A voir également:
- Modification horaires de travail
- Horaires de tonte dans les communes - Guide
- Micro au travail legal - Guide
- Horaires travaux - Guide
- Modification horaire de travail à l'initiative du salarié - - Réglementation et droit du travail
- Permission d'absence au travail - Guide
1 réponse
bonjour Alf,
l'employeur, dans la mesure où les horaires ne sont pas contractualisés, peut les modifier sous réserve de respecter un délai de prévenance raisonnable.
pour un changement de faible ampleur (décalage d'une demi-heure d'une demi-journée), il peut effectivement vous l'imposer.
Seuls l'abus de droit ou la discrimination sont condamnables. Ici, votre employeur utilise le changement d'horaire, d'après ce que vous indiquez, comme une sorte de sanction pour avoir exercé votre droit de retrait (qui, soit dit-en passant, n'avait en aucun cas à s'appliquer dans la situation que vous décrivez). Cela pourrait être considéré comme un abus de droit, mais il vous faut savoir que, si d'aventure vous saisissez le tribunal des prud'hommes, c'est sur vous que reposera la charge de la preuve...et comme tout a été verbal...essayez toujours de consulter un avocat, mais ne vous faites pas trop d'illusions...
je vous suggère de prendre la chose avec philosophie en vous disant que vous vous en tirez à bon compte, car le droit de retrait pour garder votre fille, ça, oui, c'est un motif de licenciement.
l'employeur, dans la mesure où les horaires ne sont pas contractualisés, peut les modifier sous réserve de respecter un délai de prévenance raisonnable.
pour un changement de faible ampleur (décalage d'une demi-heure d'une demi-journée), il peut effectivement vous l'imposer.
Seuls l'abus de droit ou la discrimination sont condamnables. Ici, votre employeur utilise le changement d'horaire, d'après ce que vous indiquez, comme une sorte de sanction pour avoir exercé votre droit de retrait (qui, soit dit-en passant, n'avait en aucun cas à s'appliquer dans la situation que vous décrivez). Cela pourrait être considéré comme un abus de droit, mais il vous faut savoir que, si d'aventure vous saisissez le tribunal des prud'hommes, c'est sur vous que reposera la charge de la preuve...et comme tout a été verbal...essayez toujours de consulter un avocat, mais ne vous faites pas trop d'illusions...
je vous suggère de prendre la chose avec philosophie en vous disant que vous vous en tirez à bon compte, car le droit de retrait pour garder votre fille, ça, oui, c'est un motif de licenciement.