Mariés en 1965
mauverose
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rio loco - 28 sept. 2012 à 14:20
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istacloc
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Modifié par istacloc le 23/09/2012 à 22:30
Modifié par istacloc le 23/09/2012 à 22:30
Bonjour,
Pourriez-vous clarifier :
Vous parlez de la succession de votre ex-belle mère ? Même avec une donation au dernier vivant de la part de votre ex-mari décédé, vous n'avez aucun droit sur la succession des biens appartenant à votre ex-belle mère.
Votre ex-belle mère pouvait faire un testament comme bon lui semblait concernant son patrimoine, cela n'a rien à voir avec la donation au dernier vivant de votre ex-mari. Puisque celui-ci est décédé avant elle, et apparemment sans descendants (?), sa part est répartie entre les autres héritiers (ou s'il a des descendants vivants, ceux-ci viennent hériter en représentation). Et contester un testament authentique ne sera pas chose aisée quand on n'est pas héritier réservataire.
Vous n'avez des droits que sur les biens de la succession de votre ex-mari (biens qu'il avait déjà en sa possession à son décès), donc comme vous parlez d'un bien en indivision, s'agit-il d'un bien dont votre ex-mari était déjà nu-propriétaire à son décès ? Dans ce cas vous êtes devenue indivisaire à sa place grâce à la donation au dernier vivant, vous devez avoir un document notarié à ce sujet ? Si c'est le cas évidemment vous devez donner votre accord et obtenir la contrepartie de sa vente, dans la limite des droits reçus de votre ex-mari.
Cdlt
Pourriez-vous clarifier :
Vous parlez de la succession de votre ex-belle mère ? Même avec une donation au dernier vivant de la part de votre ex-mari décédé, vous n'avez aucun droit sur la succession des biens appartenant à votre ex-belle mère.
Votre ex-belle mère pouvait faire un testament comme bon lui semblait concernant son patrimoine, cela n'a rien à voir avec la donation au dernier vivant de votre ex-mari. Puisque celui-ci est décédé avant elle, et apparemment sans descendants (?), sa part est répartie entre les autres héritiers (ou s'il a des descendants vivants, ceux-ci viennent hériter en représentation). Et contester un testament authentique ne sera pas chose aisée quand on n'est pas héritier réservataire.
Vous n'avez des droits que sur les biens de la succession de votre ex-mari (biens qu'il avait déjà en sa possession à son décès), donc comme vous parlez d'un bien en indivision, s'agit-il d'un bien dont votre ex-mari était déjà nu-propriétaire à son décès ? Dans ce cas vous êtes devenue indivisaire à sa place grâce à la donation au dernier vivant, vous devez avoir un document notarié à ce sujet ? Si c'est le cas évidemment vous devez donner votre accord et obtenir la contrepartie de sa vente, dans la limite des droits reçus de votre ex-mari.
Cdlt
mauverose
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28 septembre 2012
23 sept. 2012 à 23:46
23 sept. 2012 à 23:46
merci de m'avoir répondu.
j'ai l'impression que vous n'avez pas cerné le problème par manque de précisions dans ma question.
mon mari est décédé accidentellement ; ce n'était pas prévisible ! il n'est pas décédé de maladie ! ce n'est donc pas ma belle-mère qui est à l'origine d'un testament dont la date mentionnée par le notaire est antérieure de 3 mois au décès de son fils. il n'y a pas eu de chèque pour prouver la date de ce testament ! les demi frères et soeurs sont clients habituels du notaire en question et sont très complices. J'en parle en connaissance de cause car le notaire m'a incité a renoncer à la succession de mon mari en me racontant des salades sur les frais de successions et autres...
oui, je parle de la succession de ma belle-mère avec qui j'avais gardé de très bonnes relations ainsi qu'avec toute la famille, tout comme mon mari avec ma famille !
