Pas de reponse de la par du procureur

Bonjour,
le 24 décembre 2008 mon mari a complètement disjoncter j'avais déjà subi de sa part des violences conjugal malgré les prise en charge de soins sur son alcoolisme ce soir la ma famille va vivre un cauchemar il a passer sa journée a s'enivrer la peur au ventre je me faisait toute petite vers 22heure il part dans le salon arme un fusil mon frère présent le suit il hurle que nous devons sortir avec les enfants il est armer j'appelle la police qui interviendra nous sommes sous le choc la police arrête mon époux et nous on dépose une plainte le soir même la police nous gardera jusqu'à 4heure du matin pour nous informer que mon mari n'est pas compatible avec une garde a vu car il a été conduit a l' hôpital et y restera jusqu'à midi et nous devions partir du domicile mon frère et moi étions abasourdi je me suis présenter tout de suite au planning familiale et nous avons écris au procureur j'en suis au 2 courrier sans réponse le meilleur est a venir mon mari était en attente d'incarcération pour des fait autre conduite en état d'ivresse non assistance a personne en danger et avait été condamner a18 mois ferme rebondissement la police me contacte et m'annonce que ma procédure n'aura pas de suite mais que sont incarcération est applicable donc le 26 décembre 2008 il est en prison par pour les fait du 24 je récris au procureur lui relate les fait toujours rien a ce jour une demande en divorce est en cour a oui j'ai du quitter le domicile car la maison lui appartient depuis le 24 j'ai vécu en mobhilome depuis j'ai trouver un logement avec ma fille la justice nous a abandonner s'est mon ressentit mon frère s'est lui le héros il à risquer sa vie pour sauver sa famille la police le procureur il leur fallait quoi un fait divers dramatique pour que la machine judiciaire fonctionne le traumatisme que nous avons subi reste a jamais dans nos mémoire en plus j'ai le sentiment que la justice qui na pas été rendu que faire pour que ma plainte aboutisse pour que le procureur face son travail que la justice face son boulot .