Enfant conseils urgents

fleurbreiz Messages postés 6 Statut Membre -  
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Bonjour,
Voilà mon histoire :
J'ai vécu 3 ans avec X père de mon enfant,. Notre vie commune a commencé à mes 3 mois de grossesse en mai 2004 et à pris fin le 27 avril 2007. 39 ans)
Il y avait une maltraitance avérée de la part du père L’enfant (avec témoins) ainsi que de la violence psychologique envers moi et mes 2 filles issues d'un 1er mariage.
Pendant notre vie commune le père était indifférent et violent ( revers de bras en jetant L’enfant, le faisait pleurer à chaque fois qu’il était en demande d’affection) avec, puis ayant pris la décision de partir, il a revendiqué ses droits sur L’enfant, en disant "Je ferai ce que je veux avec lui, j'ai l'autorité parentale"

Avant la séparation et quand il a pris la décision de partir (je le lui disais depuis plus d'un an)il a amené L’enfant malade chez sa mère, contre mon avis, et l'a ramené en état de crise. L’enfant avait de la température, une bronchite. Il n'avait pas dormi, pas mangé, et s'est roulé par terre pendant 1h30 avant que je réussisse à le calmer, et a refusé de manger le soir, il était épuisé (2ans) S'en est suivi plusieurs scènes du genre sous prétexte d'autorité parentale. Les réactions du père étaient; en voyant L’enfant dans ces états : un air de satisfaction, roulant des épaules, et il n'est jamais intervenu pour calmer ou aider L’enfant. Il semblait satisfait, semblait prendre plaisir à ce genre de scènes.
J'ai eu moi aussi très peur quand un soir il m'a plaquée sur le lit en me disant "je vais te démolir la gueule comme t'as jamais eu la gueule de démolie!" Je lui ai dit de me lâcher et il l'a fait. Avant qu'il parte du domicile il m'a aussi dit "Je prends mon pied à te voir comme ça" Effectivement, je pense qu’il s'en prenait aux enfants pour me faire du mal.

Après son départ, lors des retours des visites avec son père, L’enfant revenait à chaque fois, en état de crise (il se roulait par terre pendant des heures, hurlait, criait, ne communiquait plus verbalement, fuyait mon regard. Je suis allée consulter une pédopsychiatre en urgence car mon enfant était très perturbé.
J'ai fait appel aux services sociaux pour leur faire part de ces difficultés et pour leur expliquer comment se déroulait notre quotidien pendant la vie commune :

Mr x est venu vivre avec moi, j'étais enceinte de 3 mois et j'avais 39 ans. il fallait que je fasse une amiocenthèse pour laquelle le père n'a pas voulu m'accompagner. Quand je suis revenue de l'examen, il m'a dit texto : "C'est toi qui est en cloque, t'as qu'a te démerder, j'en ai rien à foutre" le reste de la grossesse c'est passée dans le même contexte.
A l'arrivée de L’enfant, il se montrait constamment énervé. D'ailleurs, en revenant de la maternité j'ai dû faire 2 heures de ménage et aérer car le père fumait sans jamais ouvrir les fenêtres et ne faisait pas de ménage sous prétexte que quand il vivait seul il n'avait pas à le faire.
Quand L’enfant pleurait, il ne le supportait pas, était toujours à se plaindre et partait du domicile pour différents prétextes et surtout pour aller à la pêche, sa passion. J'étais seule à m'occuper de L’enfant et de son bien être.

Puis il a fallu que je reprenne le travail quand L’enfant a eu 5 mois, l'ambiance était toujours la même. Il régnait dans la maison une tension permanente, le père ne s'adressait jamais à L’enfant mais à moi en me reprochant ses apprentissages " Il monte dans les escaliers, il monte sur le canapé, il va dehors et il salit la maison (c'est moi qui faisait le ménage) , il n'a pas le droit d'aller dans le garage(son père lui claquait la porte au nez) il m'emmerde, je pensais pas que c'était comme ça les gosses, je peux rien foutre avec lui, il est chiant, il m'em^peche de dormir, il est tout le temps dans mes pattes, je ne peux pas manger dans cette maison (je lui disant de ne pas manger du saucisson devant lui quand il mangeait sa soupe)Quand il a commencé à manger seul, "il en fout partout, je vais obligé de venir à table en bleu de travail" « C’est toi qui t’occupera de lui pour l’école, moi j’y connais rien »
Si L’enfant jouait avec des casseroles et des cuillères en bois (que je lui donnait)c'était " y'a qu'a lui donner un marteau pour qu'il casse le carrelage !" "il fout le bordel partout" (les jouets étaient par terre)tu le laisses tout faire..
« Qu’est ce que je vais faire avec lui ? » était la question qu’il me posait quand je travaillais le week end. Il n’a jamais été se promener, n’est jamais sorti avec lui de la maison pendant notre vie commune, même pas dans le jardin, car Mr X a peur des araignées et ne voulait surtout pas ouvrir les fenêtres de peur qu’il en rentre. Il était donc enfermé pendant mon absence, dans une atmosphère tabagique. D’où une fragilité des bronches et plusieurs crises d’athsmes.

