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12 réponses
Bonjour à tous,
Pour avoir connu les mêmes problèmes qui pourrissent la vie, la lecture de vos posts appellent quelques remarques de ma part:
- On ne peux pas interdire les chiens, sauf s'ils ont un comportement dangereux. Il convient donc de faire contrôler la normalité comportementale de son chien régulièrement par le vétérinaire, par exemple lors de la visite annuelle de vaccination. La parole du vétérinaire comptera plus que celle du voisin agressif en cas de problème.
- Si le voisin a un comportement du type "marginal" (insultes, asociabilité, grossièreté chronique), il ne faut pas hésiter à le faire prendre à son propre jeu: après avoir déposé une plainte en gendarmerie ou au commissariat et en avoir une trace écrite, on peut activer les services sociaux de la ville ou du département pour "dangerosité comportementale" pouvant présenter une menace pour l'entourage. Ces services sont obligés de se déplacer et vont diligenter une enquête de voisinage, puis une enquête sociale. Souvent, les troubles comportementaux sont liés à une addiction (alcool, drogue) ou à un syndrome psychiatrique non décelé au préalable. Si cette démarche n'aboutit généralement qu'à une prise en compte socio-médicale du voisin indélicat, elle a au moins l'avantage d'appeler l'attention des services compétents sur la potentialité de la situation (forces de l'ordre, municipalité, DDASS, etc...) et de bien faire identifier, par le voisinage, qui est potentiellement dangereux de qui ne l'est pas.
- Toute démarche ne demande qu'un peu de courage et un peu de temps. C'est, justement, en ne faisant rien, que le voisin indélicat continue ses indélicatesses. Il acquiert alors un sentiment de toute puissance et, surtout, d'impunité. Parallèlement, votre bien immobilier perd de sa valeur à la revente du fait de ses agissements (qui irait habiter auprès d'un tel voisin ?).
Dans tous les cas, je ne peux que vous recommander de ne pas baisser les bras, de faire valoir votre droit inaliénable à jouir pleinement de votre domicile sans restriction et de continuer la lutte contre la connerie humaine (je sais, y'a du boulot ;-)
Bien à vous et courage,
Journey
Pour avoir connu les mêmes problèmes qui pourrissent la vie, la lecture de vos posts appellent quelques remarques de ma part:
- On ne peux pas interdire les chiens, sauf s'ils ont un comportement dangereux. Il convient donc de faire contrôler la normalité comportementale de son chien régulièrement par le vétérinaire, par exemple lors de la visite annuelle de vaccination. La parole du vétérinaire comptera plus que celle du voisin agressif en cas de problème.
- Si le voisin a un comportement du type "marginal" (insultes, asociabilité, grossièreté chronique), il ne faut pas hésiter à le faire prendre à son propre jeu: après avoir déposé une plainte en gendarmerie ou au commissariat et en avoir une trace écrite, on peut activer les services sociaux de la ville ou du département pour "dangerosité comportementale" pouvant présenter une menace pour l'entourage. Ces services sont obligés de se déplacer et vont diligenter une enquête de voisinage, puis une enquête sociale. Souvent, les troubles comportementaux sont liés à une addiction (alcool, drogue) ou à un syndrome psychiatrique non décelé au préalable. Si cette démarche n'aboutit généralement qu'à une prise en compte socio-médicale du voisin indélicat, elle a au moins l'avantage d'appeler l'attention des services compétents sur la potentialité de la situation (forces de l'ordre, municipalité, DDASS, etc...) et de bien faire identifier, par le voisinage, qui est potentiellement dangereux de qui ne l'est pas.
- Toute démarche ne demande qu'un peu de courage et un peu de temps. C'est, justement, en ne faisant rien, que le voisin indélicat continue ses indélicatesses. Il acquiert alors un sentiment de toute puissance et, surtout, d'impunité. Parallèlement, votre bien immobilier perd de sa valeur à la revente du fait de ses agissements (qui irait habiter auprès d'un tel voisin ?).
Dans tous les cas, je ne peux que vous recommander de ne pas baisser les bras, de faire valoir votre droit inaliénable à jouir pleinement de votre domicile sans restriction et de continuer la lutte contre la connerie humaine (je sais, y'a du boulot ;-)
Bien à vous et courage,
Journey
6 sept. 2009 à 11:39
Ne vous laisser pas faire par les cons !
18 mars 2010 à 22:16