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23 réponses
Voltaire reste très cartésien et sa définition de la folie pèsera lourd dans l’histoire de la psychiatrie
« Nous appelons folie cette maladie des organes du cerveau qui empêche un homme de penser et d’agir comme les autres ». (« Dictionnaire philosophique » 1764) Je pense sainement avec des preuves.
De George Orwell « En temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. »
Jacques Goguy.
2, rue du Fief de la Croix.
79330 St-Varent.
Tél. 05 49 67 68 03..
St-Varent le 19 juin 09.
Docteur Chaumier Sylvie
Centre Hospitalier de Niort.
40, Av Charles de Gaulle.
79021 Niort Cedex. .
Docteur,
Je me permets de vous communiquer, les écrits sur Internet du Sieur Guillot, impliqué dans mon affaire de spoliation, cet individu avait utilisé des produits pour me neutraliser ; fais signalé dans ma première plainte du 26 juillet 1999.
Non seulement, je suis victime de ce voyou ; ce malfaiteur utilise les rapports des psychiatres, pour me salir et me déshonorer. Ma première visite dans votre service pour un examen ; il était visible pour un médecin que j’étais sous soumission chimique ; qu’un examen toxicologique et une expertise aux fins d’analyse de toxicologie était impérative ; afin de connaître les produits utilisés.
Il est à remarquer que l’administration aux victimes de drogues modifie l’état de conscience, un psychiatre expérimenté se devait d’orienter son analyse dans ce domaine, de plus je vous avais signalé à cette époque que des individus m’avait conditionné.
Dans tous les cas de figure l’utilisation des ses produits à des fins délictueuses sont des faits graves. Il est dit que cette situation nécessite un intérêt particulier de la part des autorités judiciaires, compte tenu de la fragilité des victimes concernées.
Si l’enquête met en évidence l’utilisation de produits psycho-actifs, il conviendra que les analyses toxicologiques soient faites dans le cadre judiciaire afin de pouvoir être utilement versées à la procédure.
Cette mauvaise orientation de l’enquête médicale a permis aux organisateurs de cette escroquerie, de ne pas être inquiétés par la justice. Et de cacher leurs crimes.
Je considère responsable de laxisme votre service ; ce détournement d’héritage a occasionné des milliers de pertes d’emplois ; liés à la fermeture de nombreuses usines en France.
De toute manière nous sommes tous des fous ; il y a les fous chantants, les fous du volant, les fous des animaux, les fous du cinéma, les fous de la pèche à la ligne, les fous rires, les fous de la politique, et les plus dangereux ; les fous de la drogue, les fous de l’arnaque, les fous criminels ; je suis en guerre contre cette catégorie, vous pouvez dire que je suis un fou de justice.
Veuillez agréer, Docteur, l’expression de mes sentiments respectueux.
« Nous appelons folie cette maladie des organes du cerveau qui empêche un homme de penser et d’agir comme les autres ». (« Dictionnaire philosophique » 1764) Je pense sainement avec des preuves.
De George Orwell « En temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. »
Jacques Goguy.
2, rue du Fief de la Croix.
79330 St-Varent.
Tél. 05 49 67 68 03..
St-Varent le 19 juin 09.
Docteur Chaumier Sylvie
Centre Hospitalier de Niort.
40, Av Charles de Gaulle.
79021 Niort Cedex. .
Docteur,
Je me permets de vous communiquer, les écrits sur Internet du Sieur Guillot, impliqué dans mon affaire de spoliation, cet individu avait utilisé des produits pour me neutraliser ; fais signalé dans ma première plainte du 26 juillet 1999.
Non seulement, je suis victime de ce voyou ; ce malfaiteur utilise les rapports des psychiatres, pour me salir et me déshonorer. Ma première visite dans votre service pour un examen ; il était visible pour un médecin que j’étais sous soumission chimique ; qu’un examen toxicologique et une expertise aux fins d’analyse de toxicologie était impérative ; afin de connaître les produits utilisés.
Il est à remarquer que l’administration aux victimes de drogues modifie l’état de conscience, un psychiatre expérimenté se devait d’orienter son analyse dans ce domaine, de plus je vous avais signalé à cette époque que des individus m’avait conditionné.
Dans tous les cas de figure l’utilisation des ses produits à des fins délictueuses sont des faits graves. Il est dit que cette situation nécessite un intérêt particulier de la part des autorités judiciaires, compte tenu de la fragilité des victimes concernées.
