Question succession

il pensait avoir droit à un tiers dessus aussi, mais ce n'est pas le cas
Et pourquoi ce n'est pas le cas, puisque c'est ce que sa mère a légué 2/3 à sa fille et 1/3 à son fils ?
Qui lui a donné cette information, quelle raison lui a-t'on donnée ?

Il a eu autre chose en compensation, dans la succession ?

Il faut voir les choses globalement : l'actif successoral faisait une certaine masse, s'il a déjà reçu 1/3 de cette masse sans compter 1/3 de la maison, alors il n'a droit à rien sur cette maison, il n'y aura pas de contestation possible.

Soit le notaire n'est pas sûr que le frère (votre frère?) a bien reçu son dû lors de la succession, soit il en est sûr et c'est seulement une précaution qu'il prend envers les acheteurs.

La succession de (votre?) mère a-t'elle été liquidée ?
De quand date le décès ?

oui la succession a été liquidée puisque il ya un testament non ?
Le testament c'est une chose.
La liquidation de la succession, avec le dépôt de la déclaration, le paiement des droits et le partage au bout, c'est autre chose !
De quand date le décès, où en êtes-vous ?

mais pourquoi prendre cette précaution, si il ne peut pas attaquer ?
Pour l'instant y'a que vous qui dites qu'il ne peut pas vous "attaquer".
Peut-être qu'il peut, s'il n'a pas eu ce qui lui est dû et qu'il est encore dans les délais.
En valeur, qu'avez-vous eu chacun ?
A quel prix a été évaluée cette maison lors de la succession, à quel prix la vendez-vous ?

Nous cela nous bloque la vente.
Peut-être, mais il n'est pas question pour le notaire de faire risquer aux acheteurs que votre frère leur demande un jour de lui rembourser ce que vous lui devez éventuellement !
Pourquoi ne posez-vous pas ces questions-là, précisément, au notaire qui a votre dossier en mains ?

Le notaire protège les acheteurs contre une éventuelle action en complément de part de votre frère.

Article 889 du code civil.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGIARTI000006433161/2017-06-23/

qu'il n'a pas son mot à dire .
Ca c'est vite dit.
Les délais ne sont pas prescrits.
Un nouvel élément peut surgir (d'autant que vous ne précisez pas la valeur à laquelle la maison a été estimée dans la succession)

Ca ne veut pas dire que la maison a été estimée plus chère que ce qu'elle se vend aujourd'hui au décès de la mère.

Je pense que le propriétaire va forcer la vente si rien ne se débloque.
Il ne pourra pas obliger le notaire à faire quelque chose contre son gré, il faudra qu'il aille au tribunal. Avec les délais des tribunaux, vous allez dépasser la fin du délai de prescription de 2 ans....
Vous êtes qui dans l'histoire, je n'ai toujours pas compris : l'acheteur ou le vendeur ?

Si les biens ont été sous-estimés, il peut obtenir plus puisque 1/3 de 150 font plus que 1/3 de 100...
Si le testament est contesté aussi...
On est dans des suppositions, mais si le notaire estime que c'est important c'est qu'il pense que vous n'êtes pas à l'abri.

Je ne trouve pas. Le notaire vous protège, il respecte le code civil.
Maintenant si vous ne souhaitez pas être protégé, vous n'avez qu'à lui dire. Vous signerez une clause en ce sens dans l'acte de vente.

Le vendeur souhaite bloqué une somme d'argent pour le cas où il y aurait un complément demandé.
Tiens donc, il n'est pas si sûr de lui que ça...

peut on nous retirer la maison ou que nous ne soyons plus propriétaire ?
Oui

le vendeur n'a jamais dit qu'il n'était pas sur qu'il attaque.
Très bien.
Pourquoi auriez-vous plus confiance que lui ?

Imaginez encore pire : un enfant caché apparaît et réclame sa part dans les 10 ans....

dans le cas ou le vendeur ne payerait pas ou ne serait pas solvable ? ce qui n'est pas son cas.
Qu'en savez-vous ?

mais qu'il veut un tiers.
Et pourquoi pas la moitié ou le quart ? ce n'est pas votre problème ; ça le deviendra peut-être si vous achetez sans sa signature.

Pourquoi ne faites-vous pas confiance à votre notaire ?
Vous pourriez aussi aller demander conseil à un autre.

je n'en sais rien, je vous le demande.
Ah mais moi je ne connais pas les comptes de mes voisins, je me fais un peu l'avocat du diable : si (il y a toujours un risque, vous l'avez compris) l'un des héritiers venait à obtenir que les autres héritiers lui doivent de l'argent, et que ces autres héritiers n'en disposent pas, alors le premier serait en droit de se retourner contre les tiers détenteurs des biens de la succession qui ne sont pas protégés par la signature de l'héritier en question.
Maintenant c'est à vous de voir si vous prenez le risque.

connaissant bien le vendeur, je peux vous dire qu'ils sont largement solvable

pppfff, mais bien sur.