Je viens sur ce forum pour poser une question à laquelle je pense déjà avoir une réponse au regard des recherches que j'ai déjà effectué de mon côté. Mais on ne sait jamais, peut être que l'un d'entre vous aura une idée brillante pour régler mon problème !
Je suis actuellement élève avocat en CRFPA, j'ai passé avec succès l'examen d'entrée en novembre 2011. Jusqu'au 6 janvier j'étais Assistant d'éducation dans un lycée. Dans l'obligation de quitter cet établissement pour poursuivre ma formation j'ai respecté le préavis d'un mois qui s'imposait à moi avant de démissionner de mon poste.
J'ai appris,le jour de ma rentrée, au cours d'une discussion avec une amie, que cette dernière dans une situation en tout point identique à la mienne avait pu, grâce au secrétariat de son établissement, être considéré comme en fin de contrat et non démissionnaire et ainsi avoir droit à l'allocation chômage durant la formation au CRFPA.
Je me suis donc rendu lors de mon dernier jour de travail au secrétariat du lycée où je travaillais pour savoir s'il était possible pour eux de recourir au même "stratagème". Refus catégorique du chef d'établissement.
Depuis, j'ai reçu le planning de mes cours et je dois dire que l'emploi du temps (modifiable et souvent modifié au dernier moment) va rendre extrêmement complexe la recherche d'un emploi. Etant entendu qu'il est indispensable pour moi de travailler sérieusement pendant cette période de 6 mois de cours, suivi de 6 mois de stage à temps plein qui peuvent être des stages de 2-3 mois successifs, n'entraînant donc pas de rémunération.
Existe t-il une solution à mon problème ? Cette formation est considérée comme une formation professionnelle par le Pôle emploi mais je suis affilié à une Sécu sociale étudiante qui m'empêche d'avoir droit au RSA. Un recours auprès du Conseil Général a-t-il
une chance d'aboutir ?
La législation juridique et financière évolue en permanence...