Si l’enquête met en évidence l’utilisation de produits psycho-actifs, il conviendra que les analyses toxicologiques soient faites dans le cadre judiciaire afin de pouvoir être utilement versées à la procédure.
Cette mauvaise orientation de l’enquête médicale a permis aux organisateurs de cette escroquerie, de ne pas être inquiétés par la justice. Et de cacher leurs crimes.
Je considère responsable de laxisme votre service ; ce détournement d’héritage a occasionné des milliers de pertes d’emplois ; liés à la fermeture de nombreuses usines en France.
De toute manière nous sommes tous des fous ; il y a les fous chantants, les fous du volant, les fous des animaux, les fous du cinéma, les fous de la pèche à la ligne, les fous rires, les fous de la politique, et les plus dangereux ; les fous de la drogue, les fous de l’arnaque, les fous criminels ; je suis en guerre contre cette catégorie, vous pouvez dire que je suis un fou de justice.
Veuillez agréer, Docteur, l’expression de mes sentiments respectueux.
Escroquerie et justice
2 ___________________________________________________________________________________________________________ Top Alerte juin 2009
Victime d’une association de malfaiteurs, Jacques GOGUY a été dépossédé de tout : son héritage, son honneur et ses origines
Jacques GOGUY, 68 ans est né à Thouars en 1941, sous l’occupation, d’une mère lavandière, chargée par les officiers allemands de s’occuper de leurs vêtements et d’un pilote dans la Luftwaffe, Kurt MULLER âgée de 21 ans. Il connaîtra peu son père dont il restera le vague souvenir d’un homme gentil. Suite à une maladie, Kurt Müller est rapatrié à Berlin et sa trace se perd le 16 juin 1944, dans les archives de la WAST. Il décède le 28 janvier 1945, à Berlin. Il a 25 ans. La guerre a séparé le petit garçon et son père. Les exactions commises par une minorité d’allemands ont déshonoré l’Allemagne et isolées nombre de familles. La révélation des camps de la mort a été la disgrâce de tout un peuple. Après la guerre, les origines allemandes de Jacques GOGUY, le mettent en danger, sa mère et sa grand-mère décide de falsifier ses origines paternelles pour protéger l’enfant de la discrimination et des rancœurs des français vis-à-vis des allemands particulièrement exacerbées à cette époque. Enfant, Jacques Goguy ne sait pas qu’il est l’héritier d’une immense fortune d’environ cinq cent millions d’euros (35 milliard de francs). Des années plus tard, des personnes malhonnêtes qui connaissent la fortune de son père vont lui faire ingérer à son insu des produits psycho actifs afin de le spolier de son héritage. Tout est mis en œuvre, aujourd’hui pour le faire passer pour un fou avec l’insoutenable légèreté de la justice. Sa franchise, sa simplicité, son émotion nous ont conduit à lui ouvrir les pages de Top Alerte pour raconter son incroyable et triste histoire.
Pour protéger son fils, la mère de Jacques GOGUY, falsifie ses origines allemandes
Lorène RUSSELL : Pourquoi votre mère et votre grand-mère ont dissimulé l’acte de reconnaissance de votre père ?
Jacques GOGUY : C’était l’après guerre et je pense que c’était pour me protéger de manière à ce que je ne m’appelle pas Muller. Après la guerre, étant gamin avec mes petits copains d’école, cela aurait été difficile.
L.R. : En 1956, votre mère décède brutalement, vous avez quinze ans, c’est le choc ?
J.G. : C’est une catastrophe qui m’est tombée dessus. Je pensais vivre longtemps avec ma pauvre mère et malheureusement, elle est décédée bien jeune. Les rares instants de bonheur qu’elle a vécu, c’était avec mon père…
Le regard de Jacques s’adoucit au souvenir de celle qui est partie trop tôt sans lever le secret de ses origines allemandes. Sa mère très pauvre, a vécu dans la misère, se privant de tout pour élever son fils. Gamin, Jacques n’était pas attentif à cette abnégation, la douleur de cette perte en est d’autant plus douloureuse encore aujourd’hui.
L.R. : Que s’est-il passé après son décès, comment avez-vous vécu et avec qui ?
