur que je vois ici, c'est qu'au lieu d'aller aux urgences, il aurait fallu appeler Sos Médecin ou les pompiers, dont la décision aurait été souveraine.
Mais bon, ils ont peut-être des choses encore plus importante à faire (et même si ils n'en ont pas, ils ont le droit de profiter de leurs quelques minutes de repos).
Perso, je pense que si l'employeur persiste, y'a moyen que ça se retourne contre lui (mise en danger), donc même si ça doit se faire au bluff, aller dans cette direction me parait une bonne idée.
Ca doit bien faire marrer au prud'hommes...
Sauf qu'au final, c'est pas drôle....
Je ne sais pas si en arrondissant les angles on peut pas faire passer ça en droit de retrait..
Ce n'est pas l'environnement qui est en cause (et encore... à voir si c'est pas une maladie de travail, sur du long terme), le maintient (strict) dans l'entreprise est peut-être possible (quoi que si elle a du aller aux urgences), mais dans tout les cas, faire le travail n'est plus possible pour des raisons de santés (c'est un coup à empirer la situation en devant aider un résident à se lever)...
La seule erreur que je vois ici, c'est qu'au lieu d'aller aux urgences, il aurait fallu appeler Sos Médecin ou les pompiers, dont la décision aurait été souveraine.
Mais bon, ils ont peut-être des choses encore plus importante à faire (et même si ils n'en ont pas, ils ont le droit de profiter de leurs quelques minutes de repos).
Perso, je pense que si l'employeur persiste, y'a moyen que ça se retourne contre lui (mise en danger), donc même si ça doit se faire au bluff, aller dans cette direction me parait une bonne idée.
La législation juridique et financière évolue en permanence...