Inscription sport

Josie_123 Messages postés 1 Date d'inscription samedi 29 juillet 2023 Statut Membre Dernière intervention 29 juillet 2023 - 29 juil. 2023 à 15:15
Ysabe_l Messages postés 12584 Date d'inscription vendredi 12 avril 2013 Statut Contributeur Dernière intervention 26 novembre 2024 - 29 juil. 2023 à 16:42

Bonjour,

J'aimerais savoir si un parent peut inscrire un enfant à un sport (ex: lutte, boxe, karaté, taekwondo, judo...) sur son temps de garde même si l'autre parent n'est pas d'accord sur le choix du club (ok pour le sport mais pas le club). De sorte que l'enfant ne pourra pas aller chaque semaine au sport mais que 1 semaine sur 2, sachant que des propositions ont été faites pour que l'enfant puisse aller au sport qu'il a choisi toutes les semaines. Est-ce que le club peut refuser en vertu de l'autorité parentale ou est ce que l'autre parent fait ce qu'il veut?

Merci de ne pas juger,

Cordialement 

1 réponse

Ysabe_l Messages postés 12584 Date d'inscription vendredi 12 avril 2013 Statut Contributeur Dernière intervention 26 novembre 2024 8 639
29 juil. 2023 à 16:42

Bonjour

Le club peut refuser du fait qu'en ne venant qu'une semaine sur deux l'enfant va rater la moitié des cours et que le professeur en devant lui reexpliquer ne pourra pas faire avancer le reste du groupe. Mais il ne peut pas refuser au nom de l'autorité parentale, inscrire son enfant à une activité sportive relève des actes du quotidien pour lesquels L'Accord des 2 parents n'est pas obligatoire. 

C'est différent s'il s'agit de l'inscrire à haut niveau avec des compétitions, la plupart du temps l'inscription aux compétitions requiert l'accord des 2 parents. 

Pour le reste le parent a le droit d'inscrire son enfant à une activité sur son temps de garde sans que l'autre patent n'ait à y redire. Ceci bien évidemment à condition que l'activité en question ne nuise pas à l'enfant. Par exemple si sous couvert de faire une activité sportive se cache en fait une secte, bien évidemment que l'autre patent peut réunir des preuves et saisir le jaf pour mise en danger de l'enfant. Cet exemple est volontairement exagéré bien évidemment. 

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