J.G. : A l’époque, j’étais en apprentissage de peintre à Airvault, chez une brave personne, Monsieur Richard et j’ai vécu avec mon oncle, André Goguy qui est devenu mon tuteur. Il avait de grandes qualités mais il était rude et autoritaire. Communiquer avec lui n’était pas facile et je n’osais pas lui parler de mes origines. Ensuite j’ai été hébergé deux ans chez la famille Généchaud, des personnes d’une grande humanité qui m’ont apporté un grand réconfort. Roger Généchaud était un homme très érudit, j’ai beaucoup appris à ses côtés et son épouse a été une seconde mère formidable. Je suis resté chez eux jusqu’à mon CAP. Ensuite, j’ai été embauché dans une entreprise de peinture à Thouars.
L.R. : Vous avez 18 ans, vous prenez pension dans la famille Brunet et c’est là que tout démarre ?
J.G. : Oui, les Brunet connaissaient mes origines allemandes et savaient que ma famille paternelle était très riche. Je pense qu’ils ont exploité la situation.
L.R. : Comment l’ont-ils su ?
J.G. : Je suppose que c’est par mon oncle qu’ils ont été renseignés sans que celui-ci imagine l’usage que ces gens là feraient de ces informations.
L.R. : Que saviez-vous de vos origines à cette période ?
J.G. : Je savais que j’avais des origines allemandes mais c’était enfoui très loin. Je me souviens quand j’étais tout gamin, je parlais allemand et ma mère m’obligeait à parler français pour que personne ne soupçonne mes origines.
L.R. : Personne ne se doutait de vos origines allemandes ?
J.G. : C’était malgré tout connu dans la commune car certains savaient pertinemment que mon père était allemand.
L.R. : Les Brunet avaient une fille, Yvette qui avait onze ans de plus que vous, vous l’avez épousé et vous avez eu cinq enfants ?
J.G. : Je me suis marié mineur et je pense qu’ils ont exploité ma crédulité de jeune personne qui n’avait aucune expérience dans la vie. Ils ont vu le côté lucratif de cette relation.
L.R. : Donc, dès le départ, il y a eu un complot pour à terme récupérer la fortune de votre père dont vous étiez l’héritier ?
J.G. : Absolument.
L.R. : Vous avez découvert à quel moment que vos origines avaient été falsifiées ?
J.G. : Quand je suis arrivé à Paris, des personnes m’ont mis la puce à l’oreille en me disant que ce n’était pas normal que l’on mette une mention au milieu d’un acte de naissance.
L.R. : Quel était cette mention ?
J.G. : C’était marqué « Hélène » mais à l’origine c’était marqué « Müller ».
L.R. : Quelle preuve avait-vous de cette modification ?
J.G. : D’abord ce n’est pas la même écriture, ensuite on voit clairement que le mot a été gratté. J’ai aussi fait une enquête auprès de l’Etat civil où il m’a été dit que l’on notait un ajout dans la marge pas au milieu de l’acte.
L.R. : Qui et comment a-t-on pu falsifier ce document ?
J.G. : C’est mon père qui avait marqué son nom. Comme il était un officier de l’armée allemande, il a été à l’Etat civil, il a demandé le registre et a noté son nom pour me reconnaître. C’était en 1941 et il ne pensait certainement pas qu’il y aurait la débâcle en 1945.
L.R. : Qui a marqué Hélène d’après vous ?
J.G. : C’est une personne de l’Etat civil qui a été sollicitée par ma mère pour modifier le nom Müller en Hélène pour me protéger.
L.R. : Et plus tard d’autres personnes se sont rendues compte que ce document avait été falsifié et l’ont utilisé pour vous démunir de votre héritage ?
J.G. : Dans la mesure où cette modification m’avait été dissimulée, les gens qui étaient au courant de cet héritage et qui ont décidé de me spolier avaient l’assurance que je ne le saurais jamais.
