Logé chez mon épouse, elle veut que je quitte le domicile

Bonjour

Aller voir un avocat et commencer la procédure de divorce me semble la première chose à faire .

Pour le moment ce domicile est le domicile conjugal, m'enfin dans le contexte il n'y a aucune raison pour que le juge vous en donne la jouissance .

Si vous gagnez raisonnablement bien votre vie, cela est quand même plus simple pour trouver une location : pas besoin de l'aide de quiconque pour cela .

J'attire votre attention que dans le contexte d'enfant commun, d'eventuels revenus supérieurs aux siens , vous ne gagnerez rien au fait qu'elle soit obligée d'en passer par un divorce contentieux ... donc mieux vaut essayer de calmer les choses , d'accéder à ses demandes pour partir sur un divorce amiable .

C'est pour celà qu'il faut rapidement faire le point avec un avocat ... avant que les choses s'enveniment et qu'on dépasse le point de non retour .

Bonjour et merci pour votre réponse. Non nous n'avons pas et fort heureusement d'enfants. Meme si je gagne raisonnablement ma vie, ça ne fait que 4,5 mois... J'ai eu une longue période de chômage, puis des missions d'intérim et enfin mi septembre j'ai réussi à décrocher un CDI. Ma situation financière reste modeste car je reviens de loin. Nous avons une résidence secondaire, achetée ensemble, avec un gros crédit immobilier et un crédit pour rénovation qui me pompent beaucoup par mois. Je ne peut dans ces conditions épargner et encore moins payer les crédits plus un loyer, plus caution et rachat de meubles etc. il est clair qu'un coneil serait le bienvenu et tôt ou tard obligatoire, mais pour le moment c'est hors de portée de ma bourse. Je voudrai juste savoir si elle à le droit de me mettre à la porte du domicile conjugal, du jour au lendemain.

Merci Kang pour votre réponse, je pensai avoir compris aussi qu'elle ne pouvait pas si facilement se débarrasser de nous (moi et mon félin) (un chat pas un tigre) -)

Je lui ai expliqué que crédit + loyer + frais et charges de la résidence secondaire, je ne pouvais assurer tout ça, et lui ai proposé de me racheter ma part (45.83 %) de la résidence secondaire (après estimation du bien) pour me donner la possibilité de partir. Mais vendre le bien, puis divorce, puis je pars au plus vite. Hélas je constate qu'il lui est impossible de parler calmement, de poser le/les problèmes d'une manière rationnelle et ainsi trouver un accord, une solution. Je pense que nous allons aller au clash sévère, alors qu'en dialoguant... 

Pour l'aide juridictionnelle je gagne hélas trop (je ne vais pas me plaindre non plus). Je travaille dans une grosse société qui a une espèce de service social, c'est à creuser mais je n'ai visiblement pas assez d'ancienneté pour en profiter (6 mois);

Je crains de devoir patienter, mais dès le début du mois prochain, je consulte un avocat pour préparer le terrain...

A 58 ans repartir à zéro...

Bref...

Merci pour "action logement" je ne savais pas... Nous sommes mariés avec un contrat (à ma demande)

Le but de vendre le bien, à un tiers (100%) ou à elle (45.83) c'est de récupérer ma mise pour rembourser les crédits et ainsi me dégager de la marge financière. Il y a aussi les biens mobiliers achetés ensemble... (Meubles, électro-menager, déco)...

Le bien à pris de la valeur, et c'est non négligeable car prix de l'immobilier dans cette ville/quartier + travaux effectués...

Je lui propose 3 expertises de la valeur du bien + un "forfait" pour le reste. Il y aura sans doute une soulte.

Aucune réponse.

Sans ce boulet financier, j'initierais moi même la procédure.

Cela dit, pensez-vous que je puisse demander en justice une compensation pour la perte de mon logement, de mon cadre de vie et le reste ? C'est quand même un préjudice considérable pour moi, tant au niveau moral que financier...

Je ne pourrais même pas déménager moi-même le peut que je possède, une belle hernie discale ne me le pardonnerais pas. Donc déménageurs, certificats médical à l’appui si nécessaire...

Merci pour votre aide.

Oui pour la vente du bien commun avec expertises comme précisé ci-dessus. je reste surpris qu'on me mette à la rue du jour au lendemain sans aucuns droits ni compensation pour le préjudice subit... Bon....

Merci encore !

OK l'essentiel c'est que pour le moment faute d'action de sa part, je n'ai aucune obligation à quitter le domicile conjugal. Quand bien même elle le souhaiterais;

Merci de votre aide