1citoyen
Messages postés1Date d'inscriptionvendredi 27 juillet 2012StatutMembreDernière intervention30 juillet 2012
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30 juil. 2012 à 11:45
michka -
2 août 2012 à 13:16
Bonjour,
Je me permets donc de vous exposer la situation dans laquelle je vis actuellement, espérant recueillir quelques conseils éclairés et avisés :
Je vis avec une femme depuis le 1er octobre 2010 dans un appartement que nous louons, le bail étant à nos deux noms.
Sans entrer dans les détails parfois glauques et scabreux de notre... relation, j'ai décidé - pour ces mêmes "détails" - fin juin 2012 de rompre et d'arrêter cette relation.
Je l'ai donc annoncé à ma compagne qui l'a très mal pris. Cela a provoqué chez elle de la colère et de la vindicte à tel point que je me tourne vers vous pour avoir votre avis.
Je précise que nous ne sommes bien entendu ni mariés, ni pacsés, ni sous certificat de concubinage et que les faits ci-dessous se sont passés après lui avoir annoncé la rupture.
Voici les faits principaux dont j'estime être victime de sa part :
- Vol sur les comptes joints de fonds que j'y avais déposé depuis mon compte bancaire personnel. J'ai conservé les traces de ces mouvements, tout comme ceux effectués par cette personne vers son compte bancaire personnel.
- Lors de mon absence, disparition de l'appartement d'objets du quotidien que nous avions acquis en commun, mais aussi d'objets personnels.
- Toujours lorsque j'étais absent, disparition de l'appartement de tous les documents relatifs à celui-ci (double du bail, double de l'état des lieux, contrats, échéanciers et factures des fournisseurs d'énergie, documents divers).
- Je me suis abonné sur un site social, en vue de rencontres amicales, voire davantage. Mon ex compagne y a alors créée un "faux profil" en se faisant passer pour moi et en divulguant sur celui-ci des images de ma personne sans que je l'y ai autorisé.
En outre, elle a contacté sur ledit site et par messages des abonnées avec lesquelles j'échangeais régulièrement en leur tenant des propos ne me correspondant pas sur ma personne, ma vie et ma sexualité.
J'ai pu recueillir un témoignage sous forme de mail d'une des abonnées qu'elle avait contactée et j'ai conservé les mails échangés avec le site lorsque je suis intervenu auprès du webmaster.
Ce n'est d'ailleurs que sur ma demande expresse auprès du webmaster du site que ce faux profil a été suspendu.
Néanmoins, j'estime avoir subi un préjudice dans le sens où des photos de ma personne ont été diffusées sur internet sans mon autorisation, accompagnées de propos destinés à me nuire et, ce faisant, plusieurs personnes avec qui j'échangeais sur ce site m'ont soit "blacklisté", soit n'ont plus répondu à mes messages.
Concernant les comptes joints, j'ai tout d'abord fait changer la domiciliation des prélèvements mensuels de différents fournisseurs (énergies, téléphone/internet) en les faisant domicilier sur mon compte bancaire personnel, puis dénoncé les comptes joints. J'en ai avertit mon ex compagne par lettre recommandée avec AR. Elle a alors procédé à la clôture définitive de ces comptes, récupérant au passage le maigre solde qui s'y trouvait.
Dans la même lettre je lui demandais de cesser d'atteindre à ma personne en utilisant sur internet mon image et en y ayant des propos erronés destinés à me nuire sciemment.
Je lui ai demandé plusieurs fois verbalement les remboursement des sommes qu'elle a indûment prélevées sur les comptes joints, sa part dans les paiements mensuels des charges communes et ai exigé la réintégration dans l'appartement des objets, communs et m'appartenant, ainsi que les documents communs.
Bien qu'elle ne conteste pas la réalité de mes demandes, elle a tout refusé en bloc, déchirant les documents que je lui ai remis à l'issue du dernier entretien, à savoir : le mémo de mes demandes, mon R.I.B. pour qu'elle puisse effectuer le remboursement des sommes prélevées sur les comptes joints et sa part des charges communes que j'assume désormais seul accompagné d'un récapitulatif de ces charges.
Devant ses refus, je lui ai adressé une nouvelle lettre recommandée avec AR lui rappelant mes différentes demandes et prenant acte de son refus.
Constatant sa mauvaise foi mais aussi sa malhonnêteté et sa malveillance à mon égard, je me suis rendu le 27 juillet 2012 dans un commissariat de police espérant pouvoir y déposer à minima une main courante de façon à acter ces faits.
Les fonctionnaires de police qui m'ont reçu m'ont... disons-le carrément, rit au nez et m'ont dit que cela ne servait à rien, que j'allais leur faire perdre leur temps et moi le mien, l'affaire aboutissant à coup sûr à un classement sans suite par le Procureur, d'après leurs dires.
Je n'ai donc pas pu déposer cette main courante...
Enfin, concernant le bail, l'agence immobilière gérant notre appartement m'a appelé ce même vendredi 27 juillet pour m'informer qu'ils ont reçu de mon ex compagne sa dénonciation du bail, me demandant si j'en suis d'accord et si je souhaite reprendre le bail à mon seul nom.
Compte tenu de la situation plus que stressante et traumatisante de cette vie devenue une co-location non souhaitée, je vais donc donner mon accord auprès de l'agence immobilière.
A part porter l'affaire directement auprès du Procureur de la République je ne vois pas vers qui me tourner pour être écouté, sachant que je pars 3 semaines en vacances dans les prochains jours et que je peux craindre avoir de mauvaises surprises en rentrant.
Je suis désolé d'avoir été un peu long dans mes explications... j'ai simplement souhaité être le plus clair et précis possible en me disant qu'il doit y avoir d'autres personnes dans mon cas qui, comme moi aimeraient savoir à qui s'adresser pour obtenir justice ou, à tout le moins, acter des faits de façon à se protéger pour la suite.
lexa62
Messages postés3Date d'inscriptionlundi 28 juillet 2008StatutMembreDernière intervention30 juillet 20121 30 juil. 2012 à 12:18
Bonjour,
apparemment votre ex ne veut plus de l'appart donc elle est censée partir?
Changez les serrures et puis prenez une nouvelle vie,ne faites pas de démarche en recours pour fraude ou autre,ce sera long et inutile.....il n'y a pas de demande de garde d'enfant ou de bien immo acheté,les tribunaux ne vont pas s'attarder sur cela....il y a plus grave que des petites misères faites lors de rupture de couple.