Succession et expertise immobilière
Jerome
-
LaBeotienne Messages postés 3452 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -
LaBeotienne Messages postés 3452 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -
26/01/2022 Suite au décès de son conjoint, la veuve peut-elle économiser aujourd'hui le coût d'une expertise immobilière (qui lui est devisée 1'580 € !!! ) concernant sa maison, qu'elle souhaite continuer à occuper elle-même ?
En effet, suite à donation entre époux, elle est donc -sauf erreur- usufruitière légale du quart des biens composant la succession.
Les seuls héritiers, indivisément chacun pour un tiers, sont les trois enfants issus de l'union du défunt avec son conjoint survivant, les trois étant de fait en hoirie.
Le décès du conjoinr survivant, mettant fin à la hoirie, permettra de procéder ainsi au partage successoral nécessitant alors seulement une expertise immobilière.
En effet, suite à donation entre époux, elle est donc -sauf erreur- usufruitière légale du quart des biens composant la succession.
Les seuls héritiers, indivisément chacun pour un tiers, sont les trois enfants issus de l'union du défunt avec son conjoint survivant, les trois étant de fait en hoirie.
Le décès du conjoinr survivant, mettant fin à la hoirie, permettra de procéder ainsi au partage successoral nécessitant alors seulement une expertise immobilière.
A voir également:
- Succession et expertise immobilière
- Société civile immobilière - Guide
- Grille salaire expertise comptable 2025 - Guide
- Droit de succession - Guide
- Frais de notaire pour une succession entre frère et sœur - Guide
- Bon au porteur anonyme et succession - Guide
1 réponse
les trois étant de fait en hoirie.
Le décès du conjoinr survivant, mettant fin à la hoirie,
Qu'est-ce ce charabia ?
la veuve peut-elle économiser aujourd'hui le coût d'une expertise immobilière
Le conjoint survivant est le terme approprié.
Rien ne prive les héritiers de prendre l'initiative de faire expertiser le patrimoine immobilier
suite à donation entre époux, elle est donc -sauf erreur- usufruitière légale du quart des biens composant la succession.
Certainement pas.
permettra de procéder ainsi au partage successoral nécessitant alors seulement une expertise immobilière.
La valeur à retenir dans un partage est celle correspondant aux prix pratiqués pour des biens similaires vendus dans le même secteur et non sur l'expertise réalisée à l'ouverture de la succession.
Le décès du conjoinr survivant, mettant fin à la hoirie,
Qu'est-ce ce charabia ?
la veuve peut-elle économiser aujourd'hui le coût d'une expertise immobilière
Le conjoint survivant est le terme approprié.
Rien ne prive les héritiers de prendre l'initiative de faire expertiser le patrimoine immobilier
suite à donation entre époux, elle est donc -sauf erreur- usufruitière légale du quart des biens composant la succession.
Certainement pas.
permettra de procéder ainsi au partage successoral nécessitant alors seulement une expertise immobilière.
La valeur à retenir dans un partage est celle correspondant aux prix pratiqués pour des biens similaires vendus dans le même secteur et non sur l'expertise réalisée à l'ouverture de la succession.
qui lui est devisée 1'580 €
C'est bien cher. Pour la maison de mes parents, de l'ordre de 500 euros au total pour 2 agences immobilières. Nous avons fait la moyenne des 2 net vendeur pour la déclaration de succession et nous la vendons à ce prix-là.
Pensez à un éventuel inventaire des meubles meublants, réalisé par un commissaire-priseur.