Mise en disponibilité d'un agent territorial
Résolu/Fermé
provence tantine
Messages postés
1
Date d'inscription
mercredi 2 avril 2008
Statut
Membre
Dernière intervention
2 avril 2008
-
Modifié par Matthieu-B le 9/05/2011 à 18:12
Seryma1 Messages postés 1 Date d'inscription vendredi 14 septembre 2018 Statut Membre Dernière intervention 11 janvier 2019 - 11 janv. 2019 à 14:31
Seryma1 Messages postés 1 Date d'inscription vendredi 14 septembre 2018 Statut Membre Dernière intervention 11 janvier 2019 - 11 janv. 2019 à 14:31
Bonjour,
J'ai un gros soucis : Je termine un an de maladie ordinaire, une déclaration d'incapacité absolue et définitive de travailler sur mon poste et enfin une demande de reclassement non aboutie car la mairie n'a trouvé aucun poste. Je vais donc être en disponibilité dans l'attente d'un poste en reclassement. On m'a vaguement expliqué que je vais percevoir la valeur d'un demi salaire par contre on ne sait pas qui va me la payer ni si j'ai droit à une autre indemnité telle que cotorep ou assedic ou allocations familiales.... Je suis ainsi très inquiète pour les jours à venir car avec un 1/2 salaire qui peut s'en sortir ?
Si quelqu'un est ou a été dans cette situation peut m'éclairer sur ce problème, cela me permettrai peut être de moins stresser.
Merci à tous
J'ai un gros soucis : Je termine un an de maladie ordinaire, une déclaration d'incapacité absolue et définitive de travailler sur mon poste et enfin une demande de reclassement non aboutie car la mairie n'a trouvé aucun poste. Je vais donc être en disponibilité dans l'attente d'un poste en reclassement. On m'a vaguement expliqué que je vais percevoir la valeur d'un demi salaire par contre on ne sait pas qui va me la payer ni si j'ai droit à une autre indemnité telle que cotorep ou assedic ou allocations familiales.... Je suis ainsi très inquiète pour les jours à venir car avec un 1/2 salaire qui peut s'en sortir ?
Si quelqu'un est ou a été dans cette situation peut m'éclairer sur ce problème, cela me permettrai peut être de moins stresser.
Merci à tous
A voir également:
- Mise en disponibilité d'un agent territorial
- Mise en cet 390 - Forum CDD
- Mise en page lettre - Guide
- Mise en CET sur bulletin de paie aide ✓ - Forum CDD
- Lettre renouvellement disponibilité ✓ - Forum salariés
- Peut-on accepter un cdi pendant une disponibilité - Forum CDI
25 réponses
Bonjour,
Bien au fait de la chose, je suis en disponibilité d'office depuis 3 ans terminé en juillet 2008.
Pour ce qui concerne la réintégration, en absence de poste la Mairie a obligation de réintégration pendant un an, même une réontégration administrative, sans poste effectif mais avec un salaire complet. Il y a des infos en tapant : F.P.T. Disponibilité d'office pour maladie par Google.
La mairie paye un demi-salaire dans le cadre de la disponibilité d'office après avoir pris un arrêté municipal elle fait une feuille de paye, les avantages sont maintenus dans leur intégralité, quel que soit l'arrêt maladie ;
Au premier jour du 7ème mois en arrêt de maladie ordinaire, la rémunération est augmentée. Un an d'arêt en C.M.O. ouvre droit à congés payés comme un an travaillé.
La dispo d'office conduit à la retraite pour invalidité. Il convient de voir le taux 10, 15 %, ce qui représente de faibles revenus, très souvent.
Pourquoi ne pas demander la retraite directement, si les droits sont ouverts. Voir avec une assistante sociale de la CPAM, à la CAF ou celle du domicile. Attention aux services dont elle dépend. Malheureusement, la politique partisane joue bien des tours en la matière.
Essayez de trouver un avocat, même avec l'Aide juridictionnelle. Les syndicats sont "tous couchés" devant le pouvoir en place. Les représentants sont là pour leurs acquis et rien d'autres.
Nous en avons fait la douloureuse expérience.
Si la longue maladie est refusée cela correspond à une procédure de mise en licenciement déguisée.
La Mairie ne peut que savoir les lois et règlements, elle a toutes les instances à sa disposition pour l'aider : centre de gestion et service du contrôle de légalité et de l'intercommunalité auprès de la préfecture du déoartement.
La saisine du comité médical supérieur ne suspend pas le droit à rémunération. Tant que dure l'instruction du dossier le traitement continue : si épuisement du congé de disponibilité d'office réintégration dans le salaire complet.
Il n'y a pas d'autres solutions Voir un avocat et saisir le Tribunal Administratif pour le maintien du salaire.
Toutes les mairies sont au courant des choses et savent très bien où elles veulent en venir.
A plus pour d'autres info, il y a vraiment tous les renseignements par divers sites sur le net. Toujours formuler Fonction Publique territoriale : et mettre la question
Bon courage
Bien cordialement
Jean-François (je n'ai pas besoin de me cacher derrière un pseudo) Il faut avoir du courage et se montrer unis pour lutter.
Bien au fait de la chose, je suis en disponibilité d'office depuis 3 ans terminé en juillet 2008.
Pour ce qui concerne la réintégration, en absence de poste la Mairie a obligation de réintégration pendant un an, même une réontégration administrative, sans poste effectif mais avec un salaire complet. Il y a des infos en tapant : F.P.T. Disponibilité d'office pour maladie par Google.
La mairie paye un demi-salaire dans le cadre de la disponibilité d'office après avoir pris un arrêté municipal elle fait une feuille de paye, les avantages sont maintenus dans leur intégralité, quel que soit l'arrêt maladie ;
Au premier jour du 7ème mois en arrêt de maladie ordinaire, la rémunération est augmentée. Un an d'arêt en C.M.O. ouvre droit à congés payés comme un an travaillé.
La dispo d'office conduit à la retraite pour invalidité. Il convient de voir le taux 10, 15 %, ce qui représente de faibles revenus, très souvent.
Pourquoi ne pas demander la retraite directement, si les droits sont ouverts. Voir avec une assistante sociale de la CPAM, à la CAF ou celle du domicile. Attention aux services dont elle dépend. Malheureusement, la politique partisane joue bien des tours en la matière.
Essayez de trouver un avocat, même avec l'Aide juridictionnelle. Les syndicats sont "tous couchés" devant le pouvoir en place. Les représentants sont là pour leurs acquis et rien d'autres.
Nous en avons fait la douloureuse expérience.
Si la longue maladie est refusée cela correspond à une procédure de mise en licenciement déguisée.
La Mairie ne peut que savoir les lois et règlements, elle a toutes les instances à sa disposition pour l'aider : centre de gestion et service du contrôle de légalité et de l'intercommunalité auprès de la préfecture du déoartement.
La saisine du comité médical supérieur ne suspend pas le droit à rémunération. Tant que dure l'instruction du dossier le traitement continue : si épuisement du congé de disponibilité d'office réintégration dans le salaire complet.
Il n'y a pas d'autres solutions Voir un avocat et saisir le Tribunal Administratif pour le maintien du salaire.
Toutes les mairies sont au courant des choses et savent très bien où elles veulent en venir.
A plus pour d'autres info, il y a vraiment tous les renseignements par divers sites sur le net. Toujours formuler Fonction Publique territoriale : et mettre la question
Bon courage
Bien cordialement
Jean-François (je n'ai pas besoin de me cacher derrière un pseudo) Il faut avoir du courage et se montrer unis pour lutter.
Bonjour,
je viens de parcourir tous les messages de ce forum et je vois que nous sommes tous dans la même galère.
Pour ma part, je ne sais pas de quoi sera fait le lendemain.
Je m'explique. Je suis en C.L.D. depuis 3 ans 1/2. Une demande de prolongation a été faite et j'attends d'être convoqué par l'expert. Je suis actuellement en 1/2 traitement, mais heureusement que nous avons une assurance de complément de salaire. Je viens également d'être expertisé par le médecin agréé auprès de cette assurance qui a conclu que je n'étais pas apte à reprendre le travail, donc l'assurance va continuer à me verser ce complément de salaire pour le moment.
Ayant une affaire en cours, depuis 2 ans, contre mon employeur au T.A. (affaire qui n'a même pas encore été traitée lors d'une audience, rien pour le moment), je pense que mon employeur va tout faire pour me "détruire".
C'est ce qu'il voulait déjà faire peu avant mon C.L.D.. Donc il va certainement, soit me mettre dans une voie de garage et attendre que je fasse une bêtise pour pouvoir me licencier, soit me mettre en disponibilité d'office pour me pousser vers la porte de sortie.
La question que je me pose, durant une éventuelle disponibilité d'office, qui va me payer ? Si j'ai bien compris ce serait ma collectivité (1/2 traitement). Est-ce que, dans ce cas, l'assurance complément de salaire continuerait à payer la différence ?
Si tout s'oriente vers une retraite pour invalidité, est-ce qu'une dépression sévère peut donner droit à un minimum de 60% d'invalidité pour pouvoir bénéficier d'au moins 50% du dernier traitement ? Est-ce que, dans ce cas, l'assurance complément de salaire versera également quelque chose jusqu'à l'âge légal de départ à la retretraite ?
Il faut savoir que j'ai 19 années de privé et 9 années de fonction publique (en tant que stagiaire + titulaire). En fait 13 années de privé, 6 années de contractuel dans la même collectivité et 9 années de fonctionnaire.
Donc, si je ne suis pas reconnu à 60%, je ne toucherai vraiment pas grand chose, et comme je suis le seul à avoir un revenu dans notre foyer, cela va être catastrophique si cela devait arriver.
Merci d'avance pour vos réponses, et courage à vous toutes et tous.
je viens de parcourir tous les messages de ce forum et je vois que nous sommes tous dans la même galère.
Pour ma part, je ne sais pas de quoi sera fait le lendemain.
Je m'explique. Je suis en C.L.D. depuis 3 ans 1/2. Une demande de prolongation a été faite et j'attends d'être convoqué par l'expert. Je suis actuellement en 1/2 traitement, mais heureusement que nous avons une assurance de complément de salaire. Je viens également d'être expertisé par le médecin agréé auprès de cette assurance qui a conclu que je n'étais pas apte à reprendre le travail, donc l'assurance va continuer à me verser ce complément de salaire pour le moment.
Ayant une affaire en cours, depuis 2 ans, contre mon employeur au T.A. (affaire qui n'a même pas encore été traitée lors d'une audience, rien pour le moment), je pense que mon employeur va tout faire pour me "détruire".
C'est ce qu'il voulait déjà faire peu avant mon C.L.D.. Donc il va certainement, soit me mettre dans une voie de garage et attendre que je fasse une bêtise pour pouvoir me licencier, soit me mettre en disponibilité d'office pour me pousser vers la porte de sortie.
