Négocier licenciement agent cdd fonction publique

Bonjour,

suite à un problème de santé en mai qui a causé 1 hospitalisation + 3 semaines d’arrêt, j’ai repris mes fonctions épuisé. Mon poste est sensible et l’environnement de travail conflictuel (petits arrangements que les agents souhaitent faire perdurer quitte à mettre la pression et intimider). Le rapport de force est à 1 contre 50 agents (services techniques). Je ne suis pas soutenu par ma hiérarchie malgré mes tentatives de redressement des choses. Il ne faut pas de vagues à l’approche des élections municipales. Je ne m’entends plus avec ma hiérarchie et un énième conflit a eu raison de ma santé morale. Mon médecin traitant qui me connait bien avait cédé à mes demandes de ne pas m’arrêter l’année dernière, mais cette année il ne m’a ps laissé le choix et m’a arrêté 1 mois et souhaite me voir sortir de cet environnement nocif. En parallèle étant contractuel je n’ai que très peu de droits à plein traitement et demi-traitement. Evidemment je recherche un emploi mais la saison n’est pas propice et je vais vite me retrouver en difficulté.

en parallèle, j’ai appris que mon adjoint n’avait pas pris mes fonctions par intérim durant mon absence alors qu’il maitrise tous les dossiers. Un fonctionnaire sans qualification et sans aucune expérience dans mon domaine vient d’être placé sur mon poste et gère déjà mon équipe. Evidemment pas d’annonce officielle. 

Pensez-vous que je puisse négocier un licenciement ( mon contrat s’arrête dans 8 mois)? 
Que feriez-vous, sachant que vous avez :

-un profil de bosseur ;

-une volonté de vous impliquer et de redresser des situations anormales ( mauvaise utilisation deniers publics, copinages avec fournisseurs…)

-vous avez monté une équipe de 10 personnes, en les recrutant 1 par 1 pour que ca puisse tourner…
-la hiérarchie m’a laissé faire sans intervenir mals sans me soutenir non plus lorsque j’affrontais les situations anormales.

Merci pour vos conseils.

je me trouve dans une impasse. C’est la 1ere fois que cela m’arrive et je le vis mal