+++ il est dit : "l'intérêt d'une donation au dernier vivant en l'absence d'enfants :
pour les personnes qui meurent sans descendance mais en laissant leurs père et/ou mère, la quotité disponible spéciale entre époux est de :
-3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue-propriété si seul l'un des parents du défunt est encore en vie." c'est ce qui s'est passé pour mon cas personnel.
"le recours à la donation au dernier vivant permet de laisser au conjoint la nue-propriété de la part des père et mère du défunt. au décés de ces derniers, le conjoint récuperera la pleine propriété des biens en cause au détriment des frères et soeurs du défunt. la donation au dernier vivant peut toutefois présenter un intérêt résiduel s'il existe des biens de famille, puisque ces biens ont vocation à revenir pour moitié aux frères et soeurs. une donation au dernier vivant permet de faire obstacle au droit de retour des frères et soeurs, ce qui permettra au conjoint de recevoir la pleine propriété de l'intégralité des biens."+++
de plus, le bien vendu appartenait pour 1/3 à ma belle-mère qui avait un fils unique : mon mari et pas d'autres enfants.
merci de vous pencher à nouveau sur les problèmes que je rencontre si vous n'avez pas de préjugés vis-à-vis des "divorcés" ?
bien cordialement.
j'ai l'impression que vous n'avez pas cerné le problème par manque de précisions dans ma question.
mon mari est décédé accidentellement ; ce n'était pas prévisible ! il n'est pas décédé de maladie ! ce n'est donc pas ma belle-mère qui est à l'origine d'un testament dont la date mentionnée par le notaire est antérieure de 3 mois au décès de son fils. il n'y a pas eu de chèque pour prouver la date de ce testament ! les demi frères et soeurs sont clients habituels du notaire en question et sont très complices. J'en parle en connaissance de cause car le notaire m'a incité a renoncer à la succession de mon mari en me racontant des salades sur les frais de successions et autres...
oui, je parle de la succession de ma belle-mère avec qui j'avais gardé de très bonnes relations ainsi qu'avec toute la famille, tout comme mon mari avec ma famille !
+++ il est dit : "l'intérêt d'une donation au dernier vivant en l'absence d'enfants :
pour les personnes qui meurent sans descendance mais en laissant leurs père et/ou mère, la quotité disponible spéciale entre époux est de :
-3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue-propriété si seul l'un des parents du défunt est encore en vie." c'est ce qui s'est passé pour mon cas personnel.
"le recours à la donation au dernier vivant permet de laisser au conjoint la nue-propriété de la part des père et mère du défunt. au décés de ces derniers, le conjoint récuperera la pleine propriété des biens en cause au détriment des frères et soeurs du défunt. la donation au dernier vivant peut toutefois présenter un intérêt résiduel s'il existe des biens de famille, puisque ces biens ont vocation à revenir pour moitié aux frères et soeurs. une donation au dernier vivant permet de faire obstacle au droit de retour des frères et soeurs, ce qui permettra au conjoint de recevoir la pleine propriété de l'intégralité des biens."+++
de plus, le bien vendu appartenait pour 1/3 à ma belle-mère qui avait un fils unique : mon mari et pas d'autres enfants.
merci de vous pencher à nouveau sur les problèmes que je rencontre si vous n'avez pas de préjugés vis-à-vis des "divorcés" ?
bien cordialement.
istacloc
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25 sept. 2012 à 20:18
25 sept. 2012 à 20:18
Je n'ai absolument aucun préjugé vis-à-vis des divorcés, en ayant moi-même épousé un : je ne vois pas ce qui vous fait penser cela.
Je n'ai fait que vous répondre par rapport à ce que j'ai compris de votre situation, et ce que vous rajoutez n'y change rien.
Votre ex-époux est décédé avant sa mère.
Sa succession, pour laquelle vous bénéficiez de la donation au dernier vivant qu'il vous a conservée, correspond à sa situation patrimoniale de l'époque de son décès, et apparemment ce n'est pas celle que vous contestez.
