Utilisateur anonyme
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30 sept. 2013 à 18:18
Utilisateur anonyme -
30 sept. 2013 à 23:48
Bonjour à tous,
Je viens vous poser une question concernant une personne de mon entourage, j'espère que vous pourrez me répondre. Par ailleurs ma question concerne le droit Suisse.
Donc elle a eu beaucoup de problème au travail et énormément de pression psychologique, ce qui a fini par la faire tomber en forte dépression tout en provoquant un dégoût profond à l'idée de se lever tous les matins pour revoir ses collègues et supérieurs. Je ne vous détail pas tous les troubles mais cela semble suffisant pour justifier un arrêt maladie.
Donc suite à une première expertise psychologique elle a obtenu un certificat temporaire d'arrêt de travail à renouveler une fois arrivé à échéance. Après quelque temps une expertise commanditée par un l'assurance en charge de l'indemnisation journalière en cas d'incapacité de travail, notons que le psychologue avait partis pris étant donné qu'il travail pour l'assurance en question qui souhaite se débarrasser au plus vite d'une personne à leur charge. Cette expertise à conclu qu'elle était obligée de retourner travailler à 50% et par la suite à nouveau à 100% soit-disant qu'elle est apte à travailler car apte à lire un livre à la maison ou conduire, bref tous les informations donné ont été tourné de façon à ne plus devoir payer d'indemnités journalières en la renvoyant bosser.
Ma question est de savoir si il est normal qu'un expert partial (donc bossant pour une assurance) aie le dernier mot concernant son incapacité de travail. J'aimerais également savoir si l'entreprise à le droit de la virer (par je ne sais quel pretexte afin de ne pas risquer lui payer son salaire 2ans lors de son éventuelle prochaine incapacité de travail) dès qu'elle reprendra son job.