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19 réponses
28 déc. 2024 à 00:08
Bonjour,
Il est normal que dans le cadre d'une enquête pour information préoccupante la sécurité de tous les mineurs vivant au foyer des personnes visées par l'enquête soit vérifiée. Dans votre cas l'enquête vise les deux parents de votre fille. Que l'on s'intéresse aussi aux enfants vivant à votre foyer est légal et c'est de la simple routine. De même on va s'intéresser aux proches de l'enfant potentiellement en danger.
Le meilleur moyen de protéger les enfants est de coopérer et de prendre patience.
Une enquête est toujours une chose désagréable mais ici il est question de la sécurité de vos enfants. Il ne faut pas donner l'impression qu'il y a des problèmes que vous cherchez à dissimuler ou dont vous n'avez pas conscience.
Il est normal que le courrier de convocation de votre épouse soit vague pour ne pas lui laisser le loisir de préparer ses réponses ou d'influencer les enfants. L'enquête concerne bien toutes les personnes vivant à votre foyer et les trois enfants même si l'affaire a commencé avec votre fille. C'est logique, un problème avec un enfant a forcément des répercussions sur les autres membres du foyer, adultes et enfants.
Modifié le 28 déc. 2024 à 08:30
Bonjour
Une enquête sociale implique effectivement tous les proches de l'enfant sans distinction .
Votre fille semble être en danger ( au sens large du terme), le services sociaux doivent donc faire le point à ce sujet avec les éléments dont ils disposent sur la situation de chacun afin de vérifier les conditions de vie d'un ou des enfants .
Le mieux est donc d'être dans la collaboration au lieu d'être sur la défensive, position qui amène toujours des questions et des doutes , car qu'importe ce qui fait commencer une enquête sociale, les services sociaux s'occupent de veiller à la protection de l'enfance .
Merci pour vos réponses. Je précise qu’il s’agit de ma fille aînée je suis séparé de sa mère depuis 12 ans.
j’ai demandé un suivi via psychiatre et elle ne viens plus chez moi depuis trois mois.
elle m’accuse d’un fait de violence inexistant déjà résolu l’année dernière via une médiation.
Que mon beau fils de 15 ans soit entendu je peux le comprendre mais emmener ma fille de 3 ans à la PMI j’ai l’impression d’être coupable.
nous allons coopérer mais nous ne voulons pas que cela touchent nos deux autres enfants tout simplement et les inclures nous semblent incohérent vu les antécédents avec ma fille
28 déc. 2024 à 09:34
Il ne s'agit pas de savoir ce que vous voulez ou de vos impressions : ce n'est pas vous qui allez décider de quoi que ce soit ( et c'est vraiment pas terrible de le penser avec les services sociaux)
Il s'agit de savoir si ces enfants ont un rapport avec la situation de danger dans le contexte .
Ce serait à mon avis assez dommage pour eux que ,de par vos réactions, les services sociaux doivent mettre en place des mesures pour avoir des réponses à leurs questions, ou, pire, que par mesure de précaution, sans que vous leur donniez la possibilité de chercher des réponses, ils en prennent d'autres .
Comme déjà dit, soyez dans la coopération.
Je ne vois pas bien comment un fait de violence peut se résoudre par le biais d'une médiation : ne pas confondre l'aspect pénal, et l'aspect civil : vos devoirs en tant que parent .
Bonjour,
il s’agit un fait de violence qui n’existe pas des accusations portés déjà à mon encontre et régler en médiation avec la mère de ma fille aînée.
je n’ai pas dit que je ne serai pas dans la coopération. Juste dans un cadre légale étendre l’enquête à deux autres enfants d’une autre mère ( nous sommes ensemble depuis 10 ans ) et un beau fils ou je ne suis pas le père me semble disproportionné.
j’ai la preuve que ma fille ment, j’ai joué la carte de la co parentalite avec sa mère et elle ne le fait pas.
j’ai pris des rdv psychologue et psychiatre pour ma fille aînée.
je voulais juste savoir si c’était normale de voir les deux autres enfant issus d’une autre union. Pour le reste je suis tranquille la violence n’existe pas et les deux autres enfants n’ont pas information préoccupante
28 déc. 2024 à 10:06
Et vous avez la réponse : Oui c'est normal qu'on s’intéresse à tous les enfants du foyer qu'importe d’où peut provenir un éventuel danger .
