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2 réponses
Bonjour,
étant donné la date de votre post je suppose que vous avez trouvé une solution, et comme votre expérience m'intéresse, dans le cadre de ma création d'agence immobilière, je serais ravie de la connaître. Cela me donnera des arguments supplémentaires pour rassurer, voire annuler une transactions si le risque pour le vendeur me semble trop important.
Spontanément d'ailleurs, c'est cette dernière solution qui m'apparaît la meilleure dans le cas exposé.
Votre soucis était d'être sûrs de vendre aux termes du délai. Le compromis peut être signé dès septembre, agrémenté de clauses suspensives pour garantir le maintien des locataires. Ceci dit l'offre de prêt bancaire étant limité dans le temps, il en effet possible que votre acquéreur ne soit plus "finançable" à la date de signature. Même si l'on rajoute une condition suspensive cela ne garantit en rien la vente. Ceci dit, il vaut mieux vendre à un client solvable !
En tant qu'agent je vous aurais conseillé de refuser la transaction et de re-chercher un acquéreur prêt à signer en 4 mois qui percevrait les loyers jusqu'à la fin du bail, ce qui représente une forme d'indémnisation de la non-occupation.
Ceci dépend bien-sûr de l'état du marché local et il est possible que votre agent n'avait pas d'autres prospects pour votre logement. Il reste alors à son actif de convaincre l'acquéreur de signer l'acte authentique plus tôt.
Il est possible aussi que les acquéreurs n'aient pas intérêt à accepter cet arrangement, les loyers d'étudiants ne compensant certainement pas le coût de leur prêt relais.
Il y a peut-être une autre subtilité juridique dans le cadre de la promesse de vente notamment qui pourrait conforter la vente en exigeant une garantie supplémentaire de l'acquéreur. Auquel cas cela m'intéresse fortement.
D'avance je vous remercie pour votre réponse et vous souhaite bonne chance dans la réalisation de votre projet.
étant donné la date de votre post je suppose que vous avez trouvé une solution, et comme votre expérience m'intéresse, dans le cadre de ma création d'agence immobilière, je serais ravie de la connaître. Cela me donnera des arguments supplémentaires pour rassurer, voire annuler une transactions si le risque pour le vendeur me semble trop important.
Spontanément d'ailleurs, c'est cette dernière solution qui m'apparaît la meilleure dans le cas exposé.
Votre soucis était d'être sûrs de vendre aux termes du délai. Le compromis peut être signé dès septembre, agrémenté de clauses suspensives pour garantir le maintien des locataires. Ceci dit l'offre de prêt bancaire étant limité dans le temps, il en effet possible que votre acquéreur ne soit plus "finançable" à la date de signature. Même si l'on rajoute une condition suspensive cela ne garantit en rien la vente. Ceci dit, il vaut mieux vendre à un client solvable !
En tant qu'agent je vous aurais conseillé de refuser la transaction et de re-chercher un acquéreur prêt à signer en 4 mois qui percevrait les loyers jusqu'à la fin du bail, ce qui représente une forme d'indémnisation de la non-occupation.
Ceci dépend bien-sûr de l'état du marché local et il est possible que votre agent n'avait pas d'autres prospects pour votre logement. Il reste alors à son actif de convaincre l'acquéreur de signer l'acte authentique plus tôt.
Il est possible aussi que les acquéreurs n'aient pas intérêt à accepter cet arrangement, les loyers d'étudiants ne compensant certainement pas le coût de leur prêt relais.
Il y a peut-être une autre subtilité juridique dans le cadre de la promesse de vente notamment qui pourrait conforter la vente en exigeant une garantie supplémentaire de l'acquéreur. Auquel cas cela m'intéresse fortement.
D'avance je vous remercie pour votre réponse et vous souhaite bonne chance dans la réalisation de votre projet.