Enfant non désiré

quendistu Messages postés 509 Date d'inscription lundi 3 novembre 2008 Statut Membre Dernière intervention 4 juin 2009 - 3 nov. 2008 à 11:26
 Homme aux droits baffoués - 18 févr. 2011 à 01:06
Bonjour, j'ai un ami dans une situation particulièrement délicate :
Sa compagne qui lui avait dit qu'elle prenait la pilule, ne la prenait pas en réalité
Au bout de 3 mois de vie commune elle est enceinte.
Lui ne souhaite pas cet enfant. Elle répond qu'elle veut un enfant.
Il lui demande d'interrompre la grossesse et lui propose de faire un enfant avec un autre homme.
Elle répond qu'elle veut cet enfant de lui et que l'ivg présente des risques
Lui répond qu'il n'a pas les moyens d'élever cet enfant
et qu'à supposer qu'il veuille un enfant, il aurait tout un ensemble de problèmes à résoudre d'abord
qu'ils ne se connaissent pas suffisament, notamment ils n'avaient jamais évoqué avant la grossesse
ni le fait d'avoir un enfant, ni lla manière d'élever l'enfant.
Elle répond qu'elle veut cet enfant "de lui quelqu'en soit le prix",
elle promet qu'elle ne demandera jamais rien,
et qu'elle envisage tout aussi bien de l'élever seule dans son pays d'origine
Mon ami lui demande : comment peut-tu exiger un enfant de moi puisque tu envisages de l'élever sans moi ?
Elle ne répond rien et quitte son appartement puis ne lui a pas donne plus de nouvelles
De surcroit il s'est rendu compte que cette personne qui se disait française ne l'est pas.
que le licenciement évoqué au début de leur relation, n'en était pas un ;
elle est partie délibérément de ce travail non déclaré

Mon impression ;
elle s'est servie de lui et de sa naïveté
elle veut faire naître un enfant sur le sol français pour qu'il ait automatiquement la nationalité française
et qu'elle obtienne le driit de vivre en France en tant que mère d'un enfant français.
elle ne tiendra pas sa promesse de ne rien demander et au contraire obtiendra de la justice une pension.
j'ai l'impression que l'ivg est maitrisée et ne présente pas de risque de séquelle
qu'en revanche le risque d'un enfant non désiré est bien plus grave pour son équilibre
que c'est précisément l'un des risques que le législateur a voulu éviter en autorisant l'ivg.

qu'en dites vous ? en particulier sur les risques réels d'ivg ?

5 réponses

Théo89 Messages postés 1426 Date d'inscription dimanche 12 octobre 2008 Statut Membre Dernière intervention 9 août 2009 819
3 nov. 2008 à 13:52
je confirme qu'un juge se fout royalement de savoir le pourquoi du comment le fait est que l'enfant a un pere(volontaire ou pas, aventure ou histoire serieuse) et qu'il faudra assumer des deux cotés!
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L'ex de mon mari aussi lui a fait un enfant dans le dos, pour pouvoir partir de chez elle.
Mon mari lui a aussi proposé l'IVG, mais évidement, elle a refusé.
Depuis leur rupture, elle nous en fait voir de toutes les couleurs, réclame une grosse pension alimentaire.
Elle a "refait le coup" à un autre, qui lui, n'a pas voulu reconnaître l'enfant non désiré.
J'appelle ses enfants, des enfants "otage", et ce sont eux qui subissent tout ça.
Nous l'accueillons les bras ouverts, mais sa mère met des bâtons dans les roues.
Elle se sert de ses filles pour obtenir ce qu'elle veut, elle a même déménagé à l'étranger sans demander l'accord de mon époux qui a l'autorité conjointe, elle a déjà changé plusieurs fois la petite d'école, toujours sans notre accord.
Ses femmes là existent, malheureusement....
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Théo89 Messages postés 1426 Date d'inscription dimanche 12 octobre 2008 Statut Membre Dernière intervention 9 août 2009 819
3 nov. 2008 à 12:30
bonjour, qu'elle lui ai fait un petit dans le dos ou pas( peut etre en voulait elle pour etre mere tout simplement,du moins j'espere que tu as tort, ca va me mettre encore en colere lol) l'enfant est là et personne ne pourra l'obliger a avorter!Par contre, si tu pense qu'elle hesite quand meme,qu'elle voulait cet enfant de ton ami juste pour le garder, et que du fait de son refus elle peut avorter, dis lui bien que l'avortement est sans danger, rapide pas trop agreable mais fait en 15 mn, une journee d'hospitalsation, quelle devra pour cela en parler a son medecin puis 15 jours de délai de reflexion.J'essaie de rester objective car je suis fondamentalement contre l'ivg, bien qu'ayant du y recourir pour des raisons importantes pour moi, je n'en suis quand meme pas vraiment remise psychologiquement!L'ivg n'est pas un jeu, l'enfant n'est pas un objet meme a trois mois , on ne s'en debarrasse pas dés que ca gene!Son ex peut parfaitement l'éléver seule, ton ami s'acquittera comme tout le monde d'une pension et pourquoi pas se prendra d'amour et d'affection pour cet enfant, cela arrive souvent, tard, mais il n'est jamas trop tard!Maintenant à connaitre les raisons réelles de cette grossesse j'espere que ce n'est pas uniquement pour rester sur le sol francais, si c'est le cas je ne vais pas te dire de la pousser a avorter bien sur mais j'espere pour l'enfant, que malgré ces mauvaises intentions de départ, sa mère l'aimera malgré tout!
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L'IVG n'est pas obligatoire (encore heureux, on est pas chez les islamistes intégristes).

Quand quelqu'un a des rapports avec une personne qu'il ne connait pas, il prend lui même des précautions. Votre ami n'a pas besoin qu'on lui explique comment on fait les bébés, n'est ce pas ? parce que quand on sème ses petites graines sans plus de précautions, on en assumes les conséquences.

Bref la pension, si un juge estime qu'il doit la payer, il la paiera.
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Homme aux droits baffoués
18 févr. 2011 à 01:06
Je trouve la loi vraiment discriminatoire. Il y a quelques années ma copine est tombée enceinte, mais selon elle il était trop tôt pour avoir un enfant et donc sans même mon consentement elle a subit un IVG. Aujourd'hui une femme que je ne fréquente même pas est malencontreusement tombé enceinte un soir où l'alcool coulait à flot. Bien entendu je ne désire pas cet enfant, mais encore une fois mon avis n'a aucun poids, et elle tient à le garder. Vous voyez, les hommes n'ont aucun droits en ce domaine. Il serait temps, selon moi, de repenser la loi à cet égard. Par exemple, une femme qui désire un enfant non-désiré par le père devrait être obligé à renoncée à toute forme d'aide pour cet enfant. Et du même coup, un homme désirant garder un enfant pourrait assumé à lui seul la parentalité, dans ce cas la femme n'aurait pas le droit de subir un IVG.
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