Vous vous rendez bien compte que des difficultés avec un enfant peuvent avoir des conséquences sur la vie des autres , avec des devoirs envers tous, qui peuvent être difficile à concilier .
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre questionD’accord je vais emmener ma fille en PMI et laisser mon beau fils aller à l’entretien même si nous devons prévenir son père.
comme il y a rien cela confirmera nos dires. C’est juste pas anodin de mettre nos enfants face à cela ils n’ont rien demandés.
Cette enquête déstabilise notre famille, déjà la situation de la fille aînée nous inquiète et nous a fait du mal par le passé.
nous espérons que nous allons trouver une solution pour elle.
merci pour votre réponse
Modifié le 28 déc. 2024 à 11:56
C'est justement parce que les enfants n'ont rien demandé que les services sociaux doivent se poser des questions sur l'impact sur eux de cette situation, comme on peut se poser la question de l'impact de l'handicap d'un enfant dans un foyer composé de plusieurs enfants dans d'autres contextes .
Après les services sociaux peuvent analyser vos réactions aussi, qui peuvent leur amener à se poser d'autres questions : il faut en avoir conscience .
Il y a toujours la traditionnelle vérification du suivi médical des enfants, de la scolarité, de la gestion du budget familial et de l'organisation de votre vie par rapport à vos contraintes pro.
Comme il faut avoir conscience que les services sociaux préfèrent des parents qui se posent des questions, qui doutent ( ce qui est juste la norme dans une telle situation) qui savent qu'ils peuvent faire des erreurs d'appréciations,plutôt que des parents qui ont réponse à tout, qui sont sur la défensive et qui pensent que leur vision des choses est parole d'évangile .
Donc faites leur part de vos doutes à arriver à concilier l'accueil de votre enfant sans compromettre l'équilibre de votre foyer, les besoins des autres enfants,tout en étant conscient que votre fille ait besoin de vous , par exemple .
Comprenez aussi que les autres enfants puissent être déstabilisés par l'absence de votre fille au foyer, qu'ils peuvent s'imaginer qu'en cas de problème, vous les " lachiez".
Comme ils pourraient l'être si d'aventure la solution pour votre fille en passait par un accueil chez vous .
Tout ceux ci, ce sont des exemples qui peuvent affecter des enfants .
J'espère que ces quelques exemples/conseils vous amèneront à vous positionner au mieux : le but n'est pas d'avoir raison,ni de vous défendre d'accusation.
Le but c'est de leur permettre de faire le point sur une situation complexe qui a nécessairement des tenants et des aboutissants qui ont un impact sur tous les enfants .
Bonjour
merci pour votre message. Je suis conscient de la situation et je souhaite que cela s’améliore.
Malgré le fait que ma fille ne vienne plus chez moi depuis trois mois j’ai quand même pris les devants, demandant de l’aide d’adressage au médecin scolaire puisque l’information préoccupante,émane du college.
J’ai également demandé l’aide adressage à mon médecin traitant, plus des attestations de bien-être de mes enfants à la crèche à mon médecin pour nous prémunir
Il faut savoir que la décision de ne plus prendre ma fille n’a pas été simple, mais nous avons pris cette décision pour éviter de nouvelles accusations et pour protéger notre famille.
n’a pas été simple, mais nous avons pris cette décision pour éviter de nouvelles accusations et pour protéger notre famille.
Elle est actuellement chez sa mère et c’est son souhait.
Nous avons une multitude de preuve depuis des années concernant ses agissements ou mensonges ou crise.
depuis des années concernant ses agissements ou mensonges ou crise.
malgré le faite qu’elle ne vienne plus chez nous j’ai pris rendez-vous chez un psychiatre, afin qu’elle puisse consulter et que nous comprenions son mal être.
lors du premier rendez-vous et service sociaux m’ont indiqué que j’avais bien fait.
ils nous ont parlé de trois mois d’enquête. Nous avons tellement lu de choses bizarre sur le Net concernant du zèle des Service Sociaux, que nous avons pris peur.
Nous avons tellement lu de choses bizarre sur le Net concernant du zèle des Service Sociaux, que nous avons pris peur.
Nous n’avons rien à nous reprocher donc nous laisserons l’enquête se faire si nous somme plus en phase nous verrons pour saisir le juge de notre côté.
merci en tous cas pour vos éclaircissements
Modifié le 28 déc. 2024 à 13:00
Attention, au risque de me répéter, confondre procédure judiciaire en pensant être mis en accusation ( preuve, attestation) et enquête sociale, c'est déjà pour eux très curieux : une personne qui est sur la défensive, qui marche à coup d'attestation plus que de communication, c'est une personne qui se sent coupable.
