Réévaluation pension, nouvelle vie en couple.
Dyncorp
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Ysabe_l Messages postés 12598 Date d'inscription vendredi 12 avril 2013 Statut Contributeur Dernière intervention 21 décembre 2024 - 23 oct. 2014 à 16:25
Ysabe_l Messages postés 12598 Date d'inscription vendredi 12 avril 2013 Statut Contributeur Dernière intervention 21 décembre 2024 - 23 oct. 2014 à 16:25
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Dyncorp
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23 oct. 2014 à 13:26
23 oct. 2014 à 13:26
Bonjour Sophiag,
Merci d'avoir pris le temps de me lire et de donner votre avis.
Ne vous excusez pas, je n'ai pas été offensé par vos propos, j'apprécie également la sincérité polie dont vous avez fait preuve.
Pour revenir sur vos écrits, il faudrait des pages pour poser la situation et connaître chaque protagonistes afin d'émettre un jugement.
Il est vrai que résumé ainsi, je n'ai pas le beau rôle, mais je ne suis en rien la victime.
Les arrangements n'étaient pas aux yeux de tous pour « l'intérêt supérieur » de l`enfant, et selon les gens, les discours variaient de la manipulation pour l'intérêt financier de la mère à l'arrangement que certains pensaient fait avec intelligence et bon pour mon fils.
Certes, les rapports étaient cordiaux, mais lorsque l'on connait chacun des partis, on devine que l'intérêt n'est pas que pour l'enfant.
Un exemple : l'année du jugement, on me demande 5€ /mois en espèce que je ne ferai pas figurer sur la déclaration d'impôts. Les 5€ pour que mon fils mange à sa faim (voyez ses revenus), soit, mais pourquoi omettre de les déclarer ?
Je n'ai jamais dit que ces arrangements ne m'avait pas convenu sur le plan affectif, bien au contraire, mais les choses devait changer un jour ou l'autre.
J'ai fichu en l'air ces arrangements non pas pour faire plaisir à ma compagne ou par plaisir personnel, mais pour d'autres raisons qui avaient été discutées bien avant :
- Habitant à l'époque à 50km de mon lieu de travail, avec les horaires de prise de poste incompatibles aux horaires scolaires, je ne pouvais choisir la garde alternée.
Il était prévu qu'à plus ou moins long terme j'allais déménager et m'éviter des contraintes inhérentes aux trajets.
- Durant un an, ces arrangements que JE concédais avaient un coût qui n'était en rien répercuté sur la pension et étaient évidemment une période transitoire, je ne l'ai pas prise par surprise, lorsque j'ai décidé d'y mettre un terme.
En effet, il y a avant tout le plaisir de passer du temps avec son enfant, et pour cela jamais je n'ai réclamé le moindre centime, à l'inverse...
- Habitant à 500m de mon ex, il est humainement difficile pour une femme, quelle que soit la confiance, de me savoir proche de chez elle, de la voir régulièrement pour mon fils.
Quand on a déjà vécu une trahison, les cicatrices restent. Est-ce de l'égoïsme ?
Et j'en oubli à chaud.
Donc le fait de me poser en victime, non. J'assume mes choix, bons ou mauvais, c'est à moi à gérer la situation présente que j'ai mis en place.
L'individualisme dont tout le monde fait preuve m'agace au plus haut point, que ce soit de ma compagne, que de mon ex. Et l'enfant dans toute cela ?
Je vous rassure, ma compagne qui est une mère, ne m'a jamais caché avoir un peu de mal du fait que mon fils était aussi celui de sa mère (ah bon ?).
Il parait qu'une mère a plus de mal à accepter l'enfant de l'autre, nous ne sommes pas sur un forum de psychologie, mais ce n'est pas la première fois que je l'entends.
Au moins a-t-elle l'honnêteté de me le dire, plutôt que de faire dans l'hypocrisie. A aucun moment elle s'est mal comportée en sa présence, bien au contraire.
Ce qu'il peut se passer dans le futur avec ma compagne, j'y ai pensé, et je ne suis pas à me dire que ce sera par sa faute si j'en suis là avec la mère de mon fils.
Ma compagne n'est pas à l'origine de la zizanie, j'ai ouvert les yeux et mon entourage n'a fait que confirmer que j'étais un peu trop à tout laisser faire/passer. Trop bon...
Oui, elle m'a déjà accompagné lorsque je déposais mon fils un dimanche et ça n'a fait que confirmer ce qu'elle pensait de mon ex.
Lui dire qu'elle accepte ou s'en aille serait tout aussi égoïste de ma part.
Pourquoi faire plier ? Je sais ce que ça fait de se voir imposer une situation que l'on ne veut pas.
Je cherche juste un point d'équilibre, et que chacun l'accepte. Trop idéaliste sans doute.
Quant à savoir si le juge me qualifiera de père irresponsable avec les changements que j'ai opéré, probable, je n'omettrai pas
de les argumenter et de mettre en balance les choses pour lesquelles une mère pourrait être qualifiée d'irresponsable aussi.
