Separations de biens

Bonjour,

je me permets de vous écrire car je suis un peu perdue, et sans solution concrete.

Les faits, je me suis mariée en 2006 sous le regime de la communauté des biens, au cours de ce mariage nous avons acquis avec mon mari une maison en reinjectant 90 000 euros qui nous provenaient de la vente d'un appartement acquis hors mariage à 50/50.

Mon mari m'a mis à la porte de notre domicile en juillet 2008 pour y refaire sa vie, j'ai dû trouver un nouvel appartement, j'ai donc cesser de payer le rembousement du pret ( je ne pouvais pas assumer un credit en plus de mon loyer) et j'en ai informé le banquier.
J'ai entamé une procédure de divorce à l'amiable en octobre 2008 pensant que sous ce regime les choses allaient aller plus vite. Le divorce a enfin été prononcé en mars 2011 avec une demande de partage des biens, j'a donc contacte le notaire ( notaire choisi par les deux parties pour faciliter...je le croyais les choses.)
Mn ex mari continue à vivre dans notre maison, acquise en 2006 pour la somme de 330000 euros, j'ai eu de la peine à faire estimer cette maison par une agence immobiliére car mon ex present dans les murs raconte des mensonges à l'agent immobilier afin de baisser le prix de l'estimation sans aucun justificatif de devis( credit en cours 230000).
Le notaire nous reçu dans son étude et j'ai donc réclamé la somme de 45000 euros, somme qui correspond à ma soulte( argent investi à l'achat de la maison). Mon ex refuse de me verser quoique ce soit et me traite de voleuse. Aujourd'hui je suis dans l'impasse car le notaire me demande de lui verser la somme de 300 euros afin de nous notifier par huissier une convocation dans son étude pour ouvrir un cahier des comptes. Je vous précise que je suis toujours liée au crédit immobilier de cette maison et à l'heure actuelle je ne peux pas refaire ma vie ni investir, je vous demande de l'aide cette situation dure depuis plus de trois ans. Mon avocat ne fait rien et c'est moi qui ecrit ou téléphone au notaire.

Merci par avance d'avoir pris soin de me lire.