Et cela va leur amener des questions plus qu' à avoir des réponses ...
Saisir le juge, lequel, pour quoi ??
Attention à bien comprendre que si la situation n'est pas forcément problématique, votre comportement puisse le laisser paraitre.
Y a pas à être en phase, y a à collaborer, les services sociaux feront leur enquête avec ou sans vous .
Comme ils prendront des décisions avec ou sans vous .
Pour tout le monde, il vaut mieux avec ...
28 déc. 2024 à 13:09
Tout ce que vous avez fait pour aider votre fille et préserver les autres enfants est très bien et sera bien considéré par les services sociaux.
Sur Internet il y a une surrepresentation de personnes mécontentes.
Il y a une telle pénurie de moyens que certains enfants sont placés... chez leurs parents, ce qui est un non sens total.
Les parents qui ont des ennuis avec les services sociaux sont en général ceux qui nient les problèmes et ne se remettent pas en question. Il est hélas fréquent de voir des parents nier les coups alors que leurs enfants en portent des traces, ou affirmer que leur logement est propre alors que c'est couvert de crasse.
Les enfants seront interrogés par des professionnels qui ne les traumatiseront pas, car formés à prendre en charge des enfants victimes des pires horreurs. L'enquête est souvent plus éprouvante pour les adultes que pour les enfants.
28 déc. 2024 à 13:39
Oui j’ai pris des dispositions pour ma fille psychologue / psychiatre
cette histoire m’affecte et j’ai moi même commencé une thérapie pour passer ce passage. Moi fille ne veut plus me voir sans raison apparente il faut comprendre.
Nous avons déjà résolu une situation similaire l’année dernière mais ma fille à commencer à raconter des mensonges au collège.
Je suis désemparé de me retrouver dans une enquête sociale même si j’ai tout fait jusqu’à présent pour améliorer le quotidien de tous.
oui sur internet nous voyons des placements d’enfants mais j’ose imaginer que les raisons sont graves.
les services sociaux m’ont parlé de mesures éducatives pour ma fille aînée (éducateur / psychologue ?).
mais ils étendent l’enquête auprès de ma femme et mes deux autres enfants issus d’une autre union c’est pourquoi nous étions inquiets de la suite de cette procédure.
Nous avons fait ses attestations pour éviter une quelconque dérive Envers nos deux autres enfants, Désolé d’être prévoyant mais pour le moment, L’enquête est ciblée dans mon foyer et non pas dans le foyer de la mère Et pourtant Il y aurait pas mal de choses à dire sur l’entourage,
Et cela ne concerne pas les Service Sociaux jusqu’à la fin, nous comptons l’ancienne procédure pour aliénation parentale, Nous voulons que ce genre d’agissements cesse, cela fait trop d’années que nous subissons cela.
Nous voulons que ce genre d’agissements cesse, cela fait trop d’années que nous subissons cela.
Donc nous sommes en capacité de saisir le juge pour enfants au vu de notre dossier, je souhaite tout simplement le bien-être de ma fille aîné et que cela n’a pas notre famille.
Que les Service Sociaux fassent leur enquête, nous avons aucun problème pour ça. Cependant je me laisserai plus faire comme par le passé par mon ex femme qui a déjà eu des agissements de vengeance suite à notre séparation
Lors des réunions avec l'ase vous a t il été possible de prendre des notes, coucher sur le papier le contenu de l'entretien peut peut être vous aider à mieux gérer votre angoisse. Ce qui est échangé devrait être écrit et disponible aux deux parties pour instaurer un climat de confiance indispensable pour éclaircir une situation compliquée et éviter de sombrer.
C’est le service SSD et non ASE. J’ai pris de notes
28 déc. 2024 à 14:09
C'est le service social départemental qui est délégué dans cette mission qui découle des prérogatives de l'ASE .
Ce qui est échangé n'est pas écrit, il n'y a pas de partie, il y a un bilan de ce que ce service a constaté, et qui amènera donc des mesures de protection ( puisqu'on parle d'éducateur pour votre fille, c'est qu'on sait déjà qu'il y a un besoin) et fera l'objet d'un CR à l'oral dédié aux parents individuellement .