Le bien de mon fils passe avant tout, ce qui m'empêche d'être parfois trop direct avec sa mère, au détriment de ma compagne.
Ce serait facile de tomber dans le chantage affectif, ça a déjà marché...
Merci encore d'avoir donné votre avis, il me reste à savoir où je vais quand mon ex demandera révision de la pension.
Cordialement,
DC.
Merci d'avoir pris le temps de me lire et de donner votre avis.
Ne vous excusez pas, je n'ai pas été offensé par vos propos, j'apprécie également la sincérité polie dont vous avez fait preuve.
Pour revenir sur vos écrits, il faudrait des pages pour poser la situation et connaître chaque protagonistes afin d'émettre un jugement.
Il est vrai que résumé ainsi, je n'ai pas le beau rôle, mais je ne suis en rien la victime.
Les arrangements n'étaient pas aux yeux de tous pour « l'intérêt supérieur » de l`enfant, et selon les gens, les discours variaient de la manipulation pour l'intérêt financier de la mère à l'arrangement que certains pensaient fait avec intelligence et bon pour mon fils.
Certes, les rapports étaient cordiaux, mais lorsque l'on connait chacun des partis, on devine que l'intérêt n'est pas que pour l'enfant.
Un exemple : l'année du jugement, on me demande 5€ /mois en espèce que je ne ferai pas figurer sur la déclaration d'impôts. Les 5€ pour que mon fils mange à sa faim (voyez ses revenus), soit, mais pourquoi omettre de les déclarer ?
Je n'ai jamais dit que ces arrangements ne m'avait pas convenu sur le plan affectif, bien au contraire, mais les choses devait changer un jour ou l'autre.
J'ai fichu en l'air ces arrangements non pas pour faire plaisir à ma compagne ou par plaisir personnel, mais pour d'autres raisons qui avaient été discutées bien avant :
- Habitant à l'époque à 50km de mon lieu de travail, avec les horaires de prise de poste incompatibles aux horaires scolaires, je ne pouvais choisir la garde alternée.
Il était prévu qu'à plus ou moins long terme j'allais déménager et m'éviter des contraintes inhérentes aux trajets.
- Durant un an, ces arrangements que JE concédais avaient un coût qui n'était en rien répercuté sur la pension et étaient évidemment une période transitoire, je ne l'ai pas prise par surprise, lorsque j'ai décidé d'y mettre un terme.
En effet, il y a avant tout le plaisir de passer du temps avec son enfant, et pour cela jamais je n'ai réclamé le moindre centime, à l'inverse...
- Habitant à 500m de mon ex, il est humainement difficile pour une femme, quelle que soit la confiance, de me savoir proche de chez elle, de la voir régulièrement pour mon fils.
Quand on a déjà vécu une trahison, les cicatrices restent. Est-ce de l'égoïsme ?
Et j'en oubli à chaud.
Donc le fait de me poser en victime, non. J'assume mes choix, bons ou mauvais, c'est à moi à gérer la situation présente que j'ai mis en place.
L'individualisme dont tout le monde fait preuve m'agace au plus haut point, que ce soit de ma compagne, que de mon ex. Et l'enfant dans toute cela ?
Je vous rassure, ma compagne qui est une mère, ne m'a jamais caché avoir un peu de mal du fait que mon fils était aussi celui de sa mère (ah bon ?).
Il parait qu'une mère a plus de mal à accepter l'enfant de l'autre, nous ne sommes pas sur un forum de psychologie, mais ce n'est pas la première fois que je l'entends.
Au moins a-t-elle l'honnêteté de me le dire, plutôt que de faire dans l'hypocrisie. A aucun moment elle s'est mal comportée en sa présence, bien au contraire.
Ce qu'il peut se passer dans le futur avec ma compagne, j'y ai pensé, et je ne suis pas à me dire que ce sera par sa faute si j'en suis là avec la mère de mon fils.
Ma compagne n'est pas à l'origine de la zizanie, j'ai ouvert les yeux et mon entourage n'a fait que confirmer que j'étais un peu trop à tout laisser faire/passer. Trop bon...
Oui, elle m'a déjà accompagné lorsque je déposais mon fils un dimanche et ça n'a fait que confirmer ce qu'elle pensait de mon ex.
Lui dire qu'elle accepte ou s'en aille serait tout aussi égoïste de ma part.
Pourquoi faire plier ? Je sais ce que ça fait de se voir imposer une situation que l'on ne veut pas.
Je cherche juste un point d'équilibre, et que chacun l'accepte. Trop idéaliste sans doute.
Quant à savoir si le juge me qualifiera de père irresponsable avec les changements que j'ai opéré, probable, je n'omettrai pas
de les argumenter et de mettre en balance les choses pour lesquelles une mère pourrait être qualifiée d'irresponsable aussi.