La question que je me pose, durant une éventuelle disponibilité d'office, qui va me payer ? Si j'ai bien compris ce serait ma collectivité (1/2 traitement). Est-ce que, dans ce cas, l'assurance complément de salaire continuerait à payer la différence ?
Si tout s'oriente vers une retraite pour invalidité, est-ce qu'une dépression sévère peut donner droit à un minimum de 60% d'invalidité pour pouvoir bénéficier d'au moins 50% du dernier traitement ? Est-ce que, dans ce cas, l'assurance complément de salaire versera également quelque chose jusqu'à l'âge légal de départ à la retretraite ?
Il faut savoir que j'ai 19 années de privé et 9 années de fonction publique (en tant que stagiaire + titulaire). En fait 13 années de privé, 6 années de contractuel dans la même collectivité et 9 années de fonctionnaire.
Donc, si je ne suis pas reconnu à 60%, je ne toucherai vraiment pas grand chose, et comme je suis le seul à avoir un revenu dans notre foyer, cela va être catastrophique si cela devait arriver.
Merci d'avance pour vos réponses, et courage à vous toutes et tous.
Bonjour,
je recontre un situation similaire : cela fait bientôt 2 ans que je suis en arrêt, suite à un accident du travail et je suis titulaire dans la fonction publique territoriale. Mon medecin me dit que je ne peux pas reprendre mon travail dans l'immédiat vu que j'avais un post de nuit. Mon employeur, lui, dit qu'il n'y a pas de poste pour moi de jour. J'ai une assurance de mainten de salaire (M.N.T.) mais je ne sais pas la durée (24 ou 36 mois ?). Lorsque je me renseigne sur mes droits, les réponses sont évasives alors qu'ils ont toutes les instances à leur disposition. J'ai peur d'être licenciée pour inaptitude physique, je suis déprimée car j'ai encore des enfants à charge, des crédits à rembourser et je suis encore loin de la retraite.
Je ne sais pas quelles démarches faire et auprès de qui ?
Aidez moi ...
je recontre un situation similaire : cela fait bientôt 2 ans que je suis en arrêt, suite à un accident du travail et je suis titulaire dans la fonction publique territoriale. Mon medecin me dit que je ne peux pas reprendre mon travail dans l'immédiat vu que j'avais un post de nuit. Mon employeur, lui, dit qu'il n'y a pas de poste pour moi de jour. J'ai une assurance de mainten de salaire (M.N.T.) mais je ne sais pas la durée (24 ou 36 mois ?). Lorsque je me renseigne sur mes droits, les réponses sont évasives alors qu'ils ont toutes les instances à leur disposition. J'ai peur d'être licenciée pour inaptitude physique, je suis déprimée car j'ai encore des enfants à charge, des crédits à rembourser et je suis encore loin de la retraite.
Je ne sais pas quelles démarches faire et auprès de qui ?
Aidez moi ...
Bonjour,
Première remarque : la mise en disponibilité d'office pour maladie est bien trop souvent évoquée comme une mesure fourre-tout où l'agent est placé lorsque l'autorité veut se séparer d'un agent indésirable. Cette mise en dispo doit être réalisée à la demande de l'employeur avec un processus bien précis. Taper : F.P.T. mise en disponibilité d'office pour maladie pour obtenir très précisément la marche à suivre légale, car il y a trop de pièges.
Pour ce qui concerne le salaire, il doit être préciser sur l'arrêté que le maire a obligation de prendre et de transmettre à l'agent. En général, 1:2 traitement payé à terme échu par la collectivité employeur en versant la totalité du complément familial et autres avantages, tout çà figure sur l'arrêté adressé à l'agent en L.R. avec A.R. Le complément de salaire est servi dans le cas d'une assurance de maintien de salaire M.N.T. ou assurance privée.
Voir la CAF pour une nouvelle étude des droits divers à cause de la modification de la situation et c'est pour cela que l'arrêté est très utile. Si l'employeur à un CCAS solliciter l'aide d'une assistante sociale, il y en a à la CAF, la CPAM, pour l'aide aux soins,dans les Conseils généraux, à la Mairie du lieu de résidence.
Il peut-être fait appel de l'avis du comité médical départemental : par un recours gracieux auprès de lui, ou bien auprès du comité médical supérieur auprès du Ministère de la Santé. Retrouver tout çà sur des sites du net. Si on estime que la mesure est abusive
La mise en disponibilité d'office est en général destinée à aller vers une retraite pour invalidité maladie : suivant le pourcentage d'invalidité prévu la pension de retraite pour maladie est plus ou moins importante.
L'invalidité est-elle vraiment définitive et absolue sans être passé par un C.L.M. ou un C.LD. i
Première remarque : la mise en disponibilité d'office pour maladie est bien trop souvent évoquée comme une mesure fourre-tout où l'agent est placé lorsque l'autorité veut se séparer d'un agent indésirable. Cette mise en dispo doit être réalisée à la demande de l'employeur avec un processus bien précis. Taper : F.P.T. mise en disponibilité d'office pour maladie pour obtenir très précisément la marche à suivre légale, car il y a trop de pièges.
Pour ce qui concerne le salaire, il doit être préciser sur l'arrêté que le maire a obligation de prendre et de transmettre à l'agent. En général, 1:2 traitement payé à terme échu par la collectivité employeur en versant la totalité du complément familial et autres avantages, tout çà figure sur l'arrêté adressé à l'agent en L.R. avec A.R. Le complément de salaire est servi dans le cas d'une assurance de maintien de salaire M.N.T. ou assurance privée.
Voir la CAF pour une nouvelle étude des droits divers à cause de la modification de la situation et c'est pour cela que l'arrêté est très utile. Si l'employeur à un CCAS solliciter l'aide d'une assistante sociale, il y en a à la CAF, la CPAM, pour l'aide aux soins,dans les Conseils généraux, à la Mairie du lieu de résidence.
Il peut-être fait appel de l'avis du comité médical départemental : par un recours gracieux auprès de lui, ou bien auprès du comité médical supérieur auprès du Ministère de la Santé. Retrouver tout çà sur des sites du net. Si on estime que la mesure est abusive
La mise en disponibilité d'office est en général destinée à aller vers une retraite pour invalidité maladie : suivant le pourcentage d'invalidité prévu la pension de retraite pour maladie est plus ou moins importante.
L'invalidité est-elle vraiment définitive et absolue sans être passé par un C.L.M. ou un C.LD. i
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
bonjour
jai une spondylolistesie l5-s1 est ce que avec cette maladie je peut etre prise en longue maladie
jai une spondylolistesie l5-s1 est ce que avec cette maladie je peut etre prise en longue maladie
Bonjour tout d'abord un grand merci de m'avoir envoyé un petit mot..je comprends votre situation et je suis térrifiée à l'idée de ce qui m'attend dans l'avenir ! Moi j'en suis qu'au début de la procédure de mise à la retraite pour invalidité imposée par la mairie dont je depends !! J'ai 39 ans et j'ai une fybromilagie suite à 4 ans d'harcèlement moral et physique de la part de ma supérieure directe (mais personne témoignera..trop peur pour leur place). Mes médecins ont fait une demande de congé longue maladie, mais le comité médical m'a placée en disponibilité d'office (décision du comité médical depuis trois et demi) pendant ces 3 dernières années, le comité me proposait, à la demande de la mairie, la mise à la retraite pour invalidité et j'ai toujours refusé, car c'est un licenciement déguisé, car ils ne peuvent pas virer un fonctionnaire. Le 13 octobre dernier le comité me fait une prolongation de dispo d'office à compter du 1er sept 2009 et pour une durée de 9 mois. Or ma mairie vient de m'envoyer un courrier en me disant qu'ils ont bien le compte rendu du comité avec la dispo d'office pour 9 mois supplémentaires, mais que mes droits à congés s'arrêtent fin mai 2010 et que comme le comité ne s'oppose pas à leur demande de mise à la retraite pour invalidité, la mairie lance la procédure pour la mise à la retraite pour invalidité et me demande de prendre contact avec le service DRH afin de convenir du médecin (liste qu'ils vont me fournir) et du rdv pour lancer la procédure. J'ai fait appel à mes médecins dont le psy et à une assistante sociale pour essayer de voir ce que je peux faire pour les contrer voir annuler cette procédure et j'ai également demandé des conseils juridiques auprès d'avocats (j'attends des nouvelles) afin de savoir quels sont mes droits, comment me defendre et surtout savoir si malgré tout la mairie obtient gain de cause si je peux retravailler dans le privé ? Bon courage pour tous ceux qui se retrouvent victimes de ce système pourri où tout est fait pour nous détruire en toute impunité et d'avance merci à tous ceux qui auront des infos à m'apporter ! Anna
jardinier employé à la ville; congé de maladie ordinaire depuis le 12 avril 2007 opéré de hernie discale ; avis défavorable du comité médical du 12.06.08 pour l'attribution d'un congé de longue maladie mais favorable à mise en disponibilité d'office à compter du 12.04.08 jusqu'au 11.10.08.
l'arrêté du maire stipule que pendant cette période de 6 mois, je ne perçois aucun traitement et aucun droit pour mon avancement et ma retraite.
Cette façon de procéder du maire était elle bien légale?
Vers qui m'adresser pour avoir quelque rémunération?
Qu'adviendra t'il à l'issue de mes six mois de disponibilité
Puis je exercer un emploi ailleurs pendant ces six mois?
N'est ce pas une façon déguisée de me pousser à la démission en renouvelant ma disponibilité d'office le 11.10.08, afin de ne pas payer d'indemnités de licenciement?
Quels sont les recours ( contestation de l'avis médical et du non reclassement professionnel de la mairie dans une autre activité restant dans le cadre de mon poste actuel); devant quelles instances ? .
Merci de m'éclairer et de me donner votre avis .
l'arrêté du maire stipule que pendant cette période de 6 mois, je ne perçois aucun traitement et aucun droit pour mon avancement et ma retraite.
Cette façon de procéder du maire était elle bien légale?
Vers qui m'adresser pour avoir quelque rémunération?
Qu'adviendra t'il à l'issue de mes six mois de disponibilité
Puis je exercer un emploi ailleurs pendant ces six mois?
N'est ce pas une façon déguisée de me pousser à la démission en renouvelant ma disponibilité d'office le 11.10.08, afin de ne pas payer d'indemnités de licenciement?
Quels sont les recours ( contestation de l'avis médical et du non reclassement professionnel de la mairie dans une autre activité restant dans le cadre de mon poste actuel); devant quelles instances ? .
Merci de m'éclairer et de me donner votre avis .
merci pour votre réponse mais les syndicats quels qu'ils soient ne m'ont jamais beaucoup aidé dans mes démarches et de toute façon je n'ai jamais souhaité adhérer à un syndicat quel qu'il soit (ça n'engage que moi évidemment) et les démarches je les ai effectuées seule et j'ai je crois fait le tour de tout ce qui est possible. Je vais néanmoins prendre un avocat pour defendre mon dossier. Je pense que j'aurais vraiment fait le tour de ce dossier compliqué . Maintenant j'aspire à pouvoir avoir ma retraite et oublier tous ces "embrouillamini" administratifs.
l'administration est un secteur fermé, assez obtu. Je reste sur mes convictions que être fonctionnaire n'a pas que des avantages, loin de là.