Après un éducateur c'est bien, m'enfin cela ne résout pas le problème de votre enfant , notamment des difficultés qui existent avec vous ( que vous ne pouvez pas nier) .
La question de savoir ou cette enfant doit vivre se pose .
Je ne comprends toujours pas pourquoi vous voulez saisir le juge pour enfant, vous .
Les services sociaux peuvent le saisir si d'aventure les parents ne collaborent pas.
Avez vous compris le rôle d'un juge pour enfant qui fonctionne en collaboration avec l'ASE ?
Quelles décisions voudriez vous qu'ils prennent par rapport à votre fille ? La placer ?
Attention on ne peut pas dire d'un coté que sa mère la manipule, et d'un autre coté refuser d'accueillir un enfant pour la protéger de sa mère .
Même si, je n'en doute pas un instant, cet accueil risque d'avoir aussi de sévères répercussions sur le reste de la famille .
Personnellement, je pense que c'est d'ailleurs l'objet de cette enquête : savoir sur qui peut compter l'enfant pour l'aider à surmonter ces difficultés .
Il y a peut être plus d'attention sur votre famille en ce sens ...
28 déc. 2024 à 14:30
Mes autres enfants ne risque rien ? Vu qu’il n’a rien ?
28 déc. 2024 à 14:33
Je veux saisir le juge pour mettre un point final à cette situation qui impact notre famille.
nous avons tellement de preuves et de faits où la fille a eu des comportements inappropriés que nous souhaitons que cela s’arrete.
Ma femme mère des deux autres enfants en a marre de vivre avec autant d’histoire entre mon ex femme et ma fille maintenant qui nous cause des problèmes.
Modifié le 28 déc. 2024 à 14:57
"Je veux saisir le juge pour mettre un point final à cette situation qui impact notre famille"
C'est à dire , concretement ?
Vous voulez saisir le juge qui s'occupe de la protection des mineurs pour lui dire que vous ne voulez plus vous occuper de votre enfant car elle vous cause trop de problème ?En prouvant que votre fille ( qui n'est qu'une enfant donc)est quoi ? souffrante ? victime de sa mère ?
Vous ne voyez pas la bizarrerie dans tout cela ? Et les questions qu'on pourrait se poser par rapport aux enfants qui restent à votre charge ( = dés qu'ils posent problème, on s'en débarrasse) ?
Si vous ne voulez pas vous occuper de votre enfant, pas besoin de juge, vous le dites aux services sociaux,personne ne viendra vous chercher, et si besoin votre fille sera placée .
Mais en attendant, il y aura une enquête sociale , parce que, que votre fille vienne chez vous , ou pas, c'est quand même une situation qui pose question au sujet des autres enfants dans un sens comme dans un autre .
28 déc. 2024 à 18:40
Si vous estimez que l’enquête des services sociaux devient trop intrusive et dépasse les limites raisonnables, vous pouvez effectivement saisir un juge des enfants pour exprimer vos préoccupations et demander un examen de la situation. Voici les étapes à suivre et les actions possibles si vous vous sentez dans cette situation :
1. Saisir le Juge des Enfants
• Si l’enquête est trop intrusive, vous pouvez demander à ce qu’un juge des enfants intervienne. Ce juge est compétent pour toutes les questions liées à la protection de l’enfance, et il pourra évaluer si les actions des services sociaux sont justifiées.
2. Demander une suspension des mesures ou une réévaluation
• Si vous estimez que l’enquête des services sociaux n’est pas fondée ou qu’elle touche de manière excessive vos enfants qui ne sont pas concernés par l’information préoccupante, vous pouvez demander au juge de suspendre ou de réévaluer les mesures prises par les services sociaux.
• Vous pouvez également lui demander de limiter l’enquête à la situation de votre fille aînée, sans impliquer vos autres enfants de manière injustifiée.
3. Constitution du dossier pour la saisine
• Avant de saisir le juge des enfants, il est recommandé de préparer un dossier solide. Cela peut inclure :
• Les témoignages d’avocats, de professionnels de santé (comme les attestations médicales) et de toute personne ayant un regard objectif sur votre situation familiale.
• Les pièces justifiant que l’enquête est disproportionnée ou que vos deux autres enfants n’ont aucune raison d’être inclus dans cette procédure.
• Les relevés des rendez-vous et courriers reçus, pour montrer qu’il y a confusion ou surinclusion des membres de votre famille dans cette enquête.
