Devenir père malgré soi
pascale130
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27 juin 2009 à 14:25
M@thew Messages postés 1526 Date d'inscription vendredi 2 décembre 2011 Statut Contributeur sécurité Dernière intervention 19 février 2017 - 4 juil. 2012 à 20:39
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5 réponses
Il y a aussi des femmes qui font des enfants sans l'accord de l'autre, assume ts totalement financièrement et materiellement et sans faire pâtir à l'autre ses humeurs ou autre...
Arrêtons de généraliser !
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pourquoipas13
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27 juin 2009 à 18:48
27 juin 2009 à 18:48
S'il est le père biologique de cet enfant (mais il faudra qu'elle le prouve par des tests adn) et bien il versera une pension pendant une vingtaine d'année....
Mais je ne sais pas si une femme de 48 ans, mère de 5 enfants, voudrait encore un enfant... Il s'agit peut-être de bluff
Mais je ne sais pas si une femme de 48 ans, mère de 5 enfants, voudrait encore un enfant... Il s'agit peut-être de bluff
bonsoir , votre ami à 54 ans est un peu naif !! quand ont ne veux pas d'enfant + ne pas prendre le risque d'avoir le sida le mieux c'est de se protéger , il vaut mieux avoir un enfant que d'attraper une maladie
moi si j'etais à la place de votre ami je m'assurerai que c'est vraiment le mien
moi si j'etais à la place de votre ami je m'assurerai que c'est vraiment le mien
une femme de 48 ans enceinte .votre ami n'a pas de chance .il faut vraiment s'assurer qui est le père
M@thew
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4 juil. 2012 à 20:39
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Bonsoir.
Vous répondez à un sujet posté le 27 juin...2009
Quel intérêt ?
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Quand on impose une relation sexuelle à une femme sans son consentement, cela s'appelle un "viol",
quand on impose un enfant à un homme sans son consentement cela s'appelle un "viol" aussi.
Pour que l'injustice s'arrête rejoignez nous sur facebook "PERE MALGRE MOI" pour faire changer cette loi qui condamne un homme d'avance
quand on impose un enfant à un homme sans son consentement cela s'appelle un "viol" aussi.
Pour que l'injustice s'arrête rejoignez nous sur facebook "PERE MALGRE MOI" pour faire changer cette loi qui condamne un homme d'avance
Absolument d'accord! Je suis un homme et je connais cette affreuse situation. Je constate que le mot manque pour désigner cette "chose": quand un homme pénètre une femme par la force et prend possession de son intimité, la chose est entendue, c'est un viol.
Or, le fait de prendre possession d'un homme en lui imposant un enfant, avec toute les conséquences que cela entraîne, n'est une infamie que depuis l'avènement des moyens de contraception. Depuis l'avènement de la contraception, l'acte sexuel est devenu distinct de l'acte de procréation. Une femme qui invite un homme à un acte de procréation ( elle est la seule à le savoir) en lui faisant croire qu'il s'agit d'un simple acte sexuel prend, si une grossesse s'en suit, possession de cet homme et promet son enfant à une vie de conflit entre ses parents. Ce mensonge, selon moi, est au moins aussi terrible et criminel que le viol d'un homme sur une femme.
A la seule différence, c'est qu'il n'a pas encore de nom (cette entourloupe n'existe que depuis l'avènement de la contraception, or les mots mettent longtemps à naître et à se répandre). Aujourd'hui, il est clair qu'on nie la réalité de ce crime, car pour le désigner, il faut de longues explications, souvent chargées démotion, de passion, et de bouleversement. Comme il est compliqué à nommer, on dit qu'il n'existe pas, ou pas vraiment...
Si le mot existait, ce crime serait, j'en suis sûr, reconnu pour ce qu'il est, et je demeure convaincu qu'une société de pères consentants serait meilleure qu'une société où les paternités sont subies.
Or, le fait de prendre possession d'un homme en lui imposant un enfant, avec toute les conséquences que cela entraîne, n'est une infamie que depuis l'avènement des moyens de contraception. Depuis l'avènement de la contraception, l'acte sexuel est devenu distinct de l'acte de procréation. Une femme qui invite un homme à un acte de procréation ( elle est la seule à le savoir) en lui faisant croire qu'il s'agit d'un simple acte sexuel prend, si une grossesse s'en suit, possession de cet homme et promet son enfant à une vie de conflit entre ses parents. Ce mensonge, selon moi, est au moins aussi terrible et criminel que le viol d'un homme sur une femme.
A la seule différence, c'est qu'il n'a pas encore de nom (cette entourloupe n'existe que depuis l'avènement de la contraception, or les mots mettent longtemps à naître et à se répandre). Aujourd'hui, il est clair qu'on nie la réalité de ce crime, car pour le désigner, il faut de longues explications, souvent chargées démotion, de passion, et de bouleversement. Comme il est compliqué à nommer, on dit qu'il n'existe pas, ou pas vraiment...
Si le mot existait, ce crime serait, j'en suis sûr, reconnu pour ce qu'il est, et je demeure convaincu qu'une société de pères consentants serait meilleure qu'une société où les paternités sont subies.