Merci néanmoins de votre avis sur la question. cordialement
l'administration est un secteur fermé, assez obtu. Je reste sur mes convictions que être fonctionnaire n'a pas que des avantages, loin de là.
Merci néanmoins de votre avis sur la question. cordialement
lahautsur
Messages postés
1
Date d'inscription
lundi 30 juin 2008
Statut
Membre
Dernière intervention
30 juin 2008
>
noroite
30 juin 2008 à 09:18
30 juin 2008 à 09:18
de toute façon on peux contestee une decision surtout si vous ete titulaire moi j'ai ete voir le maire j'attent une reponse si vous deposez plainte ça m'etonne que vous n'avez pas gain de cause car les tribunaux sont plus favorables aux employees car il savent que l'administration c'est la boite de pandore bon courage
Bonjour,
Qu'elles ont été les conditions de la mise en disponibilité d'office pour maladie ?
Cette démarche est faite par la collecctivité par le biais d'un dossier légalement important avec plusieurs avis et seulement dans le cas d'Inaptitude absolue et définitive.
Ce dossier doit être transmis à l'agent qui pourra se faire assister de son médecin traitant et préparer sa défense.
Dans tout autre cas, la mesure est étabmie de façon abusive et correspond à une mesure déguisée de licenciement infondé, sans causes réelles et sérieuses, bref un licenciement déguisé puisqu'il est impossible de licencier un fonctionnaire.
Tapez par Google : Fonction publique territoriale : mise en disponibilité d'office pour mlaladie d'un agent.
Vous allez être surpris par les conditions de mise dans cette mesure et nous sommes bien à être mis dans cette mesure fourre tout de façon légale.
Attention : c'est un secteur éminament issu de la politique de partis et les syndicats sont malheureusement tous couchés devant l'autorité en place ou bien se disent ignorants des chioses. Il convient d'échanger sur des forums pour se faire une idée objective et légale de sa situation.
Voir un avocat près à se mouiller (toujours la politique), surtout avec l'aide juridictionnelle et un avocat spécialisé en droit public ! Difficile à trouver !
Bon courage, bonne lecture et à plus
JEF
Qu'elles ont été les conditions de la mise en disponibilité d'office pour maladie ?
Cette démarche est faite par la collecctivité par le biais d'un dossier légalement important avec plusieurs avis et seulement dans le cas d'Inaptitude absolue et définitive.
Ce dossier doit être transmis à l'agent qui pourra se faire assister de son médecin traitant et préparer sa défense.
Dans tout autre cas, la mesure est étabmie de façon abusive et correspond à une mesure déguisée de licenciement infondé, sans causes réelles et sérieuses, bref un licenciement déguisé puisqu'il est impossible de licencier un fonctionnaire.
Tapez par Google : Fonction publique territoriale : mise en disponibilité d'office pour mlaladie d'un agent.
Vous allez être surpris par les conditions de mise dans cette mesure et nous sommes bien à être mis dans cette mesure fourre tout de façon légale.
Attention : c'est un secteur éminament issu de la politique de partis et les syndicats sont malheureusement tous couchés devant l'autorité en place ou bien se disent ignorants des chioses. Il convient d'échanger sur des forums pour se faire une idée objective et légale de sa situation.
Voir un avocat près à se mouiller (toujours la politique), surtout avec l'aide juridictionnelle et un avocat spécialisé en droit public ! Difficile à trouver !
Bon courage, bonne lecture et à plus
JEF
jean-françois
>
lahautsur
Messages postés
1
Date d'inscription
lundi 30 juin 2008
Statut
Membre
Dernière intervention
30 juin 2008
11 sept. 2008 à 18:59
11 sept. 2008 à 18:59
Bonsoir,
Le tribunal des prud'hommes pour le privé assure une relative justice.
La majorité des Tribunaux Administratifs ne donnent gain de cause aux agents que dans 0,5 % des cas (voir les statistiques du ministère) surtout si l'on se présente seul, sans avocat.
Pour le Tribunal Administratif, les avocats compétents et voulant s'impliquer sont très difficiles à trouver. De plus, comme gains de cause sont donnés aux collectives diverses et variées, il faut pratiquement aller en appel près les cours de cassation, alors là, la chasse à l'avocat devient difficile.
Attention aux arnaques des avocats en ligne. Il faut la carte bleur en main pour obtenir un tout petit début de réponse.
Google est parfois plus efficace pour se faire une idée précise de sa situation.
Bon courage, à plus
JEF
Le tribunal des prud'hommes pour le privé assure une relative justice.
La majorité des Tribunaux Administratifs ne donnent gain de cause aux agents que dans 0,5 % des cas (voir les statistiques du ministère) surtout si l'on se présente seul, sans avocat.
Pour le Tribunal Administratif, les avocats compétents et voulant s'impliquer sont très difficiles à trouver. De plus, comme gains de cause sont donnés aux collectives diverses et variées, il faut pratiquement aller en appel près les cours de cassation, alors là, la chasse à l'avocat devient difficile.
Attention aux arnaques des avocats en ligne. Il faut la carte bleur en main pour obtenir un tout petit début de réponse.
Google est parfois plus efficace pour se faire une idée précise de sa situation.
Bon courage, à plus
JEF
salut,
Énormément de renseignements en tapant sur google
lu sur le web
Le reclassement des fonctionnaires (11/12/2007)
logo personne handicapéeLe reclassement des agents de la fonction publique concerne les agents devenus inaptes physiquement et temporairement à la suite d’un accident ou d’une maladie et qui ne peuvent plus exercer leurs fonctions dans les conditions précédentes. Dans une telle situation, l'agent de la fonction publique de l'État ou territoriale devra prendre l'initiative de demander à son administration une mesure de reclassement.
Les agents de la fonction publique territoriale (département, mairie..)
Cette catégorie d'agents est soumise aux dispositions particulières du décret du 30 septembre 1985 qui oblige l'administration à reclasser son agent devenu inapte temporairement à l'exercice de ses fonctions.
Ce texte envisage deux types de situation au regard du reclassement :
En premier lieu si les nécessités du service ne permettent pas un aménagement des conditions de travail, le fonctionnaire peut être affecté dans un emploi de son grade correspondant à ses aptitudes physiques.
L'employeur procède à cette affectation après avis du service médical et sur proposition du centre de gestion.
En second lieu, lorsque l'état physique de l'agent ne lui permet pas de remplir des fonctions correspondantes à son grade, l'administration invite son agent à présenter une demande de détachement dans un emploi d'un autre corps.
Dans cette situation, si le fonctionnaire est détaché dans un corps hiérarchiquement inférieur ou ne peut être classé à un échelon doté d'un indice égal à celui qu'il détenait dans son corps d'origine, il conserve toutefois, à titre personnel, son indice précédent.
Concernant les modalités de reclassement dans un autre corps, des dérogations sont prévues s'agissant du déroulement des concours, des examens, ou des procédures de recrutement afin d'adapter la durée de ces épreuves aux moyens physiques du fonctionnaire.
Les agents de la Fonction Publique d'État
Cette catégorie d'agents se voit reconnaître par un décret du 6 mars 2000 de nouveaux droits destinés à faciliter le reclassement des agents devenus inaptes à l'exercice de leurs fonctions.
Il arrive en effet, au cours de la carrière d'un agent, que celui-ci ne soit plus en mesure de reprendre son activité et que son employeur ne puisse pas lui proposer un aménagement de ses conditions de travail.
Dans ces conditions, l'agent devra présenter une demande de reclassement.
Mais l'employeur devra avant de se prononcer, solliciter l'avis du comité médical concernant l'état de santé de l'agent et son aptitude à exercer certaines fonctions.
L'administration est tenue ensuite de proposer à l'agent qui a présenté une demande de reclassement dans un autre corps, plusieurs emplois.
Ordinateur portable
A défaut de pouvoir proposer plusieurs emplois, l'administration devra prendre une décision motivée.
Ainsi, l'agent pourra vérifier que l'administration a effectivement tenu compte de sa demande et qu'elle n'est manifestement pas en mesure de proposer le reclassement, faute de postes disponibles ou vacants.
L'administration aura trois mois pour déclencher cette procédure de reclassement, à compter de la demande de l'agent.
Ce nouveau délai devrait obliger l'administration à traiter la demande de l'agent dans un délai assez bref.
En cas de refus d'admettre le reclassement, les agents pourront soit saisir directement l'administration et demander que leur soient communiquées les raisons qui l'ont conduite à refuser cette demande, soit contester au besoin devant le juge administratif.
Obligation de reclassement d’un agent de la fonction publique
Le tribunal administratif de Besançon a donné raison à une aide-soignante inapte à son poste et mise à la retraite d’office par son employeur.
Le centre hospitalier de Belfort-Montbéliard n’a pas satisfait à son obligation de reclassement selon le tribunal administratif de Besançon. Celui-ci a rendu, le 7 décembre dernier, un jugement favorable à une aide-soignante mise à la retraite par son employeur sans qu’il ait examiné les possibilités de reclassement de l’intéressée, et, même, sans l’avoir invitée à présenter une telle demande. Si un employeur public ne respecte pas cette exigence, il ne peut décider de radier un agent.
EN RESUME : Lorqu’un agent de la fonction publique est devenu inapte à son poste, en raison d’une maladie ou d’un accident de service, l’administration doit le reclasser, avant de le radier de la liste de ses cadres.
Alors qu’elle exerçait ses fonctions, Madame X a été victime d’un accident imputable au service, lui occasionnant une entorse au genou droit nécessitant un congé de maladie ordinaire. Plusieurs expertises ont eu lieu. La troisième devait conclure à une inaptitude à l’exercice des fonctions de cette aide-soignante, de manière absolue et définitive. Avec, en outre, un taux d’incapacité permanente partielle de seulement 15 % ! Suite aux avis favorables de la commission de réforme et de la Caisse des dépôts, l’employeur a radié cet agent de la liste de ses cadres. La victime a, alors, saisi le tribunal administratif pour obtenir l’annulation de cette décision. Même si ce tribunal ne le dit pas expressément, il a été amené à exercer un contrôle particulièrement rigoureux sur une décision grave puisqu’il s’agit d’une radiation fondée sur un taux d’incapacité très faible de 15 %. Cette décision de justice garantit, à un agent, un droit statutaire à être maintenu en fonction par toutes mesures utiles avant d’être radié des cadres.
