Accusé de sous-location suite à l'hébergement du conjoint
Hel-am
Messages postés
5
Date d'inscription
vendredi 8 novembre 2013
Statut
Membre
Dernière intervention
12 novembre 2013
-
8 nov. 2013 à 03:49
Hel-am Messages postés 5 Date d'inscription vendredi 8 novembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 12 novembre 2013 - 8 nov. 2013 à 09:34
Hel-am Messages postés 5 Date d'inscription vendredi 8 novembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 12 novembre 2013 - 8 nov. 2013 à 09:34
A voir également:
- Accusé de sous-location suite à l'hébergement du conjoint
- Contrat de location entre particuliers gratuit à imprimer - Guide
- Protection du consommateur location de voiture - Guide
- Contrat location meublé pdf - Guide
- Modele testament pour déshériter son conjoint - Guide
- Annulation location vacances particulier - Guide
2 réponses
Hel-am
Messages postés
5
Date d'inscription
vendredi 8 novembre 2013
Statut
Membre
Dernière intervention
12 novembre 2013
Modifié par Hel-am le 8/11/2013 à 06:51
Modifié par Hel-am le 8/11/2013 à 06:51
Bonjour,
Je vous remercie pour votre réponse.
Cependant, je pense m'être mal exprimé. L'ADIL m'a confirmé qu'il était prohibé d'interdire d'héberger un proche. Et que j'étais donc dans mon droit.
Concernant l'occupation des pièces communes, je m'efforce de ne jamais être en cuisine. Je ne la fais pas, pour n'importuner personne. Je précise qu'il n 'y a aucun salon, la cuisine est la seule "pièce de vie commune, plutôt petite, sans possibilité d'y manger. Nous partons le matin et rentrons le soir. D'autres colocataires avouant même ne jamais me voir.
Concernant les douches, il y en a plusieurs dans le logement, nous nous lavons ensemble pour éviter tout désagrément aux autres locataires ou même une augmentation trop sensible des charges.
Augmentation largement compensée, et à mon sens au delà, par notre présence ponctuelle dans ce logement, jamais plus de 4 jours par semaines, et jamais la journée.
Encore merci pour le temps que vous avez consacré à ma question.
Je vous remercie pour votre réponse.
Cependant, je pense m'être mal exprimé. L'ADIL m'a confirmé qu'il était prohibé d'interdire d'héberger un proche. Et que j'étais donc dans mon droit.
Concernant l'occupation des pièces communes, je m'efforce de ne jamais être en cuisine. Je ne la fais pas, pour n'importuner personne. Je précise qu'il n 'y a aucun salon, la cuisine est la seule "pièce de vie commune, plutôt petite, sans possibilité d'y manger. Nous partons le matin et rentrons le soir. D'autres colocataires avouant même ne jamais me voir.
Concernant les douches, il y en a plusieurs dans le logement, nous nous lavons ensemble pour éviter tout désagrément aux autres locataires ou même une augmentation trop sensible des charges.
Augmentation largement compensée, et à mon sens au delà, par notre présence ponctuelle dans ce logement, jamais plus de 4 jours par semaines, et jamais la journée.
Encore merci pour le temps que vous avez consacré à ma question.
bonjour, Dans une location classique, il n'y aurait aucun problème pour que vous viviez ensemble dans le logement qu'il soit meublé ou non.
Là il s'agit de collocation, et il est certain que si chaque colocataire amenait une autre personne, ça pourrait poser problème au moins au niveau de l'occupation des parties communes : cuisine et surtout salle de bain.
Il serait normal que par exemple si à l'origine il y a 3 colocataires pour un loyer de 600 euros (donc chacun paie 200 euros), si on ajoute une personne les 600 euros devraient être partagés en 4 si un colocataire héberge quelqu'un ce qui ferait 600 : 4 = 150, ce qui fait qu'à vous deux vous auriez 300 euros à payer pour que ce soit équitable envers les autres colocataires.
Il se peut que les autres ne soient pas enchantés d'avoir "une part" du logement occupé par deux personnes, qui occupent peut-être qu'une seule chambre, mais occupent plus de temps dans la salle de bain le matin par exemple.
Le mieux serait de prendre une location simple, quitte à ce que ce soit un petit studio.
D'ailleurs, l'ADIL vous l'a bien dit que c'était prohibé.
Quant aux charges, que vous soyer un ou deux pour le chauffage, ça ne change rien mais pour l'eau chaude et froide, ça multiplie par deux, pour l'électricité, il peut y en avoir un peu plus aussi.
Ce n'est pas une situation normale, au moins pour les autres colocataires.... supposez 5 mn que tous fassent pareil, ça deviendrait invivable.
Là il s'agit de collocation, et il est certain que si chaque colocataire amenait une autre personne, ça pourrait poser problème au moins au niveau de l'occupation des parties communes : cuisine et surtout salle de bain.
Il serait normal que par exemple si à l'origine il y a 3 colocataires pour un loyer de 600 euros (donc chacun paie 200 euros), si on ajoute une personne les 600 euros devraient être partagés en 4 si un colocataire héberge quelqu'un ce qui ferait 600 : 4 = 150, ce qui fait qu'à vous deux vous auriez 300 euros à payer pour que ce soit équitable envers les autres colocataires.
Il se peut que les autres ne soient pas enchantés d'avoir "une part" du logement occupé par deux personnes, qui occupent peut-être qu'une seule chambre, mais occupent plus de temps dans la salle de bain le matin par exemple.
Le mieux serait de prendre une location simple, quitte à ce que ce soit un petit studio.
D'ailleurs, l'ADIL vous l'a bien dit que c'était prohibé.
Quant aux charges, que vous soyer un ou deux pour le chauffage, ça ne change rien mais pour l'eau chaude et froide, ça multiplie par deux, pour l'électricité, il peut y en avoir un peu plus aussi.
Ce n'est pas une situation normale, au moins pour les autres colocataires.... supposez 5 mn que tous fassent pareil, ça deviendrait invivable.
kasom
Messages postés
32261
Date d'inscription
samedi 25 septembre 2010
Statut
Modérateur
Dernière intervention
29 octobre 2024
8 830
8 nov. 2013 à 08:51
8 nov. 2013 à 08:51
Ce n'est pas une situation normale, au moins pour les autres colocataires
mais on ne vous demande pas une réflexion, on vous demande ne réponse de droit
joli texte mais à coté de la plaque...
mais on ne vous demande pas une réflexion, on vous demande ne réponse de droit
joli texte mais à coté de la plaque...
8 nov. 2013 à 08:52
L'ADIL m'a confirmé qu'il était prohibé d'interdire d'héberger un proche. Et que j'étais donc dans mon droit.
et elle a raison, que vous faut il de plus ?
8 nov. 2013 à 09:34
Mais d'après ma recherches, la cours de cassation a confirmé la décision d'une cour d'appel, arrêtant que l'on ne pouvait caractériser la sous location entre concubins de longue date., et rejeté le pourvoi des bailleurs sur ce point.
"Attendu que constatant que B... était depuis fort longtemps le concubin de demoiselle E..., la cour d'appel a pu décider qu'il ne pouvait être considéré comme sous-locataire ;
Que le premier moyen n'est pas fonde ;"
Ref : cour de cassation, chambre sociale, audience du 12 mars 64
Je n'aurais qu'à prouver ce concubinage avec mes quittances de loyer de domicile commun, et je pense que ça ira.
Merci d'avoir pris le temps de me répondre.
Cordialement