Arrêt maladie de complaisance.
Résolu/Fermé
Saturnin
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akim -
akim -
Bonjour,
Je suis cadre dans une entreprise, donc moi-même salarié. Un de mes collaborateurs m'a carrément planté en se mettant arrêt maladie. En fait, je lui avais offert l'opportuniit" de développer un nouveau site, ce qui lui permettait de se rapprocher de sa région d'origine. Après quelques mois d'acitivité et un entretien au cours du quel je lui avais fait part de mes doutes concernant son implication et sa présence sur le terrain, ce dernier s'est fait arrêter le soir même par son médecin traitant. Hormis le fait que je me retrouve le bec dans l'eau ne pouvant faire fonctionner ce nouveau site, le salarié ne me permet pas d'envisager d'autres solutions dans la mesure où il renouvellle ses arrêts toutes les semaines en m'affirmant qu'il reviendrait la suivante.
Je ne suis pas dupe et sais bien qu'il ne reviendra pas, tout au moins avant les congés.
Je n'ai pas beaucoup de moyen car d'une part, je suis à 400 km de son lieu de travail et d'autre part, il a eu des antécédants cardiaques et n'aura pas de mal à défendre son dossier.
Le pire, c'est que j'ai appris, et j'ai pu le vérifier par moi même, qu'il travaillait, vraisemblablement au noir, dans la brasserie de sa compagne tous les midiis. En fait, je le soupçonne de le faire depuis bien avant son arrêt maladie, mais se doutant que je commenais à avoir des soupçons sur son implication, ce dernier a préféré se mettre en arrêt pour être "libre" de tout engagement professionnel.
LE service RH de mon entreprise prétend que l'on ne peut rien faire compte tenu de ses antécédants médicaux. J'ai du mal à accepter cette version des choses.
A l'heure où on parle de trou abyssal de la sécurité sociale, on propose de dérembourser les médicaments ou de lever le 100% à des vrais malades qui en plus de soucis de santé se verraient confronter à des soucis financiers.
Personne ne veut vraiment s'attaquer aux arrêts maladie de complaisance. Ce n'est pas un cas isolé dans l'entreprise, qui coutent chers à la collectivité, à l'entreprise et aux salairés qui restent et doivent assumer la défaillance de leur collègue.
Quelqu'un peut-il m'indiquer une démarche à suivre ou dois-je me contenter de pester et accepter cette injustice?
Je suis cadre dans une entreprise, donc moi-même salarié. Un de mes collaborateurs m'a carrément planté en se mettant arrêt maladie. En fait, je lui avais offert l'opportuniit" de développer un nouveau site, ce qui lui permettait de se rapprocher de sa région d'origine. Après quelques mois d'acitivité et un entretien au cours du quel je lui avais fait part de mes doutes concernant son implication et sa présence sur le terrain, ce dernier s'est fait arrêter le soir même par son médecin traitant. Hormis le fait que je me retrouve le bec dans l'eau ne pouvant faire fonctionner ce nouveau site, le salarié ne me permet pas d'envisager d'autres solutions dans la mesure où il renouvellle ses arrêts toutes les semaines en m'affirmant qu'il reviendrait la suivante.
Je ne suis pas dupe et sais bien qu'il ne reviendra pas, tout au moins avant les congés.
Je n'ai pas beaucoup de moyen car d'une part, je suis à 400 km de son lieu de travail et d'autre part, il a eu des antécédants cardiaques et n'aura pas de mal à défendre son dossier.
Le pire, c'est que j'ai appris, et j'ai pu le vérifier par moi même, qu'il travaillait, vraisemblablement au noir, dans la brasserie de sa compagne tous les midiis. En fait, je le soupçonne de le faire depuis bien avant son arrêt maladie, mais se doutant que je commenais à avoir des soupçons sur son implication, ce dernier a préféré se mettre en arrêt pour être "libre" de tout engagement professionnel.
LE service RH de mon entreprise prétend que l'on ne peut rien faire compte tenu de ses antécédants médicaux. J'ai du mal à accepter cette version des choses.
A l'heure où on parle de trou abyssal de la sécurité sociale, on propose de dérembourser les médicaments ou de lever le 100% à des vrais malades qui en plus de soucis de santé se verraient confronter à des soucis financiers.
Personne ne veut vraiment s'attaquer aux arrêts maladie de complaisance. Ce n'est pas un cas isolé dans l'entreprise, qui coutent chers à la collectivité, à l'entreprise et aux salairés qui restent et doivent assumer la défaillance de leur collègue.
Quelqu'un peut-il m'indiquer une démarche à suivre ou dois-je me contenter de pester et accepter cette injustice?
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2 réponses
avant d'entamer une procedure administrative, proposer une visite médicale à votre médecin du travail afin d'évaluer son aptitude professionnelle et dire si l'interessé est apte à travailler ou non en prenant compte de ces antecédants médficaux.
le tout est de prouver que cet arret est "de complaisance". Pas facile, le médecin étant lié au secret proffesionnel.
Romane
Romane
Je suis bien d'accord. En même temps, je n'attends rien de son médecin qui est de mauvaise foi. Ce que j'ai du mal à vivre est d'avor la preuve que le pseudo malade travaille dans la brasserie de sa compagne et tout cela au frais de la société. N'ayant aucun échos de la sécurité sociale préférant dérembourser des traitements aux plus nécessiteux au lieu de s'attaquer à la fraude organisée, j'ai du mal à contenir ma colère face à mon impuissance.