4. Contacter le procureur de la République (en cas d’urgence)
• Si vous considérez que la situation devient insupportable et affecte votre bien-être et celui de vos enfants de manière démesurée, vous pouvez également contacter le procureur de la République. En cas de besoin urgent, il peut intervenir pour s’assurer que les droits des enfants et des parents soient respectés, et que les mesures prises par les services sociaux soient proportionnées.
5. Action préventive avec un avocat
• Vous pouvez également consulter votre avocat pour vous aider à formuler la saisine et rédiger une lettre motivée à adresser au juge des enfants. Votre avocat pourra également vous guider sur la procédure à suivre et vous aider à défendre vos intérêts tout au long de la démarche.
Conclusion
Si vous trouvez que l’enquête devient trop intrusive et que les services sociaux vont trop loin, vous pouvez saisir le juge des enfants pour demander qu’il évalue la situation. Le juge pourra décider si les actions des services sociaux sont appropriées et proportionnées à la situation, et éventuellement intervenir pour limiter ou suspendre certaines mesures.
Bonjour
rdv la semaine prochaine à mon domicile et rdv planifié pour ma femme et mon beau fils
aucune date pour le rdv de la PMI encore
par contre l’enquête reste concentrée dans mon domicile hors il serait judicieux de faire de même chez mon ex femme comment faire pour que l’enquête soit impartiale ?
4 janv. 2025 à 12:20
Ce n'est pas vous qui décidez de la modalité de l'enquête , il n'y a pas d'équité, il s'agit juste d'évaluer un danger ( ou pas) ou de lever des doutes sur une situation.
Pour X raisons, il n'y a pas forcément besoin dans l'immédiat d'évaluer le foyer de la mère : c'est le cas par exemple si la mère a accepté déjà une aide ( qui permettra un suivi de l'enfant dans son foyer avec des elements bien plus pertinents qu'une enquête sociale) : vous parliez d'une mesure d'assistance éducative ...
Celà peut être aussi parce qu'ils n'envisagent pas que la mère continue d'avoir la résidence de l'enfant .
Ou simplement parce qu'ils puissent imaginer que votre fille puisse être source de " danger" pour vos autres enfants .
Enfin, à aucun moment les parents peuvent se servir des conclusions des services sociaux : le rapport concernera ce qu'ils ont constaté chez vous, les mesures envisagées avec vous et /ou pour l'enfant .
Vous n'aurez pas accès à ce qu'ils ont constaté chez la mère et la mère ne pourra pas avoir accès à ce qu'ils ont constaté chez vous .
Bonjour
Pour le moment nous ne connaissons pas le dénouement de l’enquête il reste encore beaucoup de rdv.
visite à domicile/rdv avec les membres de ma famille et ma fille en PMI. Rdv individuel pour moi et mon ex femme ainsi que les rendez vous réunion intermédiaire et finale.
A l’ouverture de l’enquête, comme il s’agit du service SSD. Les personnes nous ont parlé d’une mesure éducative ou autre suivant l’enquête.
Nous voulons protéger nos enfants d’une autre union en attendant de trouver une solution pour ma fille aînée
Bonjour
Pour le moment nous ne connaissons pas le dénouement de l’enquête il reste encore beaucoup de rdv.
visite à domicile/rdv avec les membres de ma famille et ma fille en PMI. Rdv individuel pour moi et mon ex femme ainsi que les rendez vous réunion intermédiaire et finale.
A l’ouverture de l’enquête, comme il s’agit du service SSD. Les personnes nous ont parlé d’une mesure éducative ou autre suivant l’enquête.
Nous voulons protéger nos enfants d’une autre union en attendant de trouver une solution pour ma fille aînée
4 janv. 2025 à 14:15
Le rapport prendra quelques mois après la dernière visite .
Il va falloir être patient , même si des propositions peuvent avoir lieu suivant vos positions .
Le Rapport est obligatoire ? si j’ai bien compris, chacun aura son rapport bien différent suivant les lieux d’habitation.
si j’ai bien compris, chacun aura son rapport bien différent suivant les lieux d’habitation.