Énormément de renseignements en tapant sur google
lu sur le web
Le reclassement des fonctionnaires (11/12/2007)
logo personne handicapéeLe reclassement des agents de la fonction publique concerne les agents devenus inaptes physiquement et temporairement à la suite d’un accident ou d’une maladie et qui ne peuvent plus exercer leurs fonctions dans les conditions précédentes. Dans une telle situation, l'agent de la fonction publique de l'État ou territoriale devra prendre l'initiative de demander à son administration une mesure de reclassement.
Les agents de la fonction publique territoriale (département, mairie..)
Cette catégorie d'agents est soumise aux dispositions particulières du décret du 30 septembre 1985 qui oblige l'administration à reclasser son agent devenu inapte temporairement à l'exercice de ses fonctions.
Ce texte envisage deux types de situation au regard du reclassement :
En premier lieu si les nécessités du service ne permettent pas un aménagement des conditions de travail, le fonctionnaire peut être affecté dans un emploi de son grade correspondant à ses aptitudes physiques.
L'employeur procède à cette affectation après avis du service médical et sur proposition du centre de gestion.
En second lieu, lorsque l'état physique de l'agent ne lui permet pas de remplir des fonctions correspondantes à son grade, l'administration invite son agent à présenter une demande de détachement dans un emploi d'un autre corps.
Dans cette situation, si le fonctionnaire est détaché dans un corps hiérarchiquement inférieur ou ne peut être classé à un échelon doté d'un indice égal à celui qu'il détenait dans son corps d'origine, il conserve toutefois, à titre personnel, son indice précédent.
Concernant les modalités de reclassement dans un autre corps, des dérogations sont prévues s'agissant du déroulement des concours, des examens, ou des procédures de recrutement afin d'adapter la durée de ces épreuves aux moyens physiques du fonctionnaire.
Les agents de la Fonction Publique d'État
Cette catégorie d'agents se voit reconnaître par un décret du 6 mars 2000 de nouveaux droits destinés à faciliter le reclassement des agents devenus inaptes à l'exercice de leurs fonctions.
Il arrive en effet, au cours de la carrière d'un agent, que celui-ci ne soit plus en mesure de reprendre son activité et que son employeur ne puisse pas lui proposer un aménagement de ses conditions de travail.
Dans ces conditions, l'agent devra présenter une demande de reclassement.
Mais l'employeur devra avant de se prononcer, solliciter l'avis du comité médical concernant l'état de santé de l'agent et son aptitude à exercer certaines fonctions.
L'administration est tenue ensuite de proposer à l'agent qui a présenté une demande de reclassement dans un autre corps, plusieurs emplois.
Ordinateur portable
A défaut de pouvoir proposer plusieurs emplois, l'administration devra prendre une décision motivée.
Ainsi, l'agent pourra vérifier que l'administration a effectivement tenu compte de sa demande et qu'elle n'est manifestement pas en mesure de proposer le reclassement, faute de postes disponibles ou vacants.
L'administration aura trois mois pour déclencher cette procédure de reclassement, à compter de la demande de l'agent.
Ce nouveau délai devrait obliger l'administration à traiter la demande de l'agent dans un délai assez bref.
En cas de refus d'admettre le reclassement, les agents pourront soit saisir directement l'administration et demander que leur soient communiquées les raisons qui l'ont conduite à refuser cette demande, soit contester au besoin devant le juge administratif.
Obligation de reclassement d’un agent de la fonction publique
Le tribunal administratif de Besançon a donné raison à une aide-soignante inapte à son poste et mise à la retraite d’office par son employeur.
Le centre hospitalier de Belfort-Montbéliard n’a pas satisfait à son obligation de reclassement selon le tribunal administratif de Besançon. Celui-ci a rendu, le 7 décembre dernier, un jugement favorable à une aide-soignante mise à la retraite par son employeur sans qu’il ait examiné les possibilités de reclassement de l’intéressée, et, même, sans l’avoir invitée à présenter une telle demande. Si un employeur public ne respecte pas cette exigence, il ne peut décider de radier un agent.
EN RESUME : Lorqu’un agent de la fonction publique est devenu inapte à son poste, en raison d’une maladie ou d’un accident de service, l’administration doit le reclasser, avant de le radier de la liste de ses cadres.
Alors qu’elle exerçait ses fonctions, Madame X a été victime d’un accident imputable au service, lui occasionnant une entorse au genou droit nécessitant un congé de maladie ordinaire. Plusieurs expertises ont eu lieu. La troisième devait conclure à une inaptitude à l’exercice des fonctions de cette aide-soignante, de manière absolue et définitive. Avec, en outre, un taux d’incapacité permanente partielle de seulement 15 % ! Suite aux avis favorables de la commission de réforme et de la Caisse des dépôts, l’employeur a radié cet agent de la liste de ses cadres. La victime a, alors, saisi le tribunal administratif pour obtenir l’annulation de cette décision. Même si ce tribunal ne le dit pas expressément, il a été amené à exercer un contrôle particulièrement rigoureux sur une décision grave puisqu’il s’agit d’une radiation fondée sur un taux d’incapacité très faible de 15 %. Cette décision de justice garantit, à un agent, un droit statutaire à être maintenu en fonction par toutes mesures utiles avant d’être radié des cadres.
Bonjour,
Désolée mais je ne pense pas que ma réponse va vous empecher de stresser, mais il est nécessaire que vous connaissiez le parcours que je suis en train de faire depuis deux ans maintenant.
Agent territorial, titulaire depuis 1978, j'ai eu un AT (choc facial violent) depuis j'ai par deux fois essayé de reprendre mes fonctions (administratives sur un poste informatique où je saisissais des chiffres pratiquement toute la journée) incapable d'assumer mes fonctions j'ai de nouveau été en maladie avec reconnaissance de rechute d'AT, nouvel essai de reprise, infructueux. Dans le même temps j'ai sollicité vainement un reclassement professionnel, voir mutation afin d'obtenir un poste non informatique (cantine ménage etc..) Remise en arrêt maladie, pendant un an l'administration m'a tout bonnement placée en DISPONIBILITE D'OFFICE pour motir MEDICAL, sans autre forme de procès. Depuis je ne perçois plus que la petite indemnité dite de coordination correpondant environ à un demi salaire (autant dire une misère puisque je dépasse de très peu le seuil dit de pauvreté.
Dans cette situation il est impossible de vivre, j'ai fait appel au tribunal administratif, depuis un an le dossier et toujours en cours d'instruction. J'ai sollicité toutes les aides possibles, voir si je pouvais éventuellement trouver un job à mi temps pour compléter mes maigres ressources, je me heurte à des murs. On me réponds partout que je suis dans une catégorie particulières, donc actuellement je suis inscrite comme demandeur d'emploi dans la catégorie des "privé involontairement d'emploi" je suis considérée "sans activité professionnelle" mais non dégagée de la fonction publique, donc aucun droit aux aides de l'assedic (bien que j'ai 59 ans cette année) aucun droit nulle part. Si j'avais été dans le secteur privé, j'aurais été licenciée, et aurait eu droit à toute aide assedic AL etc... L'adminstration vient de répondre à mes nombreux courriers me disant que je suis dans une situation normale, cela me ferait bien rire si cette situation n'était pas déprimante et matériellement catastrophique.
Car j'ai du en plus quitter un logement de fonction que j'occupais pour un autre poste et que j'aurais pu garder les fonctions n'étaient pas sur écran.
J'ai du regagner mon domicile familiale (près de ma famille) mon poste était en provence et je suis à présent dans le centre de la France avec toutes les complications que cela apporte pour le suivi de mon dossier.
Je ne voudrais pas vous attrister mais je voulais vous mettre devant la réalité de fait que je supporte depuis deux ans en attente simplement de prolongation de ma dispo et mise en retraite pour invalidité en fin d'année. C'est la première réponse positive mais il me faut tenir encore quelques mois jusqu'à la fin de l'année.
Je me dis que j'ai déjà tant supporté qu'il ne faut pas que je craque maintenant, mais autant dire que j'essaie de survivre et c'est très dur.
Je vous souhaite bon courage, beaucoup de volonté pour tenir le coup et vous débattre dans cette situation et si vous avez de votre côté des éléments plus concrêts, merci de m'informer cela m'aidera peut-être
Désolée mais je ne pense pas que ma réponse va vous empecher de stresser, mais il est nécessaire que vous connaissiez le parcours que je suis en train de faire depuis deux ans maintenant.
Agent territorial, titulaire depuis 1978, j'ai eu un AT (choc facial violent) depuis j'ai par deux fois essayé de reprendre mes fonctions (administratives sur un poste informatique où je saisissais des chiffres pratiquement toute la journée) incapable d'assumer mes fonctions j'ai de nouveau été en maladie avec reconnaissance de rechute d'AT, nouvel essai de reprise, infructueux. Dans le même temps j'ai sollicité vainement un reclassement professionnel, voir mutation afin d'obtenir un poste non informatique (cantine ménage etc..) Remise en arrêt maladie, pendant un an l'administration m'a tout bonnement placée en DISPONIBILITE D'OFFICE pour motir MEDICAL, sans autre forme de procès. Depuis je ne perçois plus que la petite indemnité dite de coordination correpondant environ à un demi salaire (autant dire une misère puisque je dépasse de très peu le seuil dit de pauvreté.
Dans cette situation il est impossible de vivre, j'ai fait appel au tribunal administratif, depuis un an le dossier et toujours en cours d'instruction. J'ai sollicité toutes les aides possibles, voir si je pouvais éventuellement trouver un job à mi temps pour compléter mes maigres ressources, je me heurte à des murs. On me réponds partout que je suis dans une catégorie particulières, donc actuellement je suis inscrite comme demandeur d'emploi dans la catégorie des "privé involontairement d'emploi" je suis considérée "sans activité professionnelle" mais non dégagée de la fonction publique, donc aucun droit aux aides de l'assedic (bien que j'ai 59 ans cette année) aucun droit nulle part. Si j'avais été dans le secteur privé, j'aurais été licenciée, et aurait eu droit à toute aide assedic AL etc... L'adminstration vient de répondre à mes nombreux courriers me disant que je suis dans une situation normale, cela me ferait bien rire si cette situation n'était pas déprimante et matériellement catastrophique.
Car j'ai du en plus quitter un logement de fonction que j'occupais pour un autre poste et que j'aurais pu garder les fonctions n'étaient pas sur écran.
J'ai du regagner mon domicile familiale (près de ma famille) mon poste était en provence et je suis à présent dans le centre de la France avec toutes les complications que cela apporte pour le suivi de mon dossier.
Je ne voudrais pas vous attrister mais je voulais vous mettre devant la réalité de fait que je supporte depuis deux ans en attente simplement de prolongation de ma dispo et mise en retraite pour invalidité en fin d'année. C'est la première réponse positive mais il me faut tenir encore quelques mois jusqu'à la fin de l'année.
Je me dis que j'ai déjà tant supporté qu'il ne faut pas que je craque maintenant, mais autant dire que j'essaie de survivre et c'est très dur.
