Un patron dictateur / un contrat non respecté

Bonjour, je suis actuellement conseiller commercial automobile dans un groupe de marque française. Embauché comme Vendeur Occasion sedentaire, je me retrouve parachuté par accord oral au poste de vendeur véhicule neuf. Hors je n'ai toujours pas recu d'avenant au contrat. Avant de donner mon accord ( oral ) j'ai bien stipulé que je ne souhaitais pas etre vendeur secteur, et desirais rester sedentaire, c'est à dire travailler au magasin. Hors ce jour mon patron me somme de quitter la société afin de demarcher en porte à porte des clients sur un secteur non epauler par des apporteurs d'affaires.
En arrive la question : suis je obligé d'accepter ce genre de conditions de travail ou puis je faire jouer le fait que je n'ai signé aucun avenant... ? Car si mes collegues, vendeurs secteur ont dors et deja du mal dans le contexte actuel à realiser leurs objectifs, tout en beneficiant de l'appui d'apporteurs d'affaires, je me demande comment je pourrais en ce qui me concerne, realiser de bon chiffre et vendre des vehicules en faisant du porte a porte...

De plus, le directeur ( et non pdg ) de l'entreprise pratique le harcelement moral à outrance, et beaucoup de personnes ont quitté la dite entreprise depuis que j'y travaille : 6 mois. Les insultes ainsi que l'espionnite aigue y sont monnaies courante et je me tate a savoir si je ne devrais assigner cette personne en justice, pas pour gagner de l'argent mais pour faire comprendre au pdg que la personne en place nuit enormement à l'entreprise. Pour preuve le refut categorique de grande entreprises de nous acheter des voitures depuis que je cite " l'americain " sera en place, ce qui represente pour certaines, anciennes clientes, plus de 40 vehicules à l'années.

Un peu perdu et ne sachant plus quoi faire j'espere trouver ici une aide professionnelle afin de m'orienter.
Je precise que je suis un vendeur experimenté et qu'avant de rejoindre ce groupe afin d'operer un rapprochement avec ma conjointe je gagnait grosso modo deux fois plus d'argent qu'aujourd'hui, et que je ne suis de ceux qui se froissent à la premiere critique...