Concernant le préjudice subi et l’impact sur ma famille, pensez-vous que j’ai un recours ?
sachant que malgré le faite que ma fille ne vienne plus chez moi, j’ai moi-même demandé l’aide d’adressage au médecin pris rendez-vous chez le psychiatre mais priorité et qu’elle aille mieux. Mais pour le moment elle ne peut plus venir chez moi, je suis inquiet pour sa santé et ces changements D’humeur et ces mensonges
4 janv. 2025 à 14:54
Personne n'aura un rapport écrit .
Le personnel vous fera un rapport oral .
Les mesures feront l'objet d'un écrit .
"Concernant le préjudice subi et l’impact sur ma famille, pensez-vous que j’ai un recours ?"
Vous rigolez ? C'est la situation de votre fille, dont vous êtes responsable civilement, qui est la cause de ce que vous appelez " préjudice" .
Vous avez effectivement des devoirs envers vos enfants .
M'enfin vous ne pouvez pas refuser d'en assumer une partie , et critiquer les décisions que d'autres auront à assumer ...
Vous avez l’impression que j’assume pas ? J’ai pris toutes les dispositions pour qu’elle aille mieux.
je suis accusé de maltraitance, sur un fait qu’il n’existe pas, mon ex Femme s’est déjà servi de ma fille, il y a sept ans pour se venger. je sais qu’elle est en souffrance et aucun moment je ne n’assume pas.
l’impact sur ma famille dont ma fille est important, cela n’est pas anodin pour ses frères et sœurs de plus la Voir
4 janv. 2025 à 15:09
Vous êtes libre de ne pas vouloir assumer celà : personne n'obligera un parent à assumer son enfant quelque soit le contexte.
M'enfin vouloir être indemnisé d'un " préjudice" créée par son enfant, alors qu'il est responsable des préjudices créés par son enfant, c'est quand même assez fort ...
Mais bien evidemment on reste libre de faire toutes les procédures qu'on souhaite avec l'aide d'un avocat , au risque d'être mis en cause par la suite en retour .
je n’ai pas créé ce préjudice c’est sa mère et si je tente une action c’est contre elle. Et non contre ma fille je ne suis pas débile.
je n’ai pas créé ce préjudice c’est sa mère et si je tente une action c’est contre elle. Et non contre ma fille je ne suis pas débile.
Pour accuser son père comme cela sur un fait qui est totalement faux, il y a forcément une cause derrière
4 janv. 2025 à 15:30
Il y a forcément une cause derrière effectivement : d’où l'enquête sociale .
M'enfin il y a autant de responsabilité à faire qu'à ne pas faire, vous étiez libre dés la séparation de faire valoir vos arguments pour que vous puissiez assumer principalement la garde de votre enfant et de faire en sorte que votre fille soit suivie depuis donc 7 ans .
Vous le pouvez toujours d'ailleurs : vous ne semblez pas le souhaiter .
Et peut être, comme déjà dit, que le préjudice le plus marquant pour vos autres enfants , c'est d'en faire le constat .
Je le souhaite puisque elle est suivi déjà par un psychologue, et bientôt un psychiatre,
concernant mes autres enfants, nous souhaitons juste les protéger de faux accusations et que ma fille aînée aille mieux, je ne vois pas en quoi, je fais le constat puisque ça fait sept ans que j’alerte mon ex femme sur les comportements de notre fille aînée avec de la co parentalité. Chose qui n’existe pas de l’autre côté. Donc ma question, vu que ce sujet a déjà été réglé, l’année dernière par le biais d’une médiation. Que puis-je faire dorénavant au-delà de l’enquête sociale pour ma fille
Modifié le 4 janv. 2025 à 16:50
C'est justement une des questions qui sera abordée lors de l'enquête sociale .
Il ne s'agit donc pas de n'imputer la responsabilité de la mère qui si je comprends bien s'est toujours occupée principalement de votre fille .
Car si vous pensiez votre fille en danger " psychiquement" parlant , il fallait demander à ce que votre enfant réside chez vous ; dés le départ .
La co parentalité, ce n'est pas dire " il faut que " : c'est prendre ses responsabilités et faire soi même .
Surtout si on pense l'autre parent défaillant .
C'est en ce sens qu'il vaut mieux modérer vos propos vis à vis de la mère .
