Menaces de mort par un supérieur hiérarchique

salariée harcelée -  
OnEstPasRendu Messages postés 2 Statut Membre -
Bonjour,
hier dans une réunion le directeur général de l'organisation dans laquelle je travaille c'est tourné vers moi a eu un geste non équivoque : tenir un fusil et me viser en faisant boum boum et en citant deux noms de salariés de l'entreprise dont le mien. ceci constitue til une menace de mort de la part d'un supérieur hiérarchique vis à vis d'un de ses subordonnés. peut on aussi le classer dans la catégorie harcélement moral?

3 réponses

Romain
 
Il est malade ce mec
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nemrod18 Messages postés 28022 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention   4 762
 
Comment pouvez vous juger, vous ne connaissez pas le contexte.
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nemrod18 Messages postés 28022 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention   4 762
 
Bonjour,

Comment voulez vous avoir une réponse à ce genre de question ?

Il faut donner plus d'explications sur cette réunion, quelle était le but, quelle était la conversation au moment de ce geste ? etc...

VOUS êtiez à cette réunion, pas moi.
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OnEstPasRendu Messages postés 2 Statut Membre
 
Bonjour,

Effectivement le contexte est très important, peut-être s'agit-il juste de sa façon de vous exprimer que ce que vous veniez dire n'était pas approprié à l'objet de la réunion... Quoiqu'il en soit il s'agit d'un comportement déplacé qui peut etre assimilé à une volonté de nuire ou à de l'incivilité (surtout en réunion) donc à un harcelement moral.
Personnellement je demanderais à rencontrer ce directeur pour qu'il vous explique son geste et lui exprimer votre malaise.
S'il refuse de vous rencontrer ou ne vous prend pas au sérieux, voire réitère son geste, selon la taille de votre entreprise je pense que vous pouvez expliquer ce fait à un délégué du personnel, à un représentant d'un syndicat, ou au medecin du travail, qui pourront demander une mediation ou directement saisir les prud'hommes (d'après ce que j'ai retenu d'une formation sur les risques psycho-sociaux en entreprise, à confirmer).
Ce sera à lui d'apporter la preuve que son geste ne constitue pas un harcèlement.
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