S'il était nu-propriétaire de biens dont sa mère était usufruitière, vous récupérez cet usufruit au décès de sa mère.
Pour le reste, il n'est plus là et n'a pas de descendant pour recueillir la succession de sa mère, et une belle-fille, qu'elle soit ex ou pas, avec donation au dernier vivant ou pas, n'hérite pas de ses beaux-parents.
Vous pouvez toujours contester un testament authentique, mais il va falloir prouver que tout le monde était complice pour dépouiller son fils, lequel n'est de toutes façons plus là au moment du décès de sa mère et de l'ouverture du testament : donc pas d'héritier réservataire, même sans testament tout est recueilli par ses autres héritiers dont vous ne faites pas partie.
S'il se trouve que je me trompe, il ne fait aucun doute qu'un autre expert viendra le dire.
Je n'ai fait que vous répondre par rapport à ce que j'ai compris de votre situation, et ce que vous rajoutez n'y change rien.
Votre ex-époux est décédé avant sa mère.
Sa succession, pour laquelle vous bénéficiez de la donation au dernier vivant qu'il vous a conservée, correspond à sa situation patrimoniale de l'époque de son décès, et apparemment ce n'est pas celle que vous contestez.
S'il était nu-propriétaire de biens dont sa mère était usufruitière, vous récupérez cet usufruit au décès de sa mère.
Pour le reste, il n'est plus là et n'a pas de descendant pour recueillir la succession de sa mère, et une belle-fille, qu'elle soit ex ou pas, avec donation au dernier vivant ou pas, n'hérite pas de ses beaux-parents.
Vous pouvez toujours contester un testament authentique, mais il va falloir prouver que tout le monde était complice pour dépouiller son fils, lequel n'est de toutes façons plus là au moment du décès de sa mère et de l'ouverture du testament : donc pas d'héritier réservataire, même sans testament tout est recueilli par ses autres héritiers dont vous ne faites pas partie.
S'il se trouve que je me trompe, il ne fait aucun doute qu'un autre expert viendra le dire.
mauverose
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28 septembre 2012
25 sept. 2012 à 21:34
25 sept. 2012 à 21:34
Bonsoir Istacloc,
Merci de vos réponses
Avez-vous pris connaisance des écrits que j'ai trouvés, dont j'ai fait mention en "...."
figurant dans : Vos droits editions Francis Lefebvre.
Il est dit aussi dans ce même mémento pratique :
- "une donation porte sur les biens présents et ceux à venir"
- "s'il existe un bien résiduel, une donation permet...
- "en l'absence de descendance le conjoint est héritier réservataire".
J'aimerais si vous en avez le temps, que vous analysiez ces textes et que vous me fassiez part de ce que vous en pensez !
Je vous en remercie par avance.
Ce jour j'ai adressé un courrier à l'Office Notarial en recommandé/a.r. ; je verrai bien la réponse !...
Quant au testament soit disant authentique, il a été fait ultérieurement à la date du décés de mon mari et antidaté pour faire croire que ... A mon avis sûrement pas pour rien ! Dans tous les cas, il a été fait vis-à-vis de moi et non pas de mon mari.
Bien cordialement
Merci de vos réponses
Avez-vous pris connaisance des écrits que j'ai trouvés, dont j'ai fait mention en "...."
figurant dans : Vos droits editions Francis Lefebvre.
Il est dit aussi dans ce même mémento pratique :
- "une donation porte sur les biens présents et ceux à venir"
- "s'il existe un bien résiduel, une donation permet...
- "en l'absence de descendance le conjoint est héritier réservataire".
J'aimerais si vous en avez le temps, que vous analysiez ces textes et que vous me fassiez part de ce que vous en pensez !
Je vous en remercie par avance.
Ce jour j'ai adressé un courrier à l'Office Notarial en recommandé/a.r. ; je verrai bien la réponse !...