Je vous souhaite bon courage, beaucoup de volonté pour tenir le coup et vous débattre dans cette situation et si vous avez de votre côté des éléments plus concrêts, merci de m'informer cela m'aidera peut-être
je suis en accident de service depuis le 11 11 2007 je suis passee devant l'expert notification de la commission de reforme date de consolidation date de lexpertise20 0502008je dois prendre ma retraite le 1 juillet 2008 es que je peux pretendre à une allocation pour sequelles je suis titulaire de la fonction territoriales depuis 1990
rantamplant
Messages postés
4
Date d'inscription
dimanche 1 février 2009
Statut
Membre
Dernière intervention
1 février 2009
1
1 févr. 2009 à 17:27
1 févr. 2009 à 17:27
Bonjour se n'est pas aussi simple que ça si l'expert décide que vous été consolidez San séquelle la réponse et NON ,
s'il décides de séquelle sa dépendras des séquelles ;
On peut toujour tous contester mais la vous ne dit pas assez de choses pour plus de renseignement.
Cordialement
s'il décides de séquelle sa dépendras des séquelles ;
On peut toujour tous contester mais la vous ne dit pas assez de choses pour plus de renseignement.
Cordialement
peyro
>
rantamplant
Messages postés
4
Date d'inscription
dimanche 1 février 2009
Statut
Membre
Dernière intervention
1 février 2009
1 févr. 2009 à 22:27
1 févr. 2009 à 22:27
j'ai des sequelles confirmer par les deux medecins expertise et contre expertise mon dossier à reoasse le 13 janvier 2009 devant la commission je suis en attende de la reponse cordialement et merci
mamiegeo2008@live.fr
Messages postés
1
Date d'inscription
mercredi 7 octobre 2009
Statut
Membre
Dernière intervention
8 octobre 2009
8 oct. 2009 à 12:49
8 oct. 2009 à 12:49
suite a un accident de travail la securite me consolide au 21octobre mais la medecine refuse que je reprenne mon service a quoi dois je pretendre assedic etc;
Allocation temporaire d'invalidité
*
FPE : décret n°60-1089 du 06/10/60
*
FPT / FPH : décret n°63-1346 du 24/12/1963
la maladie doit figurer dans la liste des tableaux des maladies professionnelles du régime général.
Rente invalidité
*
FPE : code des pensions civiles et militaires de retraite
*
FPT/FPH : décret n°65-773 du 09/09/1965
*
FPE : décret n°60-1089 du 06/10/60
*
FPT / FPH : décret n°63-1346 du 24/12/1963
la maladie doit figurer dans la liste des tableaux des maladies professionnelles du régime général.
Rente invalidité
*
FPE : code des pensions civiles et militaires de retraite
*
FPT/FPH : décret n°65-773 du 09/09/1965
rantamplant
Messages postés
4
Date d'inscription
dimanche 1 février 2009
Statut
Membre
Dernière intervention
1 février 2009
1
1 févr. 2009 à 17:33
1 févr. 2009 à 17:33
bonjour on peut toujours faire du hors tableaux , le système des agents territoriale passe par les calcule AT/MP et c'est un peut le mme principe que une MP tableaux il faut avoir la constatation médical que c'est dut aux travaille,
l'exposition aux poste aillant causer le soucis pendants scinque ans et la et ke soucis un minimum de 25% IPP pour faire du hors tableaux si vous correspondes a tous ça c'est possible.
Cordialement
l'exposition aux poste aillant causer le soucis pendants scinque ans et la et ke soucis un minimum de 25% IPP pour faire du hors tableaux si vous correspondes a tous ça c'est possible.
Cordialement
danyflori
>
rantamplant
Messages postés
4
Date d'inscription
dimanche 1 février 2009
Statut
Membre
Dernière intervention
1 février 2009
2 oct. 2009 à 17:38
2 oct. 2009 à 17:38
bonsoir,
après 5 ans de maladie , je suis passé devant un expert qui a déterminé impossibilité de reprise de travail totale ou partielle, il a déterminé 30% de taux d'invalidité.
apres renseignement auprès de la cnracl, je n'aurai pas de rente invalidité car mon invalidité n'est pas de 60% , c'est le minimum pour toucher 50% de son salaire
donc ressource ?? je vivais depuis 2 ans avec mi traitement 560 euros par mois mais là je vais finir clochard
je ne comprends pas l'expert dit que je suis inapte, inclassable et il détermine 30% d('invalidité qui ne m'ouvre aucun droit , je vais vivre avec quoi?
y a t'il possibilité de recours? la commission est le 13 octobre
merci de votre aide
après 5 ans de maladie , je suis passé devant un expert qui a déterminé impossibilité de reprise de travail totale ou partielle, il a déterminé 30% de taux d'invalidité.
apres renseignement auprès de la cnracl, je n'aurai pas de rente invalidité car mon invalidité n'est pas de 60% , c'est le minimum pour toucher 50% de son salaire
donc ressource ?? je vivais depuis 2 ans avec mi traitement 560 euros par mois mais là je vais finir clochard
je ne comprends pas l'expert dit que je suis inapte, inclassable et il détermine 30% d('invalidité qui ne m'ouvre aucun droit , je vais vivre avec quoi?
y a t'il possibilité de recours? la commission est le 13 octobre
merci de votre aide
bonsoir,
puisque personne ne m'a répondu, je vais répondre moi même
après avoir téléphoné d'un peu partout , voilà la réponse, c'est encore pire que ce que j'imaginais
si l'expert détermine un taux de 60% , oui on a droit à une pension d'invalidité de 50% de son salaire
si 50% d'invalidité , la pension est de 20%
si le taux d'invalidité est de 15%, 30% ; 40% on a droit à rien, et oui rien, je me le suis fait confirmer par la cnarcl
mon seul revenu sera la pension de retraite collectivités locales sur les années travaillées dans le public, les autres années ne compteront pas; ce qui veut dire si comme moi , vous avez travaillé 10 ans dans la fonction publique car avant vous aviez travaillé dans le privé, la pension de retraite sera de 400 euros par mois.
finalement la mise à disponibilité des fonctionnaires pour invalidité est un licenciement déguisé sans indemnité de chomage avec une retraite anticipée de 400 euros, minimum de base. vous êtes malade , harcelé par votre employeur et en plus votre départ de la fonction publique se fait dans la plus grande indignité , c'est révoltant
puisque personne ne m'a répondu, je vais répondre moi même
après avoir téléphoné d'un peu partout , voilà la réponse, c'est encore pire que ce que j'imaginais
si l'expert détermine un taux de 60% , oui on a droit à une pension d'invalidité de 50% de son salaire
si 50% d'invalidité , la pension est de 20%
si le taux d'invalidité est de 15%, 30% ; 40% on a droit à rien, et oui rien, je me le suis fait confirmer par la cnarcl
mon seul revenu sera la pension de retraite collectivités locales sur les années travaillées dans le public, les autres années ne compteront pas; ce qui veut dire si comme moi , vous avez travaillé 10 ans dans la fonction publique car avant vous aviez travaillé dans le privé, la pension de retraite sera de 400 euros par mois.
finalement la mise à disponibilité des fonctionnaires pour invalidité est un licenciement déguisé sans indemnité de chomage avec une retraite anticipée de 400 euros, minimum de base. vous êtes malade , harcelé par votre employeur et en plus votre départ de la fonction publique se fait dans la plus grande indignité , c'est révoltant
eh oui, dans notre charmant pays, il vaut mieux n'avoir quasiment jamais lever le petit doigt et bénéficier de toutes les aides sociales que d'avoir travailler 15, 20 ou 30 ans pour l'administration française !
quant à moi (voir mon premier message), je viens de revoir plus en détail le PV de la commission de réforme qui indique ceci dans la zone observations " avis favorable pour les prestations d'assurance invalidité pour la période du 28/02/09 au 27/02/10 - 20% groupe I " et suite à ce PV, mon administration a tout refusé d'emblée arguant que mon incapacité de travail n'était pas réduite aux deux-tiers, soit 66 % !
Un petit rappel : l'AIT (allocation d'invalidité temporaire) est payée lorsqu'on est en dispo d'office pour raison de santé et un taux d'incapacité de 66%...(l'expert agréé fixe la durée de la dispo et le calcul du taux d l'AIT est fixé par la commission de réforme (quand on est fonctionnaire)..
alors, j'ai fait quelques recherches et trouvé des choses intéressantes ...la CR (commission de réforme) doit statuer en deux temps : tout d'abord, elle doit "reconnaître" l'état d'invalidité de la personne, c'est-à-dire que son taux d' incapacité de travail est de 66%, et c'est seulement quand celui-ci est "reconnu" qu'elle doit procéder à un classement dans l'un des trois groupes exitants , soit groupe I = invalides capables de travailler, ce qui donne droit à 30% du traitement, soit groupe II=invalides incapables de travailler, droit = 50% du traitement, si groupe III= invalides incapables de travailler, toujours 50%, mais ayant besoin d'une tierce personne, a donc un droit supplémentaire d'une majoration...
donc, je reviens à mon cas..si la commision de réforme dit "OK aux prestations invalidité et me classe dans un groupe, cela, d'après moi, signifie qu'elle a admis mon état d'invalidité et donc ma capacité de travail réduite aux deux tiers, non ? alors, pourquoi le 20% mentionné qui doit être le degré d'invalidité...j'en conclus qu'il y a vice de procédure, puisque la procédure légale n'a pas été respectée par la commission de réforme..donc j'ai fait un courrier à la cmmissio de réforme et j'attends leur réponse, je vous tiendrai informée.
En attendant, voilà ma question : est-il préférable que je conteste la décision de refus de mon administration et que je réclame une seconde visite d'expertise auprès du neurologue expert agréé qui devra préciser alors dans son rapport le % de mon incapacité de travail ? ou bien comme le stipule la décision, faire de suite une requête auprès du Tribunal Administatif pour vice de procédure ? il y a urgence car j'ai jusqu'au 15 décembre pour me décider...par ailleurs, à partir de quel taux d'invalidité la retraite pour invalidité est-elle acceptée ? j'ai lu, je ne sais plus où, que le service des pensions refusait car le taux n'était pas assez élevé !
en plus, avant le 28 novembre, je dois soit renouveler ma demande de disponibilité pour raison de santé (2e année) et prendre le risque, encore une fois, de me voir refuser les prestations, donc rémunérations = NEANT, soit demander une réintégration, mais qui me sera refusée vue l'état de souffrances danslequel je vis (chaque jour est une épreuve) mais les symptômes de douleurs qui ne sont pas visibles ne sont pas reconnus de nos jours...à l'heure d'aujourd'hui, elle ne vaut que 20% !!!!
