Garde de mon fils

pilote38 -  
 pilote38 -
Bonjour,


Divorcé depuis 2007, depuis je me bats pour obtenir la garde de mon fils en vain. Je suis écoeuré par la réaction de la justice ( et plus particulièrement par les JAF de ma juridiction) qui dans leurs paroles et jugements me font clairement comprendre que c en'est pas normal qu'un père veuille obtenir la garde et passer du temps avec son enfant. Je viens d'apprendre que la mère de mon fils en concubinage n'arriverait apparemment plus à subvenir aux besoins de notre fils allant même jusqu'à ne plus pouvoir assurer financièrement l'alimentation de celui-ci, âgé de bientôt 9 ans. De mon côté, j'ai un travail qui me permet de donner une vie saine et stable à notre fils et je vis en concubinage avec une femme, qui a eu un fils d'une précédente union, âgé de 6 ans et nous avons un fils ensemble , âgé de 20 mois. Ma question est la suivante : peut-elle perdre la résidence de notre fils et surtout ai-je un recours et une chance de faire valoir mes droits de père afin d'obtenir la résidence principale ?

1 réponse

Utilisateur anonyme
 
Bonjour, si vous expliquiez l'historique un peu ?

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pilote38
 
J'ai été marié à cette femme pendant 3 ans et elle a profité de mon argent jusqu'au jour où ruiné je ne l'intéressais plus. Elle a alors demandé le divorce et sans travail, la JAF lui a alors confié la garde en argumentant que seul et avec des horaires instables et irréguliers, je ne serais pas en mesure de m'occuper de mon fils au quotidien sans l'aide d'une nourrice et que de plus, il ne fallait pas séparer unr fratrie. J'ai dû subir cette décision. Je me suis organisé malgré mes horaires pour m'occuper du suivi médical et scolaire de mon fils et ai réengagé une procédure fin 2008 avec ces éléments pour obtenir la garde et en subsidiaire, un élargissement du droit de visite à 2 mercredis après-midis par mois et une alternance tous les 15 jours pour les vacances d'été car dans l'intérêt de mon fils il était préférable que ce soit 15 jours chez chacun vu son âge, un mois étant trop long pour lui, j'ai obtenu gain de cause pour la demande subsidiaire car topujours pour les même raisons, je n'étais pas en mesure de m'en occuper au quotidien. Fin 2008, j'ai rencontré une femme dont l'histoire a été racontée dans le premier témoignage et fin 2010, je réengageais une procédure pour laquelle j'ai été débouté, la JAF ayant dit textuellement après avoir entendu mon avocate : "il en veut toujours plus !!!". J'ai tout de suite compris qu'elle avait pris sa décision et qu'elle survolerait le dossier. Voilà.
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