______________________________________________________________________________________________________________________ Top Alerte N°14
2 ___________________________________________________________________________________________________________ Top Alerte juin 2009
Victime d’une association de malfaiteurs, Jacques GOGUY a été dépossédé de tout : son héritage, son honneur et ses origines
Jacques GOGUY, 68 ans est né à Thouars en 1941, sous l’occupation, d’une mère lavandière, chargée par les officiers allemands de s’occuper de leurs vêtements et d’un pilote dans la Luftwaffe, Kurt MULLER âgée de 21 ans. Il connaîtra peu son père dont il restera le vague souvenir d’un homme gentil. Suite à une maladie, Kurt Müller est rapatrié à Berlin et sa trace se perd le 16 juin 1944, dans les archives de la WAST. Il décède le 28 janvier 1945, à Berlin. Il a 25 ans. La guerre a séparé le petit garçon et son père. Les exactions commises par une minorité d’allemands ont déshonoré l’Allemagne et isolées nombre de familles. La révélation des camps de la mort a été la disgrâce de tout un peuple. Après la guerre, les origines allemandes de Jacques GOGUY, le mettent en danger, sa mère et sa grand-mère décide de falsifier ses origines paternelles pour protéger l’enfant de la discrimination et des rancœurs des français vis-à-vis des allemands particulièrement exacerbées à cette époque. Enfant, Jacques Goguy ne sait pas qu’il est l’héritier d’une immense fortune d’environ cinq cent millions d’euros (35 milliard de francs). Des années plus tard, des personnes malhonnêtes qui connaissent la fortune de son père vont lui faire ingérer à son insu des produits psycho actifs afin de le spolier de son héritage. Tout est mis en œuvre, aujourd’hui pour le faire passer pour un fou avec l’insoutenable légèreté de la justice. Sa franchise, sa simplicité, son émotion nous ont conduit à lui ouvrir les pages de Top Alerte pour raconter son incroyable et triste histoire.
Pour protéger son fils, la mère de Jacques GOGUY, falsifie ses origines allemandes
Lorène RUSSELL : Pourquoi votre mère et votre grand-mère ont dissimulé l’acte de reconnaissance de votre père ?
Jacques GOGUY : C’était l’après guerre et je pense que c’était pour me protéger de manière à ce que je ne m’appelle pas Muller. Après la guerre, étant gamin avec mes petits copains d’école, cela aurait été difficile.
L.R. : En 1956, votre mère décède brutalement, vous avez quinze ans, c’est le choc ?
J.G. : C’est une catastrophe qui m’est tombée dessus. Je pensais vivre longtemps avec ma pauvre mère et malheureusement, elle est décédée bien jeune. Les rares instants de bonheur qu’elle a vécu, c’était avec mon père…
Le regard de Jacques s’adoucit au souvenir de celle qui est partie trop tôt sans lever le secret de ses origines allemandes. Sa mère très pauvre, a vécu dans la misère, se privant de tout pour élever son fils. Gamin, Jacques n’était pas attentif à cette abnégation, la douleur de cette perte en est d’autant plus douloureuse encore aujourd’hui.
L.R. : Que s’est-il passé après son décès, comment avez-vous vécu et avec qui ?
J.G. : A l’époque, j’étais en apprentissage de peintre à Airvault, chez une brave personne, Monsieur Richard et j’ai vécu avec mon oncle, André Goguy qui est devenu mon tuteur. Il avait de grandes qualités mais il était rude et autoritaire. Communiquer avec lui n’était pas facile et je n’osais pas lui parler de mes origines. Ensuite j’ai été hébergé deux ans chez la famille Généchaud, des personnes d’une grande humanité qui m’ont apporté un grand réconfort. Roger Généchaud était un homme très érudit, j’ai beaucoup appris à ses côtés et son épouse a été une seconde mère formidable. Je suis resté chez eux jusqu’à mon CAP. Ensuite, j’ai été embauché dans une entreprise de peinture à Thouars.
L.R. : Vous avez 18 ans, vous prenez pension dans la famille Brunet et c’est là que tout démarre ?
J.G. : Oui, les Brunet connaissaient mes origines allemandes et savaient que ma famille paternelle était très riche. Je pense qu’ils ont exploité la situation.
L.R. : Comment l’ont-ils su ?
J.G. : Je suppose que c’est par mon oncle qu’ils ont été renseignés sans que celui-ci imagine l’usage que ces gens là feraient de ces informations.
L.R. : Que saviez-vous de vos origines à cette période ?
J.G. : Je savais que j’avais des origines allemandes mais c’était enfoui très loin. Je me souviens quand j’étais tout gamin, je parlais allemand et ma mère m’obligeait à parler français pour que personne ne soupçonne mes origines.
L.R. : Personne ne se doutait de vos origines allemandes ?
J.G. : C’était malgré tout connu dans la commune car certains savaient pertinemment que mon père était allemand.
L.R. : Les Brunet avaient une fille, Yvette qui avait onze ans de plus que vous, vous l’avez épousé et vous avez eu cinq enfants ?
J.G. : Je me suis marié mineur et je pense qu’ils ont exploité ma crédulité de jeune personne qui n’avait aucune expérience dans la vie. Ils ont vu le côté lucratif de cette relation.
