Article 1442 du code civil
choupy62
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choupy62 - 24 juin 2013 à 07:23
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condorcet
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Modifié par condorcet le 26/02/2013 à 10:16
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Il ne peut y avoir lieu à la continuation de la communauté, malgré toutes conventions contraires.
L'article 1442 du code civil fait suite au 1441 relatant la dissolution de la communauté en cas d'absence déclarée, divorce, séparation.
Dans le cas exposé, en l'absence de divorce ou séparation, l'union de vos parents n'a pas été dissoute et s'est poursuivie jusqu'à son terme qui est le décès de votre mère.
Il s'ensuit que les biens acquis par votre mère avec son compagnon, de l'union desquels sont nés 3 enfants, font partie de la communauté.
Tout au plus le bien immobilier, acquis certainement à parts égales, dépend pour moitié de la succession de votre mère à laquelle ont vocation héréditaire votre père, vous et vos frères et soeur utérins.
Pour ce qui le concerne, le père des 3 enfants utérins conserve ses droits acquis à l'origine sans interférence avec la succession de votre mère, sauf testament éventuellement laissé en sa faveur.
L'article 1442 du code civil fait suite au 1441 relatant la dissolution de la communauté en cas d'absence déclarée, divorce, séparation.
Dans le cas exposé, en l'absence de divorce ou séparation, l'union de vos parents n'a pas été dissoute et s'est poursuivie jusqu'à son terme qui est le décès de votre mère.
Il s'ensuit que les biens acquis par votre mère avec son compagnon, de l'union desquels sont nés 3 enfants, font partie de la communauté.
Tout au plus le bien immobilier, acquis certainement à parts égales, dépend pour moitié de la succession de votre mère à laquelle ont vocation héréditaire votre père, vous et vos frères et soeur utérins.
Pour ce qui le concerne, le père des 3 enfants utérins conserve ses droits acquis à l'origine sans interférence avec la succession de votre mère, sauf testament éventuellement laissé en sa faveur.
condorcet
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26 févr. 2013 à 11:50
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afin d'avoir "une date de divorce" étant donné que mes parents eux-mêmes n'en n'ont pas émis le souhait?
Vous n'avez pas compris.
La communauté n'étant pas dissoute, tous les biens acquis par votre père et votre mère ensemble ou séparément dépendent de cette communauté.
Il est inutile de retenir la notion de "co-habitation" pour le démontrer.
Depuis le décès de votre mère, sa part dans cette maison acquise avec son compagnon appartient dorénavant à ses héritiers en indivision avec ledit compagnon détenteur, à titre personnel, de ses droits dans l'immeuble.
Je ne comprends pas la question que vous a posée le notaire.
Les dispositions de l'article 1442 n'ont rien à voir dans cette situation.
.Et aucun jugement ne pourrait dissoudre ce mariage?
Vous voudriez qu'un divorce soit aujourd'hui prononcé après le décès de votre mère ?
Cela n'a aucun sens. Le mariage est lui-même déjà dissous par le décès.
Vous n'avez pas compris.