PS : je vis avec 0 centime d'euros depuis juin 2009 et je dois reverser 4700 E trop-perçu de février à mai !
heureusement que mon mari, à la retraite, est là pour subvenir un peu à mes besoins vitaux...quelle misère...j'ai honte de mon pays et je vais écrire tout ça à ce cher m.Sarkozy...il trouve de l'argent pour tout le monde, même pour sauver les banques, mais pour les gens qui travaillent pour son administration et qui tombent malades, NIET, NIET, une honte, vraiment
en tout cas merci
quant à moi (voir mon premier message), je viens de revoir plus en détail le PV de la commission de réforme qui indique ceci dans la zone observations " avis favorable pour les prestations d'assurance invalidité pour la période du 28/02/09 au 27/02/10 - 20% groupe I " et suite à ce PV, mon administration a tout refusé d'emblée arguant que mon incapacité de travail n'était pas réduite aux deux-tiers, soit 66 % !
Un petit rappel : l'AIT (allocation d'invalidité temporaire) est payée lorsqu'on est en dispo d'office pour raison de santé et un taux d'incapacité de 66%...(l'expert agréé fixe la durée de la dispo et le calcul du taux d l'AIT est fixé par la commission de réforme (quand on est fonctionnaire)..
alors, j'ai fait quelques recherches et trouvé des choses intéressantes ...la CR (commission de réforme) doit statuer en deux temps : tout d'abord, elle doit "reconnaître" l'état d'invalidité de la personne, c'est-à-dire que son taux d' incapacité de travail est de 66%, et c'est seulement quand celui-ci est "reconnu" qu'elle doit procéder à un classement dans l'un des trois groupes exitants , soit groupe I = invalides capables de travailler, ce qui donne droit à 30% du traitement, soit groupe II=invalides incapables de travailler, droit = 50% du traitement, si groupe III= invalides incapables de travailler, toujours 50%, mais ayant besoin d'une tierce personne, a donc un droit supplémentaire d'une majoration...
donc, je reviens à mon cas..si la commision de réforme dit "OK aux prestations invalidité et me classe dans un groupe, cela, d'après moi, signifie qu'elle a admis mon état d'invalidité et donc ma capacité de travail réduite aux deux tiers, non ? alors, pourquoi le 20% mentionné qui doit être le degré d'invalidité...j'en conclus qu'il y a vice de procédure, puisque la procédure légale n'a pas été respectée par la commission de réforme..donc j'ai fait un courrier à la cmmissio de réforme et j'attends leur réponse, je vous tiendrai informée.
En attendant, voilà ma question : est-il préférable que je conteste la décision de refus de mon administration et que je réclame une seconde visite d'expertise auprès du neurologue expert agréé qui devra préciser alors dans son rapport le % de mon incapacité de travail ? ou bien comme le stipule la décision, faire de suite une requête auprès du Tribunal Administatif pour vice de procédure ? il y a urgence car j'ai jusqu'au 15 décembre pour me décider...par ailleurs, à partir de quel taux d'invalidité la retraite pour invalidité est-elle acceptée ? j'ai lu, je ne sais plus où, que le service des pensions refusait car le taux n'était pas assez élevé !
en plus, avant le 28 novembre, je dois soit renouveler ma demande de disponibilité pour raison de santé (2e année) et prendre le risque, encore une fois, de me voir refuser les prestations, donc rémunérations = NEANT, soit demander une réintégration, mais qui me sera refusée vue l'état de souffrances danslequel je vis (chaque jour est une épreuve) mais les symptômes de douleurs qui ne sont pas visibles ne sont pas reconnus de nos jours...à l'heure d'aujourd'hui, elle ne vaut que 20% !!!!
PS : je vis avec 0 centime d'euros depuis juin 2009 et je dois reverser 4700 E trop-perçu de février à mai !
heureusement que mon mari, à la retraite, est là pour subvenir un peu à mes besoins vitaux...quelle misère...j'ai honte de mon pays et je vais écrire tout ça à ce cher m.Sarkozy...il trouve de l'argent pour tout le monde, même pour sauver les banques, mais pour les gens qui travaillent pour son administration et qui tombent malades, NIET, NIET, une honte, vraiment
en tout cas merci
bjr,
courage ...
(c'est la conséquence du m'enfoutisme, les non-adherents à un syndicat nous font beaucoup de tort)
http://www.ugict.cgt.fr/publications/telechargements/cadres-infos
L’autorité territoriale compétente (le maire, le président du conseil général ou régional, ou d’un établissement
public local) peut placer des fonctionnaires territoriaux relevant de son autorité en disponibilité d’office si – et seulementsi – les conditions suivantes sont remplies:
•le fonctionnaire territorial doit avoir épuisé ses droits aux congés de maladie ordinaire, de longue maladie ou de longue durée, prévus par les dispositions du 2°, du 3° ainsi que du 4°de l’article 57 de la loi n°84-53 du 26 janvier 1984;
•le fonctionnaire territorial ne peut bénéficier d’un congé de maladie d’une autre nature que celui dont il a épuisé les droits; • après consultation du comité médical ou de la commission de réforme, l’autorité territoriale conclut à l’inaptitude physique absolue et définitive du fonctionnaire territorial à reprendre ses fonctions et à l’impossibilité de le reclasser, dans l’immédiat, sur la base des articles
81 à 86 de la loi du 26 janvier 1984 et des dispositions du décret n°85-1054 du 30 septembre 1985;
•l’intéressé n’est pas susceptible d’être admis à la retraite: il est définitivement inapte à ses fonctions mais non à toutes fonctions.
Conformément à l’arrêt du Conseil d’Etat n°189839 du 16 février 2000, l’autorité territoriale doit, après avis du comité médical, inviter le fonctionnaire territorial qui a été déclaré inapte à l’exercice de ses fonctions par suite de l’altération de son état physique, et dont le poste de travail ne peut être adapté, à présenter une demande de reclassement dans un emploi d’un autre corps. Dès lors que le fonctionnaire territorial formule une telle demande en précisant le corps dans lequel le reclassement est souhaité, l’autorité territoriale ne peut, à l’expiration de ses droits statutaires à congés de maladie, le mettre en disponibilité d’office que si ce reclassement est impossible dans l’immédiat.
La disponibilité d’office intervient dans les conditions prévues par le titre V du décret n°2003-1306 du 26 décembre 2003 relatif au régime de retraite des fonctionnaires affiliés à la Caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales (Cnracl).
Le Conseil d’Etat a précisé dans un arrêt n°249 049 du 13 février 2004, dans une jurisprudence transposable aux agents des collectivités territoriales, qu’un fonctionnaire de l’Etat reconnu définitivement inapte à l’exercice de tout emploi à l’épuisement de ses congés de maladie ordinaires pouvait être placé en disponibilité d’office dans l’attente des différents avis nécessaires à sa mise à la retraite pour invalidité. Cette
jurisprudence s’applique également lorsque la mise à la retraite pour invalidité intervient après l’épuisement d’un congé de longue maladie ou de longue durée.
L’article 31 du décret n°2003-1306 susvisé précise que la procédure de mise à la retraite pour invalidité nécessite successivement l’avis de la commission de réforme puis l’avis conforme de la Cnracl. La collectivité à laquelle appartient l’agent prend ensuite l’arrêté de radiation des cadres.
Dans l’attente de sa mise à la retraite pour invalidité, et conformément à une jurisprudence constante, tout fonctionnaire territorial doit être placé dans une position administrative régulière.
De plus, le fonctionnaire territorial, pendant sa période de disponibilité d’office consécutive à la fin de ses droits à congé de maladie, reste couvert par son régime spécial de Sécurité sociale et, de ce fait, peut
prétendre à des indemnités journalières dans les conditions déterminées par l’article 4 du décret du 11 janvier 1960 relatif au régime de Sécurité sociale des agents permanents
des départements, des communes et de leurs établissements publics n’ayant pas le caractère industriel
ou commercial.
Lesdites indemnités sont versées par l’autorité territoriale employeur et non par une caisse de
Sécurité sociale.
Cependant, l’intéressé doit remplir les conditions fixées aux articles L.323-1 et R.323-1 du Code
de la Sécurité sociale et ne peut donc percevoir lesdites indemnités journalières que pendant une période de trois ans comptée de date à date dès l’arrêt de travail, y compris les congés statutaires.
Octroi et renouvellement
La durée de la disponibilité d’office ne peut excéder une année. Elle peut être renouvelée deux fois pour une durée équivalente. Si le fonctionnaire territorial n’a pu, durant cette période, bénéficier d’un reclassement, il est, à l’expiration de cette durée, soit réintégré dans la collectivité territoriale à laquelle il appartient, soit admis à la retraite, soit, s’il n’a pas droit à pension, licencié.
Toutefois, si à l’expiration de la troisième année de disponibilité le fonctionnaire territorial est inapte à reprendre son service, mais s’il résulte d’un avis du comité médical qu’il doit normalement pouvoir reprendre ses fonctions ou faire l’objet d’un reclassement avant l’expiration d’une nouvelle année, la disponibilité peut faire l’objet d’un troisième renouvellement.
Fin de la disponibilité d’office
La réintégration est subordonnée à la vérification par un
médecin agréé et, éventuellement, par le comité médical
compétent de l’aptitude physique du fonctionnaire territorial
à l’exercice des fonctions afférentes à son grade.
Si le comité médical estime que le fonctionnaire territorial
ne présente pas, de façon temporaire ou permanente,
l’aptitude physique requise pour l’exercice de ses fonctions,
sans cependant que son état de santé lui interdise
toute activité, et si l’adaptation du poste de travail n’apparaît
pas possible, il peut proposer à l’intéressé d’être
reclassé dans un autre emploi dans les conditions fixées
par la réglementation en vigueur. Le fonctionnaire qui a
formulé avant l’expiration de la période de mise en disponibilité
une demande de réintégration est maintenu
en disponibilité jusqu’à ce qu’un poste lui soit proposé
dans les conditions prévues à l’article 97 de la loi du
26 janvier 1984. Toutefois, au cas où il ne peut être réintégré
pour cause d’inaptitude physique, il est soit reclassé,
soit mis en disponibilité d’office, soit radié des cadres s’il
est reconnu définitivement inapte.
courage ...
(c'est la conséquence du m'enfoutisme, les non-adherents à un syndicat nous font beaucoup de tort)
http://www.ugict.cgt.fr/publications/telechargements/cadres-infos
L’autorité territoriale compétente (le maire, le président du conseil général ou régional, ou d’un établissement
public local) peut placer des fonctionnaires territoriaux relevant de son autorité en disponibilité d’office si – et seulementsi – les conditions suivantes sont remplies:
•le fonctionnaire territorial doit avoir épuisé ses droits aux congés de maladie ordinaire, de longue maladie ou de longue durée, prévus par les dispositions du 2°, du 3° ainsi que du 4°de l’article 57 de la loi n°84-53 du 26 janvier 1984;
•le fonctionnaire territorial ne peut bénéficier d’un congé de maladie d’une autre nature que celui dont il a épuisé les droits; • après consultation du comité médical ou de la commission de réforme, l’autorité territoriale conclut à l’inaptitude physique absolue et définitive du fonctionnaire territorial à reprendre ses fonctions et à l’impossibilité de le reclasser, dans l’immédiat, sur la base des articles
81 à 86 de la loi du 26 janvier 1984 et des dispositions du décret n°85-1054 du 30 septembre 1985;
•l’intéressé n’est pas susceptible d’être admis à la retraite: il est définitivement inapte à ses fonctions mais non à toutes fonctions.