Tous les jours il y avait une scène car L’enfant l'agaçait constamment. J'en passe car la liste est longue...
Son attitude en plus des paroles étaient violentes, L’enfant jeté par 2 fois d'un revers de bras devant moi, il avait à peine 2 ans.
Systématiquement il ne lui mettait jamais son couvert, il fallait que je lui rappelle l'existence de L’enfant. Il partait en cachette à la pêche, il ne disait jamais au revoir, il faisait pleurer L’enfant pour tous les prétextes....
Dans le cadre de mon travail, j'ai eu l'opportunité de suivre une formation.. J'ai demandé au père de m'aider dans les tâches quotidiennes, ce qu'il faisait parfois, en se mettant devant moi, et en me disant "oui, chef" et en se mettant au garde à vous (il mesure 1m87)
Donc j'avais un mémoire à rédiger, des cours, et je travaillais 1 week end sur 2.
Tout cela dans une ambiance détestable, un harcèlement moral indirect, car Mr X s'en prenait surtout à ma 2ème fille, la faisait pleurer pour des détails futiles. il a fallu qu’il s’occupe de L’enfant et cela semblait l’énerver beaucoup. Un jour il m'a dit "J'en ai marre d'être là à faire la bonne femme" ou encore, "A cause de ton boulot de merde, je suis coincé comme un con 1 week end sur 2 à la maison.
Mr x prenait L’enfant à témoin pour lui dire « t’as vu, ta mère est folle » quand je disais quelque chose.

Toute notre vie commune, il a fallu que je m'oppose à lui pour défendre les enfants contre son harcèlement.

Puis après la séparation mon aînée m'a dit que le père l'aurait pris par les pieds et secoué( pour le faire rire) quand il avait environ 6 mois parce que L’enfant pleurait et ensuite il l'a mis au lit et qu’un jour en rentrant de l’école elle l’a surpris à regarder un film pornographique.
Au début de notre vie commune le père s’était abonné à une chaîne de "charme" (il l'appelait ainsi ) il regardait cela, en compagnie de L’enfant qui avait 2 mois. Je lui ai dit d'arrêter, que c'était de la pornographie et non du charme, il a interpellé L’enfant en lui disant "regarde c'est beau" en riant.
C'était un père absent qui était parti tous les week end à la pêche, souvent jusqu'à 3 h du matin ainsi qu'en semaine. Il fumait du cannabis avant d'aller au travail (peut être aussi sur son lieu de travail d'après ses dires), buvait tous les soir du Ricard en grosse quantité et beaucoup de vin.

Les services sociaux ont mis en place l’intervention d’une travailleuse familiale qui est intervenue chez moi et a constaté que L’enfant avait (et a toujours) des propos et des attitudes sexuées.
-Encoprésie
-peur de se déshabiller
-agitation anormale
-"regarde mon zizi" en baissant son pyjama
tous les gestes, actes étaient en rapport avec le sexe.

Elle a fait un signalement, est partie 1/2 heure avant la fin de son intervention, me laissant complètement désemparée.
J'ai eu très peur, j'avais contacté les services sociaux pour maltraitance et il s'avérait que cela semblait plus grave.
J’ai téléphoné au 119 qui m’ont conseillé de porter plainte à la brigade des mineurs. Le signalement a été classé sans suite, malgré le témoignage de la TISF . Devant la pédopsychiatre L’enfant a tenu des propos sexués se rapportant à son père, elle aurait soi disant fait remonté l'information. Le père exerçait des pressions auprès des services sociaux en disant que je suis folle et que c'est moi qui ai inventé tout cela pour l’empêcher de voir L’enfant.

Un 1er jugement devant le JAF a donné un droit de visite au père : les semaines paires le samedi de 9h30 à 18h et le dimanche aux même horaires les semaines impaires, sans hébergement.

Puis après avoir subit des pressions de la part des services sociaux, (ils me voyaient très fatiguée) j'ai été hospitalisée 2 nuits en psychiatrie et L’enfant placé chez une assistante maternelle. Je suis sortie rapidement de l'hôpital car les services sociaux m'avaient parlé de "repos" mais les médecins voulaient me bourrer de médicaments. Cependant L’enfant est resté une semaine chez l’assistante maternelle avec mon accord. Devant elle, il a parlé de "zizi bizarre de papa".Il en a parlé aussi à la puéricultrice de secteur, disant qu'il avait peur que papa brûle son zizi avec une cigarette.
Malgré cela, les services sociaux ont pris parti ouvertement pour Mr X, le chef de service me disant au téléphone "votre enfant n'est pas bien car il a besoin de voir son père, et vous madame vous n'êtes pas dans un état de vous occuper lui, allez vous faire soigner"

L’enfant aurait parlé à l’asst. Mater. des histoires de "zizi bizarre" me concernant aux dires du chef de service ,il a signalé ce fait à la brigade des mineurs le matin même avant que le signalement parte au procureur. (Je pense que c'est pour cela qu'il y a eu un classement sans suite)

J'ai été convoquée par les services sociaux et après 2 heures 1/2 d'intimidation de la part de la chef du service enfance et de la psychologue du service social, ils ont voulu placer mon enfant en famille d'accueil (tous les formulaires étaient prêts)
Devant mon refus, les personnes des services sociaux m'ont dit qu'alors ils demandaient une mesure d'investigation éducative.

L’enfant à continué de voir son père pendant ce temps et son état à empiré.

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fleurbreiz Messages postés 6 Statut Membre
 
klmk
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