Refus d'inaptitude du médecin du travail
Bonjour,
Embauché depuis plus de 15 ans dans mon entreprise, plus en intérim pendant 3 ans, j'ai eut un arrêt en mars 2017 jusqu'au 30 octobre 2017 pour dépression lié au relationnel avec quelques collègues qui font la pluie et le bon temps sur mon lieu de travail, et suivi 1 à 2 fois par moi par un psy depuis avril 2017. À mon retour, j'ai rencontré le médecin du travail qui n'a pas osé me mettre en inaptitude car il a constaté mon envie de vouloir me relever il m'a donné un rdv 1,5 moi plus tard durant lequel j'ai travaillé la moitié pour congés à rattraper.
Problème durant cette période travaillée, la situation c'est dégradé et lorsque j'ai rencontré le médecin du travail ce n'était plus le même. Il m'as conseillé devant mon mal être de retourner voir mon médecin traitant, chose faite. Je suis donc en arrêt de nouveau pour dépression depuis le 13 décembre, le problème est que je ne peux plus y retourner c'est au dessus de mes forces, malgré une rencontre avec un psy de la médecine du travail qui m'a dit ne pas me voir reprendre et plusieurs rdv de pré reprises, durant le dernier, le médecin du travail a refusé de me déclarer inapte et de prendre mes responsabilités de démissionner, je suis perdu et j'ai l'impression de ne rien comprendre j'ai donné 18 ans de ma vie pour cette entreprise, mon foyer pourrait être en péril et a déjà subi beaucoup trop de conséquences. Quelqu'un pourrait il m'orienter svp
Embauché depuis plus de 15 ans dans mon entreprise, plus en intérim pendant 3 ans, j'ai eut un arrêt en mars 2017 jusqu'au 30 octobre 2017 pour dépression lié au relationnel avec quelques collègues qui font la pluie et le bon temps sur mon lieu de travail, et suivi 1 à 2 fois par moi par un psy depuis avril 2017. À mon retour, j'ai rencontré le médecin du travail qui n'a pas osé me mettre en inaptitude car il a constaté mon envie de vouloir me relever il m'a donné un rdv 1,5 moi plus tard durant lequel j'ai travaillé la moitié pour congés à rattraper.
Problème durant cette période travaillée, la situation c'est dégradé et lorsque j'ai rencontré le médecin du travail ce n'était plus le même. Il m'as conseillé devant mon mal être de retourner voir mon médecin traitant, chose faite. Je suis donc en arrêt de nouveau pour dépression depuis le 13 décembre, le problème est que je ne peux plus y retourner c'est au dessus de mes forces, malgré une rencontre avec un psy de la médecine du travail qui m'a dit ne pas me voir reprendre et plusieurs rdv de pré reprises, durant le dernier, le médecin du travail a refusé de me déclarer inapte et de prendre mes responsabilités de démissionner, je suis perdu et j'ai l'impression de ne rien comprendre j'ai donné 18 ans de ma vie pour cette entreprise, mon foyer pourrait être en péril et a déjà subi beaucoup trop de conséquences. Quelqu'un pourrait il m'orienter svp
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hoquei44
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24 oct. 2018 à 18:09
24 oct. 2018 à 18:09
Bonjour,
L'abandon de poste est la pire arnaque possible. Cela fera la joie de l'employeur !!!
En abandon de poste, pas de salaire évidemment puisque vous ne travaillez pas. Vous avez interdiction de travailler ailleurs ni même de percevoir la moindre indemnisation chômage, car vous êtes censé travailler.
Une fois la procédure terminée (contrairement à la légende des 2 mois qui circule sur Internet, il n'y a aucun délai pour vous licencier cela dépasser régulièrement l'année), l'absence est prise en compte par Pôle-Emploi car vous avez cotisé à 0€ ce qui fait chuter très fortement votre éventuelle indemnisation (une indemnisation à environ 51% de votre salaire au bout de 3 mois d'abandon au lieu du maximum).
Si l'employeur vous arnaque sur le solde, vous l'avez dans l'os car c'est vous qui avez le plus à perdre en cas de procédure judiciaire. Car devant un tribunal, l'abandon de poste est passible du versement de lourdes indemnités (c'est vous qui devez verser votre salaire (en brut) à votre employeur durant la période de préavis non-effectué.
La démission est plus rentable, car si vous cherchez réellement du travail, rien ne vous interdit de passer devant la commission paritaire afin de percevoir une indemnisation bien que vous ayez démissionné.
Mettez vos CV à jour et rechercher du travail ailleurs.
CB
L'abandon de poste est la pire arnaque possible. Cela fera la joie de l'employeur !!!
En abandon de poste, pas de salaire évidemment puisque vous ne travaillez pas. Vous avez interdiction de travailler ailleurs ni même de percevoir la moindre indemnisation chômage, car vous êtes censé travailler.
Une fois la procédure terminée (contrairement à la légende des 2 mois qui circule sur Internet, il n'y a aucun délai pour vous licencier cela dépasser régulièrement l'année), l'absence est prise en compte par Pôle-Emploi car vous avez cotisé à 0€ ce qui fait chuter très fortement votre éventuelle indemnisation (une indemnisation à environ 51% de votre salaire au bout de 3 mois d'abandon au lieu du maximum).
Si l'employeur vous arnaque sur le solde, vous l'avez dans l'os car c'est vous qui avez le plus à perdre en cas de procédure judiciaire. Car devant un tribunal, l'abandon de poste est passible du versement de lourdes indemnités (c'est vous qui devez verser votre salaire (en brut) à votre employeur durant la période de préavis non-effectué.
La démission est plus rentable, car si vous cherchez réellement du travail, rien ne vous interdit de passer devant la commission paritaire afin de percevoir une indemnisation bien que vous ayez démissionné.
Mettez vos CV à jour et rechercher du travail ailleurs.
CB
24 oct. 2018 à 18:41