Conformément à l’arrêt du Conseil d’Etat n°189839 du 16 février 2000, l’autorité territoriale doit, après avis du comité médical, inviter le fonctionnaire territorial qui a été déclaré inapte à l’exercice de ses fonctions par suite de l’altération de son état physique, et dont le poste de travail ne peut être adapté, à présenter une demande de reclassement dans un emploi d’un autre corps. Dès lors que le fonctionnaire territorial formule une telle demande en précisant le corps dans lequel le reclassement est souhaité, l’autorité territoriale ne peut, à l’expiration de ses droits statutaires à congés de maladie, le mettre en disponibilité d’office que si ce reclassement est impossible dans l’immédiat.
La disponibilité d’office intervient dans les conditions prévues par le titre V du décret n°2003-1306 du 26 décembre 2003 relatif au régime de retraite des fonctionnaires affiliés à la Caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales (Cnracl).
Le Conseil d’Etat a précisé dans un arrêt n°249 049 du 13 février 2004, dans une jurisprudence transposable aux agents des collectivités territoriales, qu’un fonctionnaire de l’Etat reconnu définitivement inapte à l’exercice de tout emploi à l’épuisement de ses congés de maladie ordinaires pouvait être placé en disponibilité d’office dans l’attente des différents avis nécessaires à sa mise à la retraite pour invalidité. Cette
jurisprudence s’applique également lorsque la mise à la retraite pour invalidité intervient après l’épuisement d’un congé de longue maladie ou de longue durée.
L’article 31 du décret n°2003-1306 susvisé précise que la procédure de mise à la retraite pour invalidité nécessite successivement l’avis de la commission de réforme puis l’avis conforme de la Cnracl. La collectivité à laquelle appartient l’agent prend ensuite l’arrêté de radiation des cadres.
Dans l’attente de sa mise à la retraite pour invalidité, et conformément à une jurisprudence constante, tout fonctionnaire territorial doit être placé dans une position administrative régulière.
De plus, le fonctionnaire territorial, pendant sa période de disponibilité d’office consécutive à la fin de ses droits à congé de maladie, reste couvert par son régime spécial de Sécurité sociale et, de ce fait, peut
prétendre à des indemnités journalières dans les conditions déterminées par l’article 4 du décret du 11 janvier 1960 relatif au régime de Sécurité sociale des agents permanents
des départements, des communes et de leurs établissements publics n’ayant pas le caractère industriel
ou commercial.
Lesdites indemnités sont versées par l’autorité territoriale employeur et non par une caisse de
Sécurité sociale.
Cependant, l’intéressé doit remplir les conditions fixées aux articles L.323-1 et R.323-1 du Code
de la Sécurité sociale et ne peut donc percevoir lesdites indemnités journalières que pendant une période de trois ans comptée de date à date dès l’arrêt de travail, y compris les congés statutaires.
Octroi et renouvellement
La durée de la disponibilité d’office ne peut excéder une année. Elle peut être renouvelée deux fois pour une durée équivalente. Si le fonctionnaire territorial n’a pu, durant cette période, bénéficier d’un reclassement, il est, à l’expiration de cette durée, soit réintégré dans la collectivité territoriale à laquelle il appartient, soit admis à la retraite, soit, s’il n’a pas droit à pension, licencié.
Toutefois, si à l’expiration de la troisième année de disponibilité le fonctionnaire territorial est inapte à reprendre son service, mais s’il résulte d’un avis du comité médical qu’il doit normalement pouvoir reprendre ses fonctions ou faire l’objet d’un reclassement avant l’expiration d’une nouvelle année, la disponibilité peut faire l’objet d’un troisième renouvellement.
Fin de la disponibilité d’office
La réintégration est subordonnée à la vérification par un
médecin agréé et, éventuellement, par le comité médical
compétent de l’aptitude physique du fonctionnaire territorial
à l’exercice des fonctions afférentes à son grade.
Si le comité médical estime que le fonctionnaire territorial
ne présente pas, de façon temporaire ou permanente,
l’aptitude physique requise pour l’exercice de ses fonctions,
sans cependant que son état de santé lui interdise
toute activité, et si l’adaptation du poste de travail n’apparaît
pas possible, il peut proposer à l’intéressé d’être
reclassé dans un autre emploi dans les conditions fixées
par la réglementation en vigueur. Le fonctionnaire qui a
formulé avant l’expiration de la période de mise en disponibilité
une demande de réintégration est maintenu
en disponibilité jusqu’à ce qu’un poste lui soit proposé
dans les conditions prévues à l’article 97 de la loi du
26 janvier 1984. Toutefois, au cas où il ne peut être réintégré
pour cause d’inaptitude physique, il est soit reclassé,
soit mis en disponibilité d’office, soit radié des cadres s’il
est reconnu définitivement inapte.
Je suis marié, ma femme vient d'être mutée à 760 km, je suis agent de la fonction
publique territoriale depuis 2001, que dois-je faire pour pouvoir la suivre (j'ai 58 ans)
publique territoriale depuis 2001, que dois-je faire pour pouvoir la suivre (j'ai 58 ans)
Bonjour,
La mise en disponibilité d'office pour maladie correspond à une situation d'incapacité absolue et définitive. Ce n'est pas une mesure d'attente de reclassement; C'est une mesure pour aller inévitablement vers la porte de sortie, soit un licenciement déguisé, puisque l'on ne peut pas licencié un fonctionnaire sauf dans le cas de condamnation adùinistrative et/ou judiciaire très lourde.
L'arrêt de travail suite à un A.T. (accident du travail est pris à 100 % pour les soins par la sécurité sociale. Il faut demander au médecin prescripteur des soins de le faire sur un bordereau prévu à cet effet. C'est le même que celui du départ. Il suffit de préciser que c'est une récidive et de repporter les coordonnées figurant sur l'A.T. initial.
En disponibilité d'office pour maladie c'est la collectivité qui paie un demi salaire avec l'intégralité des avantages sociaux e familiaux.
Toutefois, il y a un dossier à remplir par l'employeur qui doit notamment justifier la nécessité du remplacement de l'agent absent pour maladie. Ce dossier doit être communiquer à l'agent suffisamment à l'avance pour préparer sa défense.
Cette disponibilité d'office est bien souvent entendu comme une "indisponibilité" et le piège est bien là. Il y a rarement une reprise d'activité après mise en disponibilité d'office. C'est une voie de garage, il est très, très difficile d'en sortir surtout dans le cadre d'une inaptitude incontestable et avérée. Cherchez sur Google, il y a des textes précis.
Bon courage.
Bien cordialement JEF
La mise en disponibilité d'office pour maladie correspond à une situation d'incapacité absolue et définitive. Ce n'est pas une mesure d'attente de reclassement; C'est une mesure pour aller inévitablement vers la porte de sortie, soit un licenciement déguisé, puisque l'on ne peut pas licencié un fonctionnaire sauf dans le cas de condamnation adùinistrative et/ou judiciaire très lourde.
L'arrêt de travail suite à un A.T. (accident du travail est pris à 100 % pour les soins par la sécurité sociale. Il faut demander au médecin prescripteur des soins de le faire sur un bordereau prévu à cet effet. C'est le même que celui du départ. Il suffit de préciser que c'est une récidive et de repporter les coordonnées figurant sur l'A.T. initial.
En disponibilité d'office pour maladie c'est la collectivité qui paie un demi salaire avec l'intégralité des avantages sociaux e familiaux.
Toutefois, il y a un dossier à remplir par l'employeur qui doit notamment justifier la nécessité du remplacement de l'agent absent pour maladie. Ce dossier doit être communiquer à l'agent suffisamment à l'avance pour préparer sa défense.
Cette disponibilité d'office est bien souvent entendu comme une "indisponibilité" et le piège est bien là. Il y a rarement une reprise d'activité après mise en disponibilité d'office. C'est une voie de garage, il est très, très difficile d'en sortir surtout dans le cadre d'une inaptitude incontestable et avérée. Cherchez sur Google, il y a des textes précis.
Bon courage.
Bien cordialement JEF
Bonjour,
Peut être une solution ?
Agent de la Fonction Publique Territoriale depuis 97, j'ai du subir une intervention lourde au niveau du dos en 2004, suite à de nombreux arrêts maladies ou bien évidemment je "simulais".
En 2006, en juin, j'ai décidé de prendre un congé sans solde sur un coup de tête, avant que d'en coller un sur mon supérieur hiérarchique.
Je précise que durant l'arrêt de convalescence, mon salaire a été rétrogradé de 130 euros sans explication aucune si ce n'est que ma note annuelle avait baissée.
Ce supérieur ayant quitté la Mairie j'ai fait une première demande de réintégration en Octobre 2007 avec date de reprise en Décembre (demande anticipée ou je sais pertinnement que l'administration n'est pas tenue d'accepter), et il m'a été répondu que me demande serait prise en compte à la date anniversaire de ma première demande.
Donc aprés avoir à nouveau fais cette demande dans le délai légal, sans nouvelle de la part de la mairie, je me suis présenté à mon attachement à la date indiquée sur le courrier de Décembre.
Voila, nous sommes en Octobre, excepté un courrier début Juillet ou il m'est expliqué que l'on me cherche un poste, rien.
Alors ma question sera simple, j'en aurais d'ailleurs deux. Peut on me retirer une partie de mon salaire en fonction de la situation dans laquelle je me trouvais au moment de ?
Secundo, l'administration peut elle reculer longtemps encore ma demande de réintégration ?
Par avance merci.
Bruno
Peut être une solution ?
Agent de la Fonction Publique Territoriale depuis 97, j'ai du subir une intervention lourde au niveau du dos en 2004, suite à de nombreux arrêts maladies ou bien évidemment je "simulais".
En 2006, en juin, j'ai décidé de prendre un congé sans solde sur un coup de tête, avant que d'en coller un sur mon supérieur hiérarchique.
Je précise que durant l'arrêt de convalescence, mon salaire a été rétrogradé de 130 euros sans explication aucune si ce n'est que ma note annuelle avait baissée.
Ce supérieur ayant quitté la Mairie j'ai fait une première demande de réintégration en Octobre 2007 avec date de reprise en Décembre (demande anticipée ou je sais pertinnement que l'administration n'est pas tenue d'accepter), et il m'a été répondu que me demande serait prise en compte à la date anniversaire de ma première demande.
Donc aprés avoir à nouveau fais cette demande dans le délai légal, sans nouvelle de la part de la mairie, je me suis présenté à mon attachement à la date indiquée sur le courrier de Décembre.
Voila, nous sommes en Octobre, excepté un courrier début Juillet ou il m'est expliqué que l'on me cherche un poste, rien.
