Interdiction de contact
Isadore Messages postés 1628 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -
Bonjour, mon conjoint a une interdiction de contact pour 6 mois. Mais qu’il pouvait voir notre enfant ce que je désire également. Malgrer cette interdiction, ma conseillère juridique m’a dit que je pouvais lui envoyer un mail pour organiser des visites parentales afin qu’il puisse voir son fils et uniquement des mails d’échange d’échanges dans l’intérêt de notre enfant. En effet nous n’avons pas de personne tierce pour organiser cela. Pouvez vous me confirmer que mon conjoint ne risque rien sachant que c’est moi qui le contact pour cette mise en place. Malgrer les conseils de ma conseillère juridique j’aimerai avoir d’autres avis. Merci beaucoup.
2 réponses
Bonjou
Quelle conseillère juridique ? Une avocate ?
Elle vous a conseillé d'organiser des visites ou vous avez demandé ?
S'il a une interdiction de contact, vous ne pouvez vous contacter et encore moins vous voir .
Non seulement il n’appliquerait pas son obligation , mais vous non plus, en ne protégeant pas votre enfant d'être témoin de violence :
Qu'il y ait une enquête sociale pour vérifier que vous satisfaisiez à vos devoirs à ce niveau et qu'à défaut il y ait des mesures de protection allant jusqu'au placement, ce n'est pas rare .
S'il veut voir son enfant ,c'est curieux que ce soit vous qui fassiez cette démarche, il va voir son avocat ,qui lui conseillera surement d'aller vers des associations qui organisent des visites médiatisées , comme celà VOS devoirs seront satisfaits .
Bonjour,
Il ne risque rien si vous le contacter, mais vous répondre lui fait encourir la prison. Ce sera un genre de communication à sens unique.
Comme l'a dit Jang si voir votre enfant l'intéresse il peut passer par son avocat ou une association.
Au passage il faut aussi vous inquiéter pour vous, car vous n'êtes pas seulement victime mais aussi chargée de la protection de votre enfant. Il ne faut pas jeter de doute sur votre capacité à exercer votre rôle de parent.
Il vaut mieux voir un avocat.