Je parle des comportements de ma fille j’ai toujours alerté mon ex femme sur les agissements à mon domicile.
moi j’ai toujours appris les choses après. Nous sommes en garde alternée depuis 8 ans.
deja eu une situation similaire l’année dernière, cela fait trois mois que ma fille ne vient plus à mon domicile
la situation est difficile, cela me touche énormément en tant que père. J’aime ma fille et je suis dorénavant désemparé. J’ai jamais voulu éloigner de sa mère suite a son acte de vengeance il y’a 7 ans j’aurai du.
aujourd’hui elle a grandi, et ses comportements m’inquiète
4 janv. 2025 à 18:57
C'est bien de vos inquiétudes par rapport à votre fille et uniquement votre fille dont il faut parler librement aux services sociaux.
Avouer être désemparé, ne pas savoir que faire entre le comportement de votre fille, et votre volonté de protéger votre famille est tout à fait entendable .
Et cela leur permettra de situer exactement les possibilités pour votre enfant .
Pour être plus clair : éviter de charger la mère .
Votre enfant est une ado, donc auto centrée, il est possible aussi qu'elle ne veuille plus de GA pour X raisons, et qu'elle n'ait trouvé que ce moyen pour se faire entendre .
Cela ne veut pas dire qu'elle n'a plus besoin de vous, au contraire, à cet age on aime tester l'attachement.
On peut potentiellement imaginer que vous puissiez aussi participer à des séances avec le psy et elle , pour entendre vraiment ce qu'elle souhaite, au final, dans tout celà , et qu'elle puisse aussi entendre que vous avez des responsabilités, pas qu'envers elle et que vous devez faire avec .
J'espère que vous essaierez de prendre ces entretiens avec sérénité : être sur la défensive, voire vindicatif, ne peut que nuire à l'image que vous donnerez en tant que parent .
Ce serait à mon sens assez dommage, puisque ces entretiens peuvent être aussi une possibilité de vous sentir moins seul à manier la chèvre et le chou .
Merci pour votre réponse. C’est toujours déroutant d’être dans une enquête sociale surtout quand le fait mentionné n’existe pas et implique même les autres enfants.
Nous traversons une période pas simple et avec tout ce que nous avons vu sur le net concernant les services sociaux nous n’avions pas confiance.
Nous avons vu des enfants placés, même si je garde les pieds sur terre et imagine qu’il faut des preuves très graves pour en arriver là ( c’est mon côté angoisser).
Se sentir accusé de quelque chose qui n’existe pas est très difficile surtout quand vous faites tout pour vos enfants.
Ma fille a forcément un mal être, mais nous savons pertinemment que le mensonge lui a été inculqué par le passé par sa mère j’en ai fait les frais et les services sociaux sont au courant, sa mère l’a avoué au premier entretien.
Nous verrons bien, mais après renseignement ils ne peuvent aucunement agir sur les deux autres enfants qui sont absents de l’information préoccupante sauf si il y a des preuves de maltraitance ce qui n’est pas le cas.
Ma femme mère de mes deux enfants n’hésitera pas à porter plainte si cela dérive. Elle en a marre de vivre ainsi depuis maintenant 7 ans.
En tous cas je vous remercie pour vos conseils et nous allons faire les rdv avec confiance dans ce cas.
Nous espérons que les mesures misent en place et les consultations chez le psychiatre permettront de comprendre cette situation et le mal être de ma fille aînée.
Modifié le 5 janv. 2025 à 09:11
Il est important de comprendre qu'il n'y a pas de placement abusif .
Mais que si les parents ont un comportement hostile et fermé qui ne donnent pas la possibilité aux services sociaux de faire le point sur la situation,leur travail donc, les services sociaux sont obligés de prendre des mesures de précaution, qu'ils n'auraient pas envisagées s'ils avaient pu faire leur travail .
C'est dommage pour tout le monde vu que les services sociaux ne disposent pas de moyens ...
Donc oui, il arrive qu'il y ait placement parce que les parents n'ont pas compris ce principe, qu'il ne s'agissait pas de les mettre en cause, mais d'évaluer la situation de l'enfant , et d'accepter de l'aide si besoin .
Ce pourquoi je vous invite à de la sérénité,à voir cette intrusion pour ce qu'elle est : faire le point de la situation de l'enfant pour envisager des solutions avec vous, avec vos doutes, vos peurs .
Porter plainte pour ne pas vouloir faire le point sur la situation de l'enfant ( ou est le délit ?), saisir le JE, c'est exactement ce qu'il ne faut pas faire car il est toujours curieux quand un enfant a des problèmes de vouloir attaquer ceux qui peuvent lui proposer de l'aide ...
La législation juridique et financière évolue en permanence...