Alors ma question sera simple, j'en aurais d'ailleurs deux. Peut on me retirer une partie de mon salaire en fonction de la situation dans laquelle je me trouvais au moment de ?
Secundo, l'administration peut elle reculer longtemps encore ma demande de réintégration ?
Par avance merci.
Bruno
Bonjour,
Etant en disponibilité d'office depuis presque 2 ans pour dépression je cherche les différentes solutions. Même en regardant sur Google ça m'embrouille et je n'y vois pas très clair dans toutes ces questions et démarches administratives.
Vous avez l'air de dire que l'issue serait la retraite pour invalidité maladie ; est-ce que c'est possible, c'est pas réservé aux AT? mais je suis assez loin de l'âge (cinquante ans), est ce que ça peut m'être refusé?
est-ce que je peux la demander tout de suite ou faut-il attendre 1 an de plus de dispo? faut-il passer par une demande de reclassement avant la retraite pour invalidité?
et si je voulais essayer de retravailler est-ce que je peux, à mi-temps ou temps complet?
Merci beaucoup d'avance!
Geneviève
Etant en disponibilité d'office depuis presque 2 ans pour dépression je cherche les différentes solutions. Même en regardant sur Google ça m'embrouille et je n'y vois pas très clair dans toutes ces questions et démarches administratives.
Vous avez l'air de dire que l'issue serait la retraite pour invalidité maladie ; est-ce que c'est possible, c'est pas réservé aux AT? mais je suis assez loin de l'âge (cinquante ans), est ce que ça peut m'être refusé?
est-ce que je peux la demander tout de suite ou faut-il attendre 1 an de plus de dispo? faut-il passer par une demande de reclassement avant la retraite pour invalidité?
et si je voulais essayer de retravailler est-ce que je peux, à mi-temps ou temps complet?
Merci beaucoup d'avance!
Geneviève
Bonjour,
Je suis dans une impasse. Voici ma situation, je ne suis pas titulaire de la fonction territoriale car je suis de nationalité étrangère, je travaille en mairie depuis plus de trente ans, le médecin du CIG m'a déclaré inapte définitif à tout poste. Je pourrais prétendre à une retraite en 2010 à taux plein. Suite à mon inaptitude, mon employeur voudrais que je prenne ma retraite puisque j'ai 60 ans. Quel sont les recours possible au vu de cette situation.
Merci de l'aide que vous pourrez m'apportez
Cordialement
Je suis dans une impasse. Voici ma situation, je ne suis pas titulaire de la fonction territoriale car je suis de nationalité étrangère, je travaille en mairie depuis plus de trente ans, le médecin du CIG m'a déclaré inapte définitif à tout poste. Je pourrais prétendre à une retraite en 2010 à taux plein. Suite à mon inaptitude, mon employeur voudrais que je prenne ma retraite puisque j'ai 60 ans. Quel sont les recours possible au vu de cette situation.
Merci de l'aide que vous pourrez m'apportez
Cordialement
cela va bientot faire 1 an que je suis en maladie ordinaire,parce que le comite medical departemental a refuse de vme mettre en longue maladie.J'ai donc fait appel aupres du comite superieur et cela depuis le 13/02/2008,et je n'ai toujours pas de reponse.Mon patron risque de me mettre en disponibilite a partir du 19/09/2008,mais je ne sais absoluement pas qui va me payer,et moi je deja en demi salaire depuis le mois d'octobre 2007.Actuellement je tente de faire valoir mes droits.La MAIRIE elle aussi ne sait pas comment faire pour ma paye,car tous attendent le resultat de mon appel au comite medical superieur.Je vais bientot avoir 60 ans et la MAIRIE voudrai me mettre en invalidite qui et la chose la plus correcte pour moi .Je crois que pour toi,il faudrai que tu passe en CLD ou en CLM,mais je te souhaite bon courage
La mise en disponibilité pour raison de santé suite à un maladie ordinaire ouvre droit à l'indemnité de coordination qui est légèrment supérieure au demi traitement et qui est versée par la sécu pendant les deux ans suivant ta première année de maladie. Pour la mise à la retraite pour invalidité, c'est à toi à en faire la demande. Un ami âgé de 60 ans également, l'a fait dans l'attente de la décision du comité médical supérieur. La décision lui a été favorable. l'administration est en train de régulariser par le versement des demi-traitement manquants. Une belle somme !!
Bonjour,
La mise en disponibilité d'office correspond à une inaptotude totale et définitive de l'agent. Il est placé là pour une sortie vers la retraite pour invalidité maladie, le temps de préparer le dossier. Ce n'est jamais une mesure d'attente de reclassement. Le collectitivité a obligation de payer un demi salaire et l'intégralité des avantages sociaux.
Cette retraite pour invalité doit être validée avec un pourcentage de 10, 15, etc % ce qui bien souvent correspond à pas grand chose sur le plan financier. Mais elle peut-être reffusée par la commission qui valide ou pas.
Il faut avoir la certitude de l'obtenir et d'avoir un pourcentage interessant qui aboutisse à une rémunération interranssante.
Cette mise en disponibilité d'office c'est vraiment trop souvent un piège. Il faut prendre des rensignements sur le site Google. C'est malhueureusement un licenciement déguisé. Les collectivités font "les gentilles" et disent ne rien savoir pour mieux nous avoir.
Les sites et les forums sont plein de questions sur la dispo pour maladie, c'est dire ce qui s'y passe.
Boncourage
JEF
La mise en disponibilité d'office correspond à une inaptotude totale et définitive de l'agent. Il est placé là pour une sortie vers la retraite pour invalidité maladie, le temps de préparer le dossier. Ce n'est jamais une mesure d'attente de reclassement. Le collectitivité a obligation de payer un demi salaire et l'intégralité des avantages sociaux.
Cette retraite pour invalité doit être validée avec un pourcentage de 10, 15, etc % ce qui bien souvent correspond à pas grand chose sur le plan financier. Mais elle peut-être reffusée par la commission qui valide ou pas.
Il faut avoir la certitude de l'obtenir et d'avoir un pourcentage interessant qui aboutisse à une rémunération interranssante.
Cette mise en disponibilité d'office c'est vraiment trop souvent un piège. Il faut prendre des rensignements sur le site Google. C'est malhueureusement un licenciement déguisé. Les collectivités font "les gentilles" et disent ne rien savoir pour mieux nous avoir.
Les sites et les forums sont plein de questions sur la dispo pour maladie, c'est dire ce qui s'y passe.
Boncourage
JEF
bonjour
je suis dans le meme cas que vous,mes droits finissent ce mois ci,je ne peut pas subir une intervention chirurgicale car l operation est tres lourde et d un autre coté le medecin de travail me reconnai inapte temporaire.
je suis dans une mairie depuis 1998 en 2003 j ai eu un cancer de la parotide et j ai meme pas eu droit a la clm
a ce jour je suis diabetique et j ai artere coincée sous la clavicule,depressif et le comité médicale me refuse encore le clm.
j espère que vous aurai plus de chance que moi
je suis dans le meme cas que vous,mes droits finissent ce mois ci,je ne peut pas subir une intervention chirurgicale car l operation est tres lourde et d un autre coté le medecin de travail me reconnai inapte temporaire.
je suis dans une mairie depuis 1998 en 2003 j ai eu un cancer de la parotide et j ai meme pas eu droit a la clm
a ce jour je suis diabetique et j ai artere coincée sous la clavicule,depressif et le comité médicale me refuse encore le clm.
j espère que vous aurai plus de chance que moi
Bonjour,
Je suis RH dans un EPIC et je souhaite embaucher une fonctionnaire territoriale qui se mettrai en disponibilité. Quel contrat dois-je lui attribuer? Contrat privé CDI? Convention comme pour les détachement ou autre?
Si vous savez! je suis preneuse!
Je suis RH dans un EPIC et je souhaite embaucher une fonctionnaire territoriale qui se mettrai en disponibilité. Quel contrat dois-je lui attribuer? Contrat privé CDI? Convention comme pour les détachement ou autre?
Si vous savez! je suis preneuse!
Un CDI. Les EPIC peuvent en conclure surtout si l'agent est en disponibilité pour convenance personnelle. Le détachement ne concerne que les fonctionnaires en activité qui n'ont pas rompu le lien, même pour une durée limitée, avec l'administration. Or, la mise en disponibilité romp tous liens avec l'administration jusqu'à la demande de réintégration. Mais peut-être avez vous déjà recruté ou reçu une réponse.
Bonjour,
Pour ce qui concerne les postes, il y en a si tu es bien encarté au bon parti et une gande famille qui pourra bien voté.
Dans le cas contraire, c'est une lente sortie vers la porte ! Ni plus, ni moins !
Il faut se battre et surtout chercher les failles dans la procédure, car les collectivités sont des spécialistes des "arnaques".
Bon courage !
JEF
Pour ce qui concerne les postes, il y en a si tu es bien encarté au bon parti et une gande famille qui pourra bien voté.
Dans le cas contraire, c'est une lente sortie vers la porte ! Ni plus, ni moins !
Il faut se battre et surtout chercher les failles dans la procédure, car les collectivités sont des spécialistes des "arnaques".
Bon courage !
JEF
APRES 6 MOIS EN SALAIRE COMPLET ET 2 MOIS EN DEMI SOLDE PUIS 5 MOIS EN SALAIRE COMPLET ET MAINTENANT DEPUIS 2 MOIS EN DEMI SOLDE JE VIENS DE PASSER CHEZ L EXPERT DE MA MAIRIE. MON HANDICAP AU NIVEAU DE MON BRAS GAUCHE EST DE 80 %. J AI ETE RECONNU PAR LE CONTROLE MEDICAL. JE SUIS EN INSTANCE D ETRE RECLASSEE APRES AVOIR SUBIT DES TESTES DE VALIDATION SUR UN POSTE AVEC UN GRADE SUPERIEUR. ECHELON SUPERIEUR ET CATEGORIE SUPERIEURE.....JE SUIS VRAIMENT SATISFAITE. MAIS IL FAUT TOUJOURS DIRE LA VERITE. ECRIRE. RELANCER SANS ARRET. SE PRESENTER A TOUS CONTROLES MEDICAL. DONC AU 27 AOUT 2008 CELA FERA 1 AN QUE JE SUIS EN ARRET DE TRAVAIL APRES UNE CHUTE DE 5 MARCHES DANS LES ESCALIERS 2 SYNCOPES 1 BRAS ET 1 EPAULE CASSEE SUR MON LIEU DE TRAVAIL. .......TOUT DOIT SE FAIRE NIRMALEMENT ARRET DE TRAVAIL PROLONGATION EXPERT RECLASSEMENT. SI IL N Y A PAS DE RECLASSEMENT C EST QU IL Y A UN SOUCIS AU NIVEAU DU DOSSIER......
11 sept. 2008 à 10:58
11 sept. 2008 à 18:48