L.R. : Donc, dès le départ, il y a eu un complot pour à terme récupérer la fortune de votre père dont vous étiez l’héritier ?
J.G. : Absolument.
L.R. : Vous avez découvert à quel moment que vos origines avaient été falsifiées ?
J.G. : Quand je suis arrivé à Paris, des personnes m’ont mis la puce à l’oreille en me disant que ce n’était pas normal que l’on mette une mention au milieu d’un acte de naissance.
L.R. : Quel était cette mention ?
J.G. : C’était marqué « Hélène » mais à l’origine c’était marqué « Müller ».
L.R. : Quelle preuve avait-vous de cette modification ?
J.G. : D’abord ce n’est pas la même écriture, ensuite on voit clairement que le mot a été gratté. J’ai aussi fait une enquête auprès de l’Etat civil où il m’a été dit que l’on notait un ajout dans la marge pas au milieu de l’acte.
L.R. : Qui et comment a-t-on pu falsifier ce document ?
J.G. : C’est mon père qui avait marqué son nom. Comme il était un officier de l’armée allemande, il a été à l’Etat civil, il a demandé le registre et a noté son nom pour me reconnaître. C’était en 1941 et il ne pensait certainement pas qu’il y aurait la débâcle en 1945.
L.R. : Qui a marqué Hélène d’après vous ?
J.G. : C’est une personne de l’Etat civil qui a été sollicitée par ma mère pour modifier le nom Müller en Hélène pour me protéger.
L.R. : Et plus tard d’autres personnes se sont rendues compte que ce document avait été falsifié et l’ont utilisé pour vous démunir de votre héritage ?
J.G. : Dans la mesure où cette modification m’avait été dissimulée, les gens qui étaient au courant de cet héritage et qui ont décidé de me spolier avaient l’assurance que je ne le saurais jamais.
______________________________________________________________________________________________________________________ Top Alerte N°14
DROIT DE REPONSE A JACQUES GOGUY - APPEL AUX AUTORITES COMPETENTES.
Une nouvelle fois Jacques GOGUY me dénonce calomnieusement, mais c'est son habitude, auprès du Pocureur Général de POITIERS, en accusant au passage, mais c'est son habitude, les magistrats de Bressuire qui l'auraient illégalement condamné à des dommages et intérêts. Rappelons en effet que Jacques Goguy a été légalement condamné à plusieurs reprises a des dommages et intérêts et le 2 Décembre 2008 pour abolition de son discernement, faits rapportés par la presse locale.
Autres élucubrations de Jacques Goguy sur le même site: publication du torchon TOP ALERTE qui devrait vérifier avant publication, mais à chacun ses responsabilités... Idem sur sur le blog Daylimotion et autres sites.....
Autres élucubrations sur le site Prison ferme pour les patrons voyous où Jacques GOGUY s'adresse "aux victimes des fermetures d'usines". J'ajouterais volontiers "et à ceux qui rigolent des élucubrations d'un pignouf dont l'abolition du discernement est établie".
Comment peut-on se ridiculiser de la sorte si ce n'est en raion de l'abolition de son discernement ??. En effet, le propre du malade mental, c'est de dire qu'il n'est pas malade mais que ce sont les autres qui sont malades. C'est également les raisons pour lesquelles depuis 2001 et en ralation directe avec l'rabolition du discernement, que Jacques GOGUY menace de mort, injurie, dénonce calomnieusement, diffame, sans la moindre preuve alors qu'il demande aux autres...
Sur les sites ou blogs où il s'invite et qui l'acceuillent, mais pas tous puisque certains ont éffacé ses écrits en lui indiquant qu'il diffamait, il accuse toujous sans preuves les magistats , les Maires, la Police et la Gendarmerie,
sa famille , les personnes de sa connaissance et même le Président de la République, de l'avoir spolié de la fortune supposée de sa famille allemande. Il écrit en recommandé avec avis de réception à toutes les instances et autorités qu'il connait, émaillant sa prose de menaces, de conclusions extravagantes, de citations sans fondement, mais toujours sans la moindre preuve, si ce n'est ses élucubrations, que tout le monde connait maintenant. Faut-il rappeler, mais il le dit lui-même, qu'ila été de nombreuses fois condamné civilement à des dommages et intérêts et la dernière fois pour abolition de son discernement. (pour sa folie, il est plus discret sur ce point).
