Quelles protections au décès du mari ?
mimipinson
Messages postés
4
Statut
Membre
-
mimipinson -
mimipinson -
Bonjour,
Mariés, nous sommes tous les deux retraités mon mari et moi. Mon mari a 15 ans de plus que moi (77 ans), et j'ai très peur de l'avenir.
Je me pose en particulier une question : nous sommes propriétaires de notre maison, et nous avons un carnet de caisse d'épargne à mon nom.
Ma belle-fille (fille de mon mari, de son premier mariage), a une haine aussi tenace qu'inexplicable à mon encontre. Je ne lui ai jamais fait aucun mal, c'est une pure jalousie.
Il m'a été rapporté que sa "haine" ne connaîtrait pas de limite si mon mari ferme les yeux en premier. Qu'elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour me chasser et me ruiner.
(cette fille est pourtant "nantie", voire très riche, mariée à un magnat, et n'a aucun besoin d'argent, possèdant une fortune en biens immobiliers et comptes bancaires).
Ce qui n'est pas mon cas, nous avons une maison bien modeste, un petit compte épargne.
Ma question est la suivante : que peut-elle faire ? Quels droits peut-elle exercer sur moi ?
Je suppose qu'elle doit être bien renseignée pour dire cela.
Nous avons, à l'achat de la maison, fait un acte de "donation au dernier vivant".
Peut-elle, malgré tout, exiger son héritage (qui sera bien insignifiant divisé entre tous les enfants) ? Peut-elle "me chasser" de notre maison ?
Bref, que dois-je craindre ? et quelles précautions faut-il prendre pendant qu'il est encore temps ?
Je vous remercie infiniment pour toute l'aide que vous pourrez m'apporter, bien cordialement,
Mariés, nous sommes tous les deux retraités mon mari et moi. Mon mari a 15 ans de plus que moi (77 ans), et j'ai très peur de l'avenir.
Je me pose en particulier une question : nous sommes propriétaires de notre maison, et nous avons un carnet de caisse d'épargne à mon nom.
Ma belle-fille (fille de mon mari, de son premier mariage), a une haine aussi tenace qu'inexplicable à mon encontre. Je ne lui ai jamais fait aucun mal, c'est une pure jalousie.
Il m'a été rapporté que sa "haine" ne connaîtrait pas de limite si mon mari ferme les yeux en premier. Qu'elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour me chasser et me ruiner.
(cette fille est pourtant "nantie", voire très riche, mariée à un magnat, et n'a aucun besoin d'argent, possèdant une fortune en biens immobiliers et comptes bancaires).
Ce qui n'est pas mon cas, nous avons une maison bien modeste, un petit compte épargne.
Ma question est la suivante : que peut-elle faire ? Quels droits peut-elle exercer sur moi ?
Je suppose qu'elle doit être bien renseignée pour dire cela.
Nous avons, à l'achat de la maison, fait un acte de "donation au dernier vivant".
Peut-elle, malgré tout, exiger son héritage (qui sera bien insignifiant divisé entre tous les enfants) ? Peut-elle "me chasser" de notre maison ?
Bref, que dois-je craindre ? et quelles précautions faut-il prendre pendant qu'il est encore temps ?
Je vous remercie infiniment pour toute l'aide que vous pourrez m'apporter, bien cordialement,
A voir également:
- Quelles protections au décès du mari ?
- Lettre déblocage compte bancaire suite décès - Guide
- Minimum contributif est-il remboursable au décès - Guide
- Ccnt du 15 mars 1966 salaire - Guide
- Deces d'un heritier en cours de succession - Forum Donation-Succession
4 réponses
Peut-elle "me chasser" de notre maison ?
Non.
Ne faites rien de plus que ce que vous avez déjà fait.
La donation au dernier vivant vous permettra d'opter entre 3 possibilités.
Il serait préférable de vous satisfaire de l'usufruit.
Sachant qu'il n'existe pas d'indivision entre l'usufruitier (vous) et le nu-propriétaire (votre belle-fille), à aucun moment elle ne pourra demander le partage.
En outre, de par la Loi, vous bénéficiez en + d'un droit d'usage et d'habitation dans le logement constituant votre domicile et sur le mobilier le garnissant.
Il s'agit d'un droit viager.
Non.
Ne faites rien de plus que ce que vous avez déjà fait.
La donation au dernier vivant vous permettra d'opter entre 3 possibilités.
Il serait préférable de vous satisfaire de l'usufruit.
Sachant qu'il n'existe pas d'indivision entre l'usufruitier (vous) et le nu-propriétaire (votre belle-fille), à aucun moment elle ne pourra demander le partage.
En outre, de par la Loi, vous bénéficiez en + d'un droit d'usage et d'habitation dans le logement constituant votre domicile et sur le mobilier le garnissant.
Il s'agit d'un droit viager.
excusez bouriquette et condorcet, je ne sais pas comment fonctionne ce forum, je vous ai répondu par "ajouter un commentaire" à chacun. J'espère que la réponse vous parviendra tout de même. encore merci,
n'est-ce pas la même chose que donation au dernier vivant ?
Un contrat de mariage s'applique pendant la vie des époux.
La donation eu dernier vivant au décès de l'un d'eux.
Pour faire simple, car dans le cadre du contrat de mariage il et aussi possible de prévoir pour le..........futur.
Ignorez le contrat de communauté universelle.
Restez dans la donation au dernier vivant.
Je ne sais pas ce veut dire le terme "indivision"
Le mêmebien appartient à plusieurs personnes, situation rencontrée au décès d'une personne laissant plusieurs enfants héritiers de ses biens.
Ils sont dans l'indivision.
Un contrat de mariage s'applique pendant la vie des époux.
La donation eu dernier vivant au décès de l'un d'eux.
Pour faire simple, car dans le cadre du contrat de mariage il et aussi possible de prévoir pour le..........futur.
Ignorez le contrat de communauté universelle.
Restez dans la donation au dernier vivant.
Je ne sais pas ce veut dire le terme "indivision"
Le mêmebien appartient à plusieurs personnes, situation rencontrée au décès d'une personne laissant plusieurs enfants héritiers de ses biens.
Ils sont dans l'indivision.
Merci infiniment condorcet, j'aurai appris beaucoup de choses grâce à vous, et je suis rassurée également. C'est un sujet bien triste, mais malheureusement à nos âges il faut y penser (et rien ne dit que ce n'est pas moi qui partirai la première, ce qui me serait parfaitement égal).
En tous cas, encore merci d'avoir bien voulu prendre le temps de me répondre. Bien cordialement,
En tous cas, encore merci d'avoir bien voulu prendre le temps de me répondre. Bien cordialement,
Je vous remercie infiniment, bien cordialement,