Quant au testament soit disant authentique, il a été fait ultérieurement à la date du décés de mon mari et antidaté pour faire croire que ... A mon avis sûrement pas pour rien ! Dans tous les cas, il a été fait vis-à-vis de moi et non pas de mon mari.
Bien cordialement
istacloc
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25 sept. 2012 à 21:42
25 sept. 2012 à 21:42
- "une donation porte sur les biens présents et ceux à venir"
Oui, parce qu'au moment où elle est signée on ne connaît pas l'avenir et quel sera le patrimoine du défunt au jour de son décès ; cela ne veut pas dire qu'elle intègre tous les biens dont il aurait hypothétiquement hérité après son décès
- "s'il existe un bien résiduel, une donation permet...
Idem
- "en l'absence de descendance le conjoint est héritier réservataire".
Oui, mais pas l'ex-conjoint.
ET ceci ne s'applique que pour la succession du défunt, pas pour les suivantes.
Quant au testament soit disant authentique, il a été fait ultérieurement à la date du décés de mon mari et antidaté pour faire croire que ... A mon avis sûrement pas pour rien ! Dans tous les cas, il a été fait vis-à-vis de moi et non pas de mon mari.
Faudrait-il encore que vous le prouviez, mais de toutes façons cela ne change rien puisque le testateur est décédé APRES votre ex-mari.
Oui, parce qu'au moment où elle est signée on ne connaît pas l'avenir et quel sera le patrimoine du défunt au jour de son décès ; cela ne veut pas dire qu'elle intègre tous les biens dont il aurait hypothétiquement hérité après son décès
- "s'il existe un bien résiduel, une donation permet...
Idem
- "en l'absence de descendance le conjoint est héritier réservataire".
Oui, mais pas l'ex-conjoint.
ET ceci ne s'applique que pour la succession du défunt, pas pour les suivantes.
Quant au testament soit disant authentique, il a été fait ultérieurement à la date du décés de mon mari et antidaté pour faire croire que ... A mon avis sûrement pas pour rien ! Dans tous les cas, il a été fait vis-à-vis de moi et non pas de mon mari.
Faudrait-il encore que vous le prouviez, mais de toutes façons cela ne change rien puisque le testateur est décédé APRES votre ex-mari.
mauverose
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28 septembre 2012
25 sept. 2012 à 22:09
25 sept. 2012 à 22:09
Merci pour vos nouvelles précisions !
Comment dois-je interprêter :
l'intérêt d'une donation au dernier vivant en l'absence d'enfant mais en laissant un parent, la quotité spéciale disponible entre époux est :
- 3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue propriété
la donation permet de laisser au conjoint la nue-propriété de la part du parent du défunt. Au décés du parent, le conjoint récupèrera la pleine propriété des biens en cause.
j'ai bénéficié de 3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue propriété sur la vente d'une maison concernant la part me revenant de mon mari.
logiquement, fonction de ce que je lis, le 1/4 en nue propriété à présent doit me revenir puisqu'il y a des biens le permettant !
Etes-vous d'accord là- dessus ?
a+ Cordialement Mauverose
Comment dois-je interprêter :
l'intérêt d'une donation au dernier vivant en l'absence d'enfant mais en laissant un parent, la quotité spéciale disponible entre époux est :
- 3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue propriété
la donation permet de laisser au conjoint la nue-propriété de la part du parent du défunt. Au décés du parent, le conjoint récupèrera la pleine propriété des biens en cause.
j'ai bénéficié de 3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue propriété sur la vente d'une maison concernant la part me revenant de mon mari.
logiquement, fonction de ce que je lis, le 1/4 en nue propriété à présent doit me revenir puisqu'il y a des biens le permettant !
