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19 réponses
Utilisateur anonyme
6 mars 2009 à 23:21
6 mars 2009 à 23:21
Bonjour
Notre dernier échange date du 2/12/2008. Je ne reviens qu'aujourd'hui informer la communauté : je sors aujourd'hui du bureau du directeur MACIF Toulouse, et nous avons eu gain de cause.
Nous sommes 18 mois après le vol.
Nos échanges avec vous m'ont renforcés dans la décision que j'avais à prendre à l'époque: quelle ligne de conduite (maintenir mes positions, céder, transiger), quel risque de telle ou telle position, quelles marges.
J'ai donc maintenu une position ferme: ne pas céder, ne pas transiger
De décembre jusqu'à mi-février, les courriers se sont accélérés, et durcis de part et autre. Je n'ai pas cédé. La MACIF a avancé qu'ils poursuivraient en justice la restitution de l'indemnité de remboursement du vol, ainsi que tous les frais (huissier, justice, expertise, transport, etc ...), et je leur ai répondu calmement tout en cherchant à les déstabiliser et à les faire sortir du cadre de leur contrat.
Parallèlement cette période m'a permis d'étoffer mon dossier.
J'ai pu surtout trouver une information dans les circuits internes MACIF m'indiquant que la MACIF avait eu une information selon laquelle le vehicule aurait été retrouvé quelques semaines après le vol, et non pas 1 an après comme officiellement indiqué par eux.
N'ayant aucune preuve écrite j'ai avancé cette nouvelle donnée sans communiquer de précision.
Il s'est avéré ensuite qu'effectivement la voiture était stockée depuis 1 an en Espagne sur un parking administratif
Mon info laconique + le fait que la voiture était détenue par une administration les a fait douter d'eux-même. Ils ont pu se dire qu'ils n'avaient pas exploité une info concernant la probale resurgence du véhicule, et qu'il avaient en face d'eux quelqu'un de déterminé et qui gardait des armes pour une éventuel règlement en justice.
La voiture volée en août 2007 et officiellement (au sens MACIF) retrouvée en Sept 2008 n'a été expertisée qu'en
Dec 2008, date à laquelle la MACIF a fait connaître sa position. Or la MACIF nous avait indiqué en Septembre que nous avions 1 mois à partir de la date de retour du véhicule pour faire valoir notre droit à le reprendre, ce qui sous-entendait que l'expertise devait être terminée sous 1 mois. J'ai exploité leur dérive du délai comme un dysfonctionnement dans leurs procédures ayant abouti à une entrave dans l'exercice de notre droit.
J'ai réuni plusieurs autres éléments qui les ont déstabilisés. Comme par exemple ma demande de restitution des effets personnels, forcément encore présents dans la voiture puisque d'après eux celle-ci n'avait pas été ouverte. Or ils n'ont pas répondu à ce courrier ...
Las d'échanger des courriers avec un agent du centre d'Agen, très professionnel et courtois, mais dont la fonction ne lui permettait pas de sortir du cadre de la procédure et du contrat, j'ai demandé à rencontrer un directeur, avec pour seul but de figer nos positions respectives et de nous en informer mutuellement.
Ce directeur m'a appelé lui-même semaine dernière.
Je l'ai rencontré aujourd'hui. J'avais pris l'optique d'être froid et décidé dès le début de réunion. J'ai rappelé les griefs en lui demandant des explications. Il m'a alors très rapidement annoncé qui'il avait bien analysé le dossier, et que la MACIF renonçait à me réclamer quoi que ce soit.
Content que cette affaire se termine.
Merci encore
Notre dernier échange date du 2/12/2008. Je ne reviens qu'aujourd'hui informer la communauté : je sors aujourd'hui du bureau du directeur MACIF Toulouse, et nous avons eu gain de cause.
Nous sommes 18 mois après le vol.
Nos échanges avec vous m'ont renforcés dans la décision que j'avais à prendre à l'époque: quelle ligne de conduite (maintenir mes positions, céder, transiger), quel risque de telle ou telle position, quelles marges.
J'ai donc maintenu une position ferme: ne pas céder, ne pas transiger
De décembre jusqu'à mi-février, les courriers se sont accélérés, et durcis de part et autre. Je n'ai pas cédé. La MACIF a avancé qu'ils poursuivraient en justice la restitution de l'indemnité de remboursement du vol, ainsi que tous les frais (huissier, justice, expertise, transport, etc ...), et je leur ai répondu calmement tout en cherchant à les déstabiliser et à les faire sortir du cadre de leur contrat.
Parallèlement cette période m'a permis d'étoffer mon dossier.
J'ai pu surtout trouver une information dans les circuits internes MACIF m'indiquant que la MACIF avait eu une information selon laquelle le vehicule aurait été retrouvé quelques semaines après le vol, et non pas 1 an après comme officiellement indiqué par eux.
N'ayant aucune preuve écrite j'ai avancé cette nouvelle donnée sans communiquer de précision.
Il s'est avéré ensuite qu'effectivement la voiture était stockée depuis 1 an en Espagne sur un parking administratif
Mon info laconique + le fait que la voiture était détenue par une administration les a fait douter d'eux-même. Ils ont pu se dire qu'ils n'avaient pas exploité une info concernant la probale resurgence du véhicule, et qu'il avaient en face d'eux quelqu'un de déterminé et qui gardait des armes pour une éventuel règlement en justice.
La voiture volée en août 2007 et officiellement (au sens MACIF) retrouvée en Sept 2008 n'a été expertisée qu'en
Dec 2008, date à laquelle la MACIF a fait connaître sa position. Or la MACIF nous avait indiqué en Septembre que nous avions 1 mois à partir de la date de retour du véhicule pour faire valoir notre droit à le reprendre, ce qui sous-entendait que l'expertise devait être terminée sous 1 mois. J'ai exploité leur dérive du délai comme un dysfonctionnement dans leurs procédures ayant abouti à une entrave dans l'exercice de notre droit.
J'ai réuni plusieurs autres éléments qui les ont déstabilisés. Comme par exemple ma demande de restitution des effets personnels, forcément encore présents dans la voiture puisque d'après eux celle-ci n'avait pas été ouverte. Or ils n'ont pas répondu à ce courrier ...
Las d'échanger des courriers avec un agent du centre d'Agen, très professionnel et courtois, mais dont la fonction ne lui permettait pas de sortir du cadre de la procédure et du contrat, j'ai demandé à rencontrer un directeur, avec pour seul but de figer nos positions respectives et de nous en informer mutuellement.
Ce directeur m'a appelé lui-même semaine dernière.
Je l'ai rencontré aujourd'hui. J'avais pris l'optique d'être froid et décidé dès le début de réunion. J'ai rappelé les griefs en lui demandant des explications. Il m'a alors très rapidement annoncé qui'il avait bien analysé le dossier, et que la MACIF renonçait à me réclamer quoi que ce soit.
Content que cette affaire se termine.
Merci encore
7 mars 2009 à 16:59
Je suis très content pour vous! Bravo. Et merci de nous avoir tenus informés de la conclusion de vitre affaire.
Cordialement
Chabert