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4 réponses
Chaque banque a son système qui lui est propre, voire plusieurs systèmes dans certains réseaux (le CA par exemple).
Ensuite, ben...le système de gestion applique strictement son paramétrage qui découle des tables de tarification en place qui sont souvent l'application de directives légales : 20 € pour un rejet de prélèvements, 30 € ou 50 € pour un chèque rejeté...
Pour les autre tarifs : le prix de revient, le niveau de facturation de la concurrence
Les dates de valeur (autre système de facturation, via les agios...) se sont simplifiées et sont encadrées depuis juillet 2009.
Et stricto sensu : « agio » = intérêts débiteurs et le reste est « facturations »
Parlez plutôt de "facturation" que de "frais", le premier concept se rattache à la notion de coût de l'intervention, le second plus à de l'empirique. Le premier : vu du côté banque, le second....vu du côté client.
Et nous nous orientons de plus en plus vers des limitations globales des facturations unitaires cela commencé avec les "clientèles fragiles" et la GPA (Gamme de moyens de paiement alternatifs aux chèques) en été 2010 et se poursuivra avec la réforme qui s'amorce au Parlement.
Gérard
Ensuite, ben...le système de gestion applique strictement son paramétrage qui découle des tables de tarification en place qui sont souvent l'application de directives légales : 20 € pour un rejet de prélèvements, 30 € ou 50 € pour un chèque rejeté...
Pour les autre tarifs : le prix de revient, le niveau de facturation de la concurrence
Les dates de valeur (autre système de facturation, via les agios...) se sont simplifiées et sont encadrées depuis juillet 2009.
Et stricto sensu : « agio » = intérêts débiteurs et le reste est « facturations »
Parlez plutôt de "facturation" que de "frais", le premier concept se rattache à la notion de coût de l'intervention, le second plus à de l'empirique. Le premier : vu du côté banque, le second....vu du côté client.
Et nous nous orientons de plus en plus vers des limitations globales des facturations unitaires cela commencé avec les "clientèles fragiles" et la GPA (Gamme de moyens de paiement alternatifs aux chèques) en été 2010 et se poursuivra avec la réforme qui s'amorce au Parlement.
Gérard
"quels sont les outils informatiques de facturation des produits vendus par les banques ? "
pouvez vous préciser votre question sur le plan technique ?
pouvez vous préciser votre question sur le plan technique ?
La banque je connais, les systèmes de gestion bancaire aussi et pour cause !
Mais vos questions je ne saisis pas :
- "les outils' : précisez le mot "outil»,
- le "calcul des frais" : quel calcul ?
- et qu'entendez vous par "moyens de paiements, lesquels en particulier" ?
- à a quels "frais" faites vous allusion ?" ?
En fait je ne vois pas l'objectif .
Mais vos questions je ne saisis pas :
- "les outils' : précisez le mot "outil»,
- le "calcul des frais" : quel calcul ?
- et qu'entendez vous par "moyens de paiements, lesquels en particulier" ?
- à a quels "frais" faites vous allusion ?" ?
En fait je ne vois pas l'objectif .
en fait , j'ai postulé à une offre de stage et j'aimerais être préparée pour mon entretien , il n ' y a pas trop d'information sur le descriptif de l'offre... alors pour les outils , je pense qu'ils parlent des applications informatiques et pour les moyens de paiements, j'imagine: carte, chèque, virement , prélèvement...
La législation juridique et financière évolue en permanence...