Succession/achat de bien en 2nd noce avec argent de la 1er noce
louise renard
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djivi38 Messages postés 64775 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -
djivi38 Messages postés 64775 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -
Bonjour,
Mon père est décédé il y a 5 ans. Mon père était marié pendant 20 ans en première noce à notre mère sous le régime de la séparation de biens. Dans le cadre de son premier mariage avec notre mère, mon père s'était débrouillé pour mettre en son nom propre de très nombreux biens immobiliers qu avait été acheté grâce à l'argent de nos grand-parents maternels. Notre mère a demandé le divorce. Notre père s'est remarié et 3 enfants sont nés de cette union.
Nous avons appris au décès de notre père qu'il avait vendu l'intégralité de ces biens de 1988-1998 sans jamais nous le dire. Avec cet argent il s'est acheté des biens immobiliers à Paris et ceci avec sa seconde épouse (contrat de mariage: communauté réduit aux acquêts). Notre père a bien entendu fait une donation au dernier vivant à son épouse. Nous avons signé l'acte d'option permettant ainsi à notre belle mère d'être usufruitière jusqu'à sa mort. Elle a aussi opté pour le 25% toute propriété. Nous avons demandé à notre belle mère une évaluation des biens immobiliers et des meublant et à être présent à l'ouverture des coffres forts mais aucune réponse depuis 5 ans...
Que me conseillez-vous de faire?
Mon père est décédé il y a 5 ans. Mon père était marié pendant 20 ans en première noce à notre mère sous le régime de la séparation de biens. Dans le cadre de son premier mariage avec notre mère, mon père s'était débrouillé pour mettre en son nom propre de très nombreux biens immobiliers qu avait été acheté grâce à l'argent de nos grand-parents maternels. Notre mère a demandé le divorce. Notre père s'est remarié et 3 enfants sont nés de cette union.
Nous avons appris au décès de notre père qu'il avait vendu l'intégralité de ces biens de 1988-1998 sans jamais nous le dire. Avec cet argent il s'est acheté des biens immobiliers à Paris et ceci avec sa seconde épouse (contrat de mariage: communauté réduit aux acquêts). Notre père a bien entendu fait une donation au dernier vivant à son épouse. Nous avons signé l'acte d'option permettant ainsi à notre belle mère d'être usufruitière jusqu'à sa mort. Elle a aussi opté pour le 25% toute propriété. Nous avons demandé à notre belle mère une évaluation des biens immobiliers et des meublant et à être présent à l'ouverture des coffres forts mais aucune réponse depuis 5 ans...
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1 réponse
Que me conseillez-vous de faire?
D'en sortir en passant par un partage.
mais aucune réponse depuis 5 ans...
Mettre la machine judiciaire en marge car le conjoint survivant n'a aucun intérêt d'effectuer la moindre démarche au risque de perdre sa quiétude en étant bien installée dans cette indivision dont elle profite pleinement à votre détriment.
Pour elle le temps perdu est de l'argent gagné.
Car il a beaucoup d'ouvrage en perspective pour votre notaire et beaucoup d'argent à perdre pour elle (et a gagner pour vous) au sujet des fonds investis dans l'acquisition de ce patrimoine immobilier parisien.
D'en sortir en passant par un partage.
mais aucune réponse depuis 5 ans...
Mettre la machine judiciaire en marge car le conjoint survivant n'a aucun intérêt d'effectuer la moindre démarche au risque de perdre sa quiétude en étant bien installée dans cette indivision dont elle profite pleinement à votre détriment.
Pour elle le temps perdu est de l'argent gagné.
Car il a beaucoup d'ouvrage en perspective pour votre notaire et beaucoup d'argent à perdre pour elle (et a gagner pour vous) au sujet des fonds investis dans l'acquisition de ce patrimoine immobilier parisien.
petite remarque (gentille) pour une réelle compréhension (Condorcet a tapé un peu trop vite !) :
"Mettre la machine judiciaire en marge ..." :
Lire " Mettre la machine judiciaire en marCHE...)
Cdt à tous les deux.
Le P.C bégaye !
Avec toutes mes excuses.
Cela voulait bien évidemment dire le contraire :
-mettre la machine judiciaire en "marge", ce qui n'était bien sûr pas mon intention, était à l'opposé de " en marche".
Pourtant hier ce n'était pas le 1° avril !.
Vous avez très bien fait d'intervenir à bon escient, ce dont je vous remercie.
Bref, maintenant c'est clair pour Louise, c'est l'essentiel...
avec plaisir ;-))