Le bien de mon fils passe avant tout, ce qui m'empêche d'être parfois trop direct avec sa mère, au détriment de ma compagne.
Ce serait facile de tomber dans le chantage affectif, ça a déjà marché...
Merci encore d'avoir donné votre avis, il me reste à savoir où je vais quand mon ex demandera révision de la pension.
Cordialement,
DC.
23 oct. 2014 à 14:34
Je vous ai répondu en fonction des informations que vous m'avez donnée.
Certes, je suis loin de connaitre votre situation et je suis loin d'avoir tous les éléments, mais sur le forum, on se fit à ce que nous dit la personne qui vient chercher de l'aide et des conseils.
Mais vous avez eu l'honnêteté de reconnaître qu'il y avait bien un problème relationnel avec votre enfant et votre compagne indirectement liée au fait qu'il soit issue de votre ex ....
C'est un vrai problème, croyez en mon expérience et ce n'est pas égoïste que de dire à sa compagne qu'elle n'a pas à faire ce genre de chantage car la, vous etes justement en train de retomber dans le chantage affectif, mais du coté de votre compagne.
En droit et en morale, mais la morale n'''est pas le droit, donc, on va rester sur le droit.... Donc, en droit, on dit qu'un bon père de famille est celui qui fait passer les intérêts de ses enfants avant les siens.
Et d'un point de vue morale, c'est aussi vrai.
Qu'a t'il fait cet enfant pour subir ou mériter cela ? Votre compagne n'est t'elle pas assez mure, mature et adulte pour dissocier l'enfant de la mère ?
L'enfant est un être humain à part entière, il n'est ni la mère, ni le père, il est une personne entière.
Et pour cela, il se doit d'être considérer et respecter comme tel.
Ce n'est pas à l'enfant à se plier au caprice de personnes censées être adultes et matures, mais aux adultes de faire en sorte que tout se passe bien pour l'enfant.
Vous dites qu'elle ne s'est jamais mal conduite devant lui ? Mais cela n'empêchera jamais que l'enfant ressentira son sentiment à son égard.
Concernant votre ex et le passif négative dont vous n'avez pas développer les détails ou vous vous trouviez trop laxismes ....
Ce qu'il vous appartient de faire, c'est de faire appliquer le jugement à la lettre si il y a mésentente, ainsi, tout le monde est content, même si ce n'est et ce ne sera jamais l'idéal, mais c'est mieux pour mettre un cadre précis à l'enfant aussi .
En effet, réfléchissez, vous êtes grand, j'ai une expérience derrière moi de situation comme la votre et les dégâts ne sont pas terribles.
Si j'ai prise le temps de développer ma réponse, c'est bien pour parler à la place de l'enfant et vous faire réfléchir puisque lui ne pourra pas s'exprimer, ni avoir les mots pour le faire.
Mais vous restez seul maître de la situation .
Et pour répondre à une de vos questions , si mon compagnon me disait qu'il a du mal avec mes enfants parce qu'il lui rappelle mon ex ? Je lui indique le chemin de la sortie .....
Et j'espère qu'il en ferait de même si j'osais lui dire cela.
Et croyez moi, je ne vous juge pas, je vous montre peut être un aspect des choses que vous ne voyez pas ou ne voulez pas voir, mais cet aspect est primordiale pour l'épanouissement de votre enfant. Il doit se sentir accepter, aimer et voulu dans sa nouvelle famille que vous aurez recomposer.
Le contraire produira des dégâts à long et court termes.
Cordialement
23 oct. 2014 à 15:18
J'apprécie que vous parliez de la place de l'enfant dans un couple recomposé, et en tant que père je me dois d'être plus ferme sur ce point que ce soit avec la mère ou ma compagne.
Maintenant, j'ai aussi entendu ce que ma compagne me disait car le dialogue et la sincérité est un point essentiel entre nous.
Pour l'instant elle a du mal à dissocier l'enfant de la mère, ça mettra du temps pour se faire, mais elle sait qu'elle y parviendra.
Partant de là, c'est reconnaître ses torts, et c'est précieux pour moi qui n'ai connu personne se remettant en cause.
Dans le cas contraire, il est évident que je ne peux tolérer de vivre avec quelqu'un qui persiste dans sa considération.
Je vois bien que mon fils est un peu en retrait sur ce qu'il exprime quand il est en sa présence. Il est un peu plus renfermé.
A moi de faire en sorte que cela ne se produise pas, quitte à rendre des décisions fermes et définitives.
Cependant je me dois d'agir avec discernement et pas sur un coup de tête.
La solution la plus logique, c'est en effet de s'en tenir au jugement et rien d'autre.
Ainsi j'assumerai ce qui a été signé, et personne n'aura a redire.
Merci de votre témoignage, certaines choses ont besoin d'être remise en lumière pour ne pas perdre de vue l'essentiel, l'enfant.
Ma question initiale restant d'actualité, si quelqu'un a connu une réévaluation de la pension suite à une remise en couple, je suis preneur.
cordialement.