Comment repondre au harcellement du propriéta

Bonjour,

Locataire d'un haut de villa, d'une villa comptant 4 logements, la gérante de la SCI(propriétaire pour une partie de cette villa)habite le bas de la villa. Lors de notre emmenagement en fevrier 2007, nous l'avons avertie que nous avions un chien, elle nous a répondu que cela ne posait pas de probléme.
Aujourd'hui, parce que nous lui avons demandé à maintes reprises pendant plus d'un mois la réparation de la climatisation d'une des chambre (Nous l'avions déja alerté dans les mois qui ont suivi notre emmenagement que cette climatisation reversible fuyait, c'est à dire dés que nous avons voulu nous en servir), Elle a d'abord dit non, puis elle a fait venir une entreprise , qui a demonté la cilmatisation, a mis un tuyau pour que l'eau s'évacue dans un sceau jsute à côté d'une prise electrique, cela dans la chambre de mon fils, puis plus rien, nous lui avons donc demandé ce qu'il se passait, aprsè plusieurs demande, elle nous a dit qu'elle faisait venir son cousin, qui est venu est reparti. Nous lui avons donc demandé quand elle opensait que la climatisation serait réparée.Elle a consiéré que nous l'agressions et que nous la harcellions et n'a pas voulu nous répondre. quelques jours plus tard la climatisation a été réparé.
Mais considérant que l'avions agréssée, elle a décidé de porter plainte contre nous.Elle nous interdit desormais de sortir notre chien dans la cours, nous demande de ne plus rentrer nos voitures dans la cours (ce que font tous les autres locataires) alors même que nous ne pouvons pas nous garer devant la villa, puisqu'elle se trouve dans une impasse.
Par ailleurs , chaque mois en plus de notre loyer de 1200 euros, nous versons 100 euros de charges correspondants pour 30 euros à l'entretien de la pompe d'eau et pour 70 euros à notre consommation d'eau.
Depuis 18 mois que nous habitons ici, elle ne nous a fourni aucun justificatifs de ces charges. Notre compteur d'eau a été relevé le jour de notre entrée dans les lieux, mais jamais depuis.
Que pouvons nous faire