Se présenter sur une liste aux élections européennes pour pouvoir divaguer sur internet alors que deouis 2001 c'est déjà le cas, voilà un aspect de dérangement mental. Mais que pensent les électrices et électeurs d'un candidat au discernement aboli ???....
J'ai indiqué à ce malade l'association "ANEG" susceptible de l'aider dans sa recherche d'un père allemend supposé, fut-il si riche pour avoir des actions dans toutes les sociétés françaises, mais qui est le père ??... puisqu'il refuse tous les tests qui pourraient confirmer ou infirmer la paternité.
Tout celà est bien triste pour Jacques GOGUY, mais qui peut l'aider ?
Une nouvelle fois Jacques GOGUY me dénonce calomnieusement, mais c'est son habitude, auprès du Pocureur Général de POITIERS, en accusant au passage, mais c'est son habitude, les magistrats de Bressuire qui l'auraient illégalement condamné à des dommages et intérêts. Rappelons en effet que Jacques Goguy a été légalement condamné à plusieurs reprises a des dommages et intérêts et le 2 Décembre 2008 pour abolition de son discernement, faits rapportés par la presse locale.
Autres élucubrations de Jacques Goguy sur le même site: publication du torchon TOP ALERTE qui devrait vérifier avant publication, mais à chacun ses responsabilités... Idem sur sur le blog Daylimotion et autres sites.....
Autres élucubrations sur le site Prison ferme pour les patrons voyous où Jacques GOGUY s'adresse "aux victimes des fermetures d'usines". J'ajouterais volontiers "et à ceux qui rigolent des élucubrations d'un pignouf dont l'abolition du discernement est établie".
Comment peut-on se ridiculiser de la sorte si ce n'est en raion de l'abolition de son discernement ??. En effet, le propre du malade mental, c'est de dire qu'il n'est pas malade mais que ce sont les autres qui sont malades. C'est également les raisons pour lesquelles depuis 2001 et en ralation directe avec l'rabolition du discernement, que Jacques GOGUY menace de mort, injurie, dénonce calomnieusement, diffame, sans la moindre preuve alors qu'il demande aux autres...
Sur les sites ou blogs où il s'invite et qui l'acceuillent, mais pas tous puisque certains ont éffacé ses écrits en lui indiquant qu'il diffamait, il accuse toujous sans preuves les magistats , les Maires, la Police et la Gendarmerie,
sa famille , les personnes de sa connaissance et même le Président de la République, de l'avoir spolié de la fortune supposée de sa famille allemande. Il écrit en recommandé avec avis de réception à toutes les instances et autorités qu'il connait, émaillant sa prose de menaces, de conclusions extravagantes, de citations sans fondement, mais toujours sans la moindre preuve, si ce n'est ses élucubrations, que tout le monde connait maintenant. Faut-il rappeler, mais il le dit lui-même, qu'ila été de nombreuses fois condamné civilement à des dommages et intérêts et la dernière fois pour abolition de son discernement. (pour sa folie, il est plus discret sur ce point).
Se présenter sur une liste aux élections européennes pour pouvoir divaguer sur internet alors que deouis 2001 c'est déjà le cas, voilà un aspect de dérangement mental. Mais que pensent les électrices et électeurs d'un candidat au discernement aboli ???....
J'ai indiqué à ce malade l'association "ANEG" susceptible de l'aider dans sa recherche d'un père allemend supposé, fut-il si riche pour avoir des actions dans toutes les sociétés françaises, mais qui est le père ??... puisqu'il refuse tous les tests qui pourraient confirmer ou infirmer la paternité.
Tout celà est bien triste pour Jacques GOGUY, mais qui peut l'aider ?
tout le monde connais l'histoire du serpent qui se mord la queue ; dans ce cas présent c'est tout a fait le cas pour Jacques GOGUY.
Pour l'aider il faudrait d'abord qu'il la lâche "cette queue " qu'il se prenne en main et qu'il consulte un bon psy .
Qu'il prenne l'intiative de faire des tests de consanguinités ( il existe surment des descendants Muller , qui soit dit en passant se seraient manifaistés si fortune on leur avait pris).
Pour l'aider il faudrait d'abord qu'il la lâche "cette queue " qu'il se prenne en main et qu'il consulte un bon psy .
Qu'il prenne l'intiative de faire des tests de consanguinités ( il existe surment des descendants Muller , qui soit dit en passant se seraient manifaistés si fortune on leur avait pris).
La législation juridique et financière évolue en permanence...