Etes-vous d'accord là- dessus ?
a+ Cordialement Mauverose
istacloc
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Modifié par istacloc le 25/09/2012 à 22:44
Modifié par istacloc le 25/09/2012 à 22:44
Excusez-moi si je reformule pour être sûre de comprendre :
- au décès de votre ex-mari vous avez bénéficié de 3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue propriété d'un bien, l'usufruit du 1/4 allant à sa mère
- au décès de sa mère vous récupérez automatiquement le 1/4 en usufruit, donc maintenant vous avez l'entière propriété du bien
Est-ce que c'est bien la situation ?
Pouvez-vous reformuler la question que vous vous posez car du coup je ne comprend pas bien le problème : vous parlez d'une vente ? quand a-t'elle eu lieu par rapport au décès de sa mère ?
Il est évident que si elle a eu lieu avant le décès, vous avez dû partager l'argent de la vente en fonction de vos droits, et du coup il n'y a plus d'usufruit à récupérer à son décès.
Mais si la vente a eu lieu après son décès, c'est vous seule qui avez des droits sur ce bien, personne ne peut le vendre à votre place ni récolter l'argent de la vente à part vous.
- au décès de votre ex-mari vous avez bénéficié de 3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue propriété d'un bien, l'usufruit du 1/4 allant à sa mère
- au décès de sa mère vous récupérez automatiquement le 1/4 en usufruit, donc maintenant vous avez l'entière propriété du bien
Est-ce que c'est bien la situation ?
Pouvez-vous reformuler la question que vous vous posez car du coup je ne comprend pas bien le problème : vous parlez d'une vente ? quand a-t'elle eu lieu par rapport au décès de sa mère ?
Il est évident que si elle a eu lieu avant le décès, vous avez dû partager l'argent de la vente en fonction de vos droits, et du coup il n'y a plus d'usufruit à récupérer à son décès.
Mais si la vente a eu lieu après son décès, c'est vous seule qui avez des droits sur ce bien, personne ne peut le vendre à votre place ni récolter l'argent de la vente à part vous.
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mauverose
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Modifié par mauverose le 28/09/2012 à 00:13
Modifié par mauverose le 28/09/2012 à 00:13
Bonsoir Istacloc,
Je vous ai répondu hier soir, mais il semblerait que mon courrier se soit perdu ; j'avais oublié de cocher la case " recevoir les réponses par mail ".
Je vous disais que je ne comprends rien !
Je confirme votre 1er paragraphe du 25/09 à 22h44.
Il y a eu dans un 1er temps la vente d'1 maison appartenant pour moitié à 50% à chacun de mes beaux-parents, après le décés de mon beau-père, d'1 belle-soeur célibataire sans enfant et de mon mari. J'ai eu les 3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue-propriété représentant une certaine somme qui a amputé la part qui me revenait de mon mari. Puisqu'il est dit "qu'au décés du parent on récupère le 1/4 de nue-propriété et qu'il y a de plus des biens, pour moi, il serait logique que je sois remboursée du montant représentant le 1/4.
Il restait une maison en indivision appartenant à la grand'mère de mon mari qui avait eu 3 filles ; cette maison a été vendue après le décés de ma belle-mère.
-1 fille est en vie et a bénéficié du 1/3,
-1 fille est décédée avant la vente, laissant des enfants dont 1 est décédée avant mon mari (la demi-soeur de mon mari par le père) ; j'ai eu une petite fraction par le biais de cette demi-soeur provenant de la tante de mon mari.
Illogique pour moi !!!???...
-1 fille était ma belle-mère décédée avant la vente dont le fils unique est mon mari. Je pensais du fait de la donation au dernier vivant en l'absence d'enfant, être héritière de sa part soit 1/3. Je n'ai rien eu de ma belle-mère par rapport au soi-disant testament. Mais vous m'avez dit que c'était normal !
Que dois-je comprendre par rapport à la petite fraction qui m'est revenue sur cette vente ? Qu'il s'agit d'une erreur ou que mes droits par rapport à la date du -----------------------------------------------------------------------------------------------------décés de mon mari sont ceux d'un conjoint ? Mon mari est décédé en 2005.
