Information préocupante

jamy - 24 mars 2019 à 23:41
 Amt - 20 avril 2019 à 01:14
Bonjour,
je suis en conflits avec l’éducation nationale qui ne respecte pas la loi sur les droits des enfants aux troubles DYS dyslexiques reconnu , exemple, pas de projet de personnalisation scolarisation (le passeport de l’élève avec toutes les préconisations et les aménagements pédagogiques) du fait que rien n’étais mit en place en sachant qu'il était dans le dispositif ULIS( Unité Local Inclusion Scolaire) les rapports se sont dégradés et la communication était rompu . Mon fils n'avait plus d’intérêt pour l’école et a fuit le collège a 3 reprises j'ai alerté l'inspection académique en relatant les faits et après avoir porté plainte auprès du commissariat de ma ville en précisant que je ne mettrai pas mon fils dans le collège si je n'ai pas la garanti que mon fils soit en sécurité physique moral et affectif au sein de son établissement, la principale de l’établissement a fait un signalement sur une situation préoccupante et les travailleurs sociaux nous ont convoqué.
Avec mon mari nous étions consterné de savoir que la situation dénoncé par notre fait s'est retourner contre nous.
Nous avons eu l'entretien avec une éducatrice spécialise et une assistante sociale,l’éducatrice a juger a mit responsable mon fils des Evénements survenu alors qu'il est victime d'une discrimination d'une stigmatisation de d’humiliation par le corps enseignant car ils ne savent pas faire,preuve a l’appuie.
Une visite a domicile doit être effectué a laquelle nous somme vraiment retissant car c'est très intrusif.
quelqu'un a subi une expérience similaire et que peuvent'il faire les se vices sociaux??

1 réponse

Bonjour,
Nous sortons tout juste de cette douloureuse expérience;
Nous cherchions de l'aide pour notre enfant autiste et le SESSAD (un sous sessad avec très peu de thérapeutes, même pas de médecin ni d'enseignants spécialisés) se sentant dépassé par "les besoins de la famille" a écrit une IP (pour isolement de la famille ! quand t'as un enfant autiste, vas avoir une vie sociale normale !) le tout en nous disant, qu'ainsi, nous bénéficierions d'aide...

La protection de l'enfance n'est pas là pour nous aider, mais pour tenter de briser notre famille.

Ils nous ont rencontré à 6 reprises. Alors premier conseil : en dire le moins possible. Etre toujours cordial, avoir eu une enfance sans problème, ne pas se répandre.
Tout ce que vous direz sera retenu contre vous.
Tout sera réécrit de sorte que vous serez (surtout la maman) soit une hystérique (parce que vous vous battez pour la vérité) soit une personne sans affect (parce que justement, vous faites preuve de distance), soit les deux, cela ne les choque pas.

Longtemps, j'ai espéré que le signalement judiciaire ne donne pas lieu à une audience, mais c'est AUTOMATIQUE, pire que les antibiotiques.
Ainsi, dès lors que la protection de l'enfance fait le signalement judiciaire, il y aura audience...

Alors dans votre cas, il faut à tout prix l'éviter.
Demander l'aide d'une tierce personne, une personne de confiance, qui servira de témoin. On a le droit d'en faire la demande, ils doivent d'ailleurs vous le proposer.

SI une visite est prévue, votre maison doit être conforme à une maison témoin, bien entretenue, bien rangée, même votre jardin sera jugé si vous en avez un...
Vous trouverez des infos sur la visite et comment la réussir sur le site CEDIF. De nombreux parents d'enfants différents ont traversé la même épreuve.
Pour ce qui est des sévices sociaux, soyez toujours d'accord avec ce qu'ils disent, allez dans leur sens. Plus ils vous sentiront remontés, plus ils cocheront des cases de danger...

Si jamais, vous arrivez à l'étape du signalement, cherchez un.e avocat.e spécialisée en droit de la santé/famille.
N'attendez pas.

En ce qui nous concerne, la chronologie a été la suivante : 6 rdv avec la CRIP (cellule de Recueil d'Information Préoccupante) de Mai à fin Août (ah d'ailleurs, lors de l'entretien de restitution, demandez un exemplaire écrit).
Lors de cet entretien, ils nous proposent une mesure. Nous la refusons en septembre.
Un mois plus tard, suite à notre refus, automatiquement signalement judiciaire.
Puis début février, convocation à l'audience. Voici le timing.

Courage;)
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