Jugement jaf, du grand n’importe quoi!

Zia -  

Bonjour,

Je tiens à témoigner de mon indignation et de ma colère face au jaf. 

J’ai déjà posté plusieurs questions sur ce sujet et les réponses de kang74 sont très loins d’être satisfaisantes ! Elles sont par contre condescendantes, moralisatrices  et aberrantes.

La dernière en date était : 

« Vous avez un avocat : faites lui confiance » 

Un conseil, ne faites pas ça ! Faire confiance à son avocat est un conseil débile et malhonnête : par contre, vous devez mâcher le travail de votre avocat en lui faisant parvenir des documents concis et clair et insister pour qu’il obtienne des documents du tribunal ou autres pouvant vous servir. 

Si la partie adversaire demande la garde principal alors que vous êtes en alternée, vous devez demander la garde principale, même si votre avocat vous le déconseille n’est pas Kang74... Pour cela vous devez démonter toutes les pièces que la partie adverse à placée au dossier pour rendre caduc sa demande/ attaque/ défense et ainsi vous réhabiliter au yeux du juge. Ensuite, vous devez fournir des pieces solides montrant que votre domicile est plus enclin à proposer un cadre de vie sécurisant et apaiser pour l’enfant, a titre subsidiaire vous pouvez demander le maintient de la garde alternée si meilleur entente entre les parents. 

Ne pensez pas que le juge va faire preuve de discernement. Ce n’ait pas le cas. il va juger et de manière totalement partial. 

Pour information, nous avons eu une première audience début juillet 2024 ou madame demandait la garde principale suite à la plainte du père pour violence ordinaire sur leur enfant. Elle dépose plainte juste après disant ce sentir harcelé par le père de leur enfant. Le père, lui demandait une médiation et ce depuis juin 2023, les deux demande on donc fusionnées. 

Lors de l’audience le juge à clairement dit au papa que la médiation n’était pas obligatoire donc il fallait qu’il arrête de la proposer à la mère pour régler les conflits. Il a demandé par contre une expertise en dynamique familiale qui a été accepté par les deux parties. Le juge a ensuite rendu un jugement provisoire fin juillet où il  démonte le papa avec des éléments fallacieux. Le compte rendu du jugement est scandaleux ! Le juge ne prends en comptes que les éléments de la mère et charge le père de tout les problèmes. Il ne retiens que ce qui l’arrange et invente même des éléments pour baser sa décision avec une arrogance et une ignorance crasse. Il décide donc de placer l’enfant chez la mère en attendant la prochaine audience qui aura lieu fin janvier si le rapport d’expertise a bien été rendu par les psychologues. Il argue dans son jugement que les agissements du père (quand il a porté plainte et demandé conseil au 119) ont placé la mère dans un état de vigilance accrue, mais également l’enfant dans une anxiété relevée par les professionnels. Ce dernier élément n’est présent que dans l’attestation du conjoint de la mère qui dénigre le père de l’enfant sans mâcher ses mots. Cela ne repose sur aucune pièce officielle! 

Mais ce n’est pas le pire : 

L’audience prévu fin janvier a été avancé début janvier donc impossible pour les psychologues de rendre leur rapport à temps : oui c’était trop difficile pour le jaf de proposer dès le début une date correcte comme début février par exemple… donc report d’audience évidement et rapide puisqu’on ne doit attendre que deux mois! Alors oui c’est sûrement rapide pour la justice mais ce n’est pas rapide pour la famille, loins de là. 

Le rapport arrive et montre bien que la maman ne fait pas la différence entre ses besoins et ceux de son enfant. Qu’elle méprise le père et qu’elle pense qu’il est toxique pour elle et leur enfant et lui transmet ces angoisses, elle et non le père. Le papa a effectivement besoin de réassurance au vu des agissements de la maman qui cherche simplement à l’évincer de la vie de leur enfant. 

Le rapport montre bien que l’enfant ce sent plus en sécurité chez son papa, que la maman ne sait pas communiquer ni se remettre en question et prend tout comme une agression y compris la demande de poursuite de la thérapie ou d’une aide éducative. La seule chose qui empêche une garde alternée c’est l’incommunicabilité des parents et en l’occurrence l’incapacité de la mère à remettre leur enfant au centre de ses préoccupations. Les expertes préconises une thérapie familiale qui a été refuser par la mère et donc ne vois que le recours à une aide éducative. Aide que la crip avait déjà proposée en août 2024 qui avait été accepté par le père mais refusé par la mère allant jusqu’à l’interdire chez le père. 

L’audience a donc lieu fin mars et le juge rend son jugement 2 semaines plus tard. Cela fait donc 7mois que le papa ne voit leur enfant qu’un week-end sur deux et la moitié des vacances.

Le jugement définitif …

Alors là accrochez-vous bien : 

Le papa demande cette fois-ci une garde principale élargie car c’est visiblement ce que le juge lui avait entre autre reproché lors de l’audience de juillet. La mère reste sur sa demande de garde principale standard. Le père a fait appel à un autre avocat évidement qui a donc dû montrer au juge qu’il avait fait fausse route voire n’importe quoi … 

Monsieur le juge décide donc de remettre la garde alternée et impose une médiation et laisse le juge des enfants prendre le relais car le père a demandé une aide éducative suite au rapport d’expertise. Aaaah mais c’est fou ça ! C’est exactement ce que demande le papa depuis juin 2023 car la mère tient des propos qui stresse leur enfant et dénigre son père devant elle! Mais non monsieur le juge lors de l’audience de juillet a dit que c’était le papa qui faisait tout cela …

Mais le plus grave dans cette histoire c’est que le jaf réinstaure la garde alternée sur la base cette fois-ci que c’est madame qui a portée plainte contre le père pour violence faite sur l’enfant et comme la plainte a été classé sans suite, il n’y a pas de raison de ne pas laisser l’enfant aller aussi chez son père ! Non mais on marche sur la tête ! Et ce document va être transmis en l’état au service de la médiation et évidement au juge des enfants! 

C’est du grand n’importe quoi!