----------------------------------------------------------------------------------------------
Suite à ma lettre recommandée, l'étude notariale m'a fixée 1 RDV. Si cela vous intéresse, je peux vous informer de la suite.
Merci d'avance pour vos réponses.
Bien cordialement. Mauverose
Je vous ai répondu hier soir, mais il semblerait que mon courrier se soit perdu ; j'avais oublié de cocher la case " recevoir les réponses par mail ".
Je vous disais que je ne comprends rien !
Je confirme votre 1er paragraphe du 25/09 à 22h44.
Il y a eu dans un 1er temps la vente d'1 maison appartenant pour moitié à 50% à chacun de mes beaux-parents, après le décés de mon beau-père, d'1 belle-soeur célibataire sans enfant et de mon mari. J'ai eu les 3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue-propriété représentant une certaine somme qui a amputé la part qui me revenait de mon mari. Puisqu'il est dit "qu'au décés du parent on récupère le 1/4 de nue-propriété et qu'il y a de plus des biens, pour moi, il serait logique que je sois remboursée du montant représentant le 1/4.
Il restait une maison en indivision appartenant à la grand'mère de mon mari qui avait eu 3 filles ; cette maison a été vendue après le décés de ma belle-mère.
-1 fille est en vie et a bénéficié du 1/3,
-1 fille est décédée avant la vente, laissant des enfants dont 1 est décédée avant mon mari (la demi-soeur de mon mari par le père) ; j'ai eu une petite fraction par le biais de cette demi-soeur provenant de la tante de mon mari.
Illogique pour moi !!!???...
-1 fille était ma belle-mère décédée avant la vente dont le fils unique est mon mari. Je pensais du fait de la donation au dernier vivant en l'absence d'enfant, être héritière de sa part soit 1/3. Je n'ai rien eu de ma belle-mère par rapport au soi-disant testament. Mais vous m'avez dit que c'était normal !
Que dois-je comprendre par rapport à la petite fraction qui m'est revenue sur cette vente ? Qu'il s'agit d'une erreur ou que mes droits par rapport à la date du -----------------------------------------------------------------------------------------------------décés de mon mari sont ceux d'un conjoint ? Mon mari est décédé en 2005.
----------------------------------------------------------------------------------------------
Suite à ma lettre recommandée, l'étude notariale m'a fixée 1 RDV. Si cela vous intéresse, je peux vous informer de la suite.
Merci d'avance pour vos réponses.
Bien cordialement. Mauverose
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28 sept. 2012 à 08:30
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Bonjour,
Oui, tenez-nous au courant ; je ne peux rien vous dire de plus que ce que j'ai déjà dit : une donation au dernier vivant ne donne habituellement pas de droits sur des biens qui ne sont pas déjà dans le patrimoine du défunt à son décès, hormis parfois ce qui s'appelle un "usufruit éventuel" mais ce n'est pas ce dont vous parlez.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Usufruit#L.27usufruit_.C3.A9ventuel
Si les descendants d'une personne deviennent héritiers de leur grand-mère en représentation de leur père, il n'en va pas de même pour l'ex-conjoint qui, hors testament de la grand-mère (belle-mère) voire de l'arrière-grand-mère (grand-mère de l'ex-époux), n'a aucun droit légal sur sa succession même s'il a bénéficié d'une donation au dernier vivant de la part du conjoint décédé et fils de la grand-mère.
