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2 réponses
Fumeur de shit suicidaire dans la fonction publique ? Pourquoi est ce que ça ne m'étonne pas ;)
Bon d'un côté je peux comprendre le bouleversement que c'est. Avoir des rapports protégés et se retrouver avec un enfant malgré lui, c'est pas spécialement une bonne nouvelle. C'est facile d'assumer un choix quand on le prend, pas quand on nous l'impose.
D'un autre côté vu que ça l'intéresse pas et que rester avec lui ne serait pas bénéfique, autant faire le nécessaire.
Je pense à un truc qui n'aurait aucune valeur en soit mais qui pourrait être intéressant pour le juge le moment venu. Quand il est bien "high", lui faire signer un papier comme quoi il ne veut pas être père et qu'il renonce à ses droits et obligations en tant que père.
Bien entendu, en tant que tel, ce genre de papier n'a pas de valeur sur l'autorité parentale. Mais s'il venait à réclamer la garde, ça intéressera le JAF. Et puis quoi ? Il va dire qu'il a signé ça sous l'emprise de la drogue et que donc ça ne compte pas ? ;)
A défaut tout document dans ce sens sera bon à prendre. Faut pas hésiter à correspondre par écrit.
Bon d'un côté je peux comprendre le bouleversement que c'est. Avoir des rapports protégés et se retrouver avec un enfant malgré lui, c'est pas spécialement une bonne nouvelle. C'est facile d'assumer un choix quand on le prend, pas quand on nous l'impose.
D'un autre côté vu que ça l'intéresse pas et que rester avec lui ne serait pas bénéfique, autant faire le nécessaire.
Je pense à un truc qui n'aurait aucune valeur en soit mais qui pourrait être intéressant pour le juge le moment venu. Quand il est bien "high", lui faire signer un papier comme quoi il ne veut pas être père et qu'il renonce à ses droits et obligations en tant que père.
Bien entendu, en tant que tel, ce genre de papier n'a pas de valeur sur l'autorité parentale. Mais s'il venait à réclamer la garde, ça intéressera le JAF. Et puis quoi ? Il va dire qu'il a signé ça sous l'emprise de la drogue et que donc ça ne compte pas ? ;)
A défaut tout document dans ce sens sera bon à prendre. Faut pas hésiter à correspondre par écrit.
Mon but n'est pas de le "piéger" mais simplement de lui faire ouvrir les yeux quant aux responsabilités d'un père pour son enfant... De plus, j'éviterais tout de même de lui faire signer quoi que ce soit, car on ne sait pas ce qui peut être raconté au moment ou c'est raconté... Puis vis à vis de "notre" enfant, non je ne me permettrai pas ce genre d'acte... Il serait égoïste de ma part d'agir ainsi, je ne veux pas expliquer à mon enfant plus tard que j'ai fais signer le papier à son père qui était sous l'emprise de la drogue...
Quant à la phrase type "C'est facile d'assumer un choix quand on le prend, pas quand on nous l'impose"... Vous savez, pour moi il n'a pas non plus été facile d'assumer "mon choix" (je reviendrai sur le terme). J'avais beaucoup de projets, notamment reprendre mes études, je n'avais pas encore d'appartement "à moi", je devais donc commencer à mettre de l'argent de côté afin de pouvoir me trouver un logement décent et beaucoup d'autres. Comment peut-on parler de choix ? Pour une femme... ce n'est pas un choix mais un devoir. J'ai une conception de l'avortement qui m'appartient, je ne vais donc pas débattre sur le sujet. Lorsqu'un homme décide d'ôter le préservatif, qu'importe la prise de pilule de la part de son amie, c'est prendre le risque, d'où la question "tu es certaine que cela ne te gêne pas" de la part de tous les hommes qui le désirent (et je vais rappeler après les tests du VIH passés)... Pour la femme c'est également un évènement imposé lorsqu'il apparaît avec l'effet de surprise. Mais bref je ne vais pas épiloguer sur le sujet, je m'évade.
Je reste tout de même très stupéfaite de cette réponse inattendue... & malgré mon respect, je dois dire que celle-ci serait à éviter quant il s'agit de conseils aussi sérieux...
En vous remerciant tout de même pour le temps passé à lire mes écrits...
Quant à la phrase type "C'est facile d'assumer un choix quand on le prend, pas quand on nous l'impose"... Vous savez, pour moi il n'a pas non plus été facile d'assumer "mon choix" (je reviendrai sur le terme). J'avais beaucoup de projets, notamment reprendre mes études, je n'avais pas encore d'appartement "à moi", je devais donc commencer à mettre de l'argent de côté afin de pouvoir me trouver un logement décent et beaucoup d'autres. Comment peut-on parler de choix ? Pour une femme... ce n'est pas un choix mais un devoir. J'ai une conception de l'avortement qui m'appartient, je ne vais donc pas débattre sur le sujet. Lorsqu'un homme décide d'ôter le préservatif, qu'importe la prise de pilule de la part de son amie, c'est prendre le risque, d'où la question "tu es certaine que cela ne te gêne pas" de la part de tous les hommes qui le désirent (et je vais rappeler après les tests du VIH passés)... Pour la femme c'est également un évènement imposé lorsqu'il apparaît avec l'effet de surprise. Mais bref je ne vais pas épiloguer sur le sujet, je m'évade.
Je reste tout de même très stupéfaite de cette réponse inattendue... & malgré mon respect, je dois dire que celle-ci serait à éviter quant il s'agit de conseils aussi sérieux...
En vous remerciant tout de même pour le temps passé à lire mes écrits...