Période d essai
mouton5
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16 oct. 2014 à 14:43
mouton5 - 17 oct. 2014 à 11:22
mouton5 - 17 oct. 2014 à 11:22
A voir également:
- Période d essai
- Periode d'essai non payée - Guide
- Courrier validation période d'essai - Guide
- Démission puis rupture période d'essai chomage - Guide
- Enceinte en période d'essai cdi - Guide
- Depression periode d'essai - Forum periode d'essai
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Malia87
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jeudi 16 octobre 2014
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17 octobre 2014
16 oct. 2014 à 22:13
16 oct. 2014 à 22:13
Pour vos indemnité, cela dépend. Votre CDD était de quel durée ? Il faut avoir travaillé au moins quatre mois sur les derniers mois pour pouvoir prétendre au chômage.
Mais attention ! Voilà la réponse que j'ai trouvé sur le site terrafemina :
Rupture de période d'essai à l'initiative du salarié
Si le salarié est lui-même à l'origine de la rupture, il n'a, en théorie pas droit à des allocations chômage immédiates. Mais plusieurs cas de figure restent toutefois envisageables. Ainsi, Albert Hamoui, avocat à Paris spécialisé en droit du travail interrogé par Keljob.com, recommande deux solutions : demander à l'employeur de rompre cette période d'essai à la place de l'employé, « ce n'est pas vraiment dans son intérêt de retenir un salarié malheureux chez lui », ou optez pour une astuce administrative.
En effet, selon la convention du 6 mai 2011, si un salarié embauché suite à un licenciement ou après une fin de CDD sans inscription comme demandeur d'emploi met fin à sa période d'essai dans un délai de 91 jours, il pourra obtenir des allocations chômage. L'idée ? Ne pas s'inscrire tout de suite à Pôle emploi après un licenciement ou une fin de CDD : « Ainsi, si la période d'essai tourne mal (de l'emploi suivant, NDLR), vous pourrez toujours vous inscrire sur la base de votre contrat précédent comme si ce CDI potentiel n'avait pas existé », avait-il ainsi expliqué.
Mais attention ! Voilà la réponse que j'ai trouvé sur le site terrafemina :
Rupture de période d'essai à l'initiative du salarié
Si le salarié est lui-même à l'origine de la rupture, il n'a, en théorie pas droit à des allocations chômage immédiates. Mais plusieurs cas de figure restent toutefois envisageables. Ainsi, Albert Hamoui, avocat à Paris spécialisé en droit du travail interrogé par Keljob.com, recommande deux solutions : demander à l'employeur de rompre cette période d'essai à la place de l'employé, « ce n'est pas vraiment dans son intérêt de retenir un salarié malheureux chez lui », ou optez pour une astuce administrative.
En effet, selon la convention du 6 mai 2011, si un salarié embauché suite à un licenciement ou après une fin de CDD sans inscription comme demandeur d'emploi met fin à sa période d'essai dans un délai de 91 jours, il pourra obtenir des allocations chômage. L'idée ? Ne pas s'inscrire tout de suite à Pôle emploi après un licenciement ou une fin de CDD : « Ainsi, si la période d'essai tourne mal (de l'emploi suivant, NDLR), vous pourrez toujours vous inscrire sur la base de votre contrat précédent comme si ce CDI potentiel n'avait pas existé », avait-il ainsi expliqué.
17 oct. 2014 à 11:22