Cdlt
Oui, tenez-nous au courant ; je ne peux rien vous dire de plus que ce que j'ai déjà dit : une donation au dernier vivant ne donne habituellement pas de droits sur des biens qui ne sont pas déjà dans le patrimoine du défunt à son décès, hormis parfois ce qui s'appelle un "usufruit éventuel" mais ce n'est pas ce dont vous parlez.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Usufruit#L.27usufruit_.C3.A9ventuel
Si les descendants d'une personne deviennent héritiers de leur grand-mère en représentation de leur père, il n'en va pas de même pour l'ex-conjoint qui, hors testament de la grand-mère (belle-mère) voire de l'arrière-grand-mère (grand-mère de l'ex-époux), n'a aucun droit légal sur sa succession même s'il a bénéficié d'une donation au dernier vivant de la part du conjoint décédé et fils de la grand-mère.
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28 sept. 2012 à 11:07
28 sept. 2012 à 11:07
Bonjour,
Je vous informerai de la suite après le RDV qui n'est pas pour demain !
J'ai lu d'autres commentaires sur d'autres sites qui confirment vos dires.
Je vous demandais " comment interprêter cette petite fraction de part qui m'est revenue de la tante de mon mari par le biais de sa fille décédée célibataire et sans enfant, celle-ci étant la demi-soeur de mon mari par le père qui a eu des enfants avec deux soeurs. Est-ce une erreur ? vais-je devoir rembourser ?
a+ Cordialement
Je vous informerai de la suite après le RDV qui n'est pas pour demain !
J'ai lu d'autres commentaires sur d'autres sites qui confirment vos dires.
Je vous demandais " comment interprêter cette petite fraction de part qui m'est revenue de la tante de mon mari par le biais de sa fille décédée célibataire et sans enfant, celle-ci étant la demi-soeur de mon mari par le père qui a eu des enfants avec deux soeurs. Est-ce une erreur ? vais-je devoir rembourser ?
a+ Cordialement
istacloc
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Modifié par istacloc le 28/09/2012 à 14:07
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Il y a eu dans un 1er temps la vente d'1 maison appartenant pour moitié à 50% à chacun de mes beaux-parents, après le décés de mon beau-père, d'1 belle-soeur célibataire sans enfant et de mon mari. J'ai eu les 3/4 en pleine propriété et 1/4 en nue-propriété représentant une certaine somme qui a amputé la part qui me revenait de mon mari.
Vos explications manquant de précision notamment sur l'ordre des évènements, je suppose que votre ex-mari est décédé après son père, dans ce cas il détenait déjà sa part d'héritage de son père, qui vous a été transmise par succession dans le cadre de la donation au dernier vivant.
Il restait une maison en indivision appartenant à la grand'mère de mon mari qui avait eu 3 filles ; cette maison a été vendue après le décés de ma belle-mère.
Manque de précision également : grand-mère maternelle ou paternelle ?
S'il s'agit de la grand-mère paternelle, comme dans le cas précédent il est probable que votre ex-mari a hérité de son père avant de décéder, et que ses droits vous ont été transmis par succession dans le cadre de la donation au dernier vivant.
Sinon je ne vois pas " comment interprêter cette petite fraction de part....", à moins que la tante ou la demi-soeur de votre ex-époux ait été généreuse avec vous en prévoyant un legs en votre faveur dans son testament.
Vos explications manquant de précision notamment sur l'ordre des évènements, je suppose que votre ex-mari est décédé après son père, dans ce cas il détenait déjà sa part d'héritage de son père, qui vous a été transmise par succession dans le cadre de la donation au dernier vivant.
Il restait une maison en indivision appartenant à la grand'mère de mon mari qui avait eu 3 filles ; cette maison a été vendue après le décés de ma belle-mère.
Manque de précision également : grand-mère maternelle ou paternelle ?
S'il s'agit de la grand-mère paternelle, comme dans le cas précédent il est probable que votre ex-mari a hérité de son père avant de décéder, et que ses droits vous ont été transmis par succession dans le cadre de la donation au dernier vivant.
Sinon je ne vois pas " comment interprêter cette petite fraction de part....", à moins que la tante ou la demi-soeur de votre ex-époux ait été généreuse avec vous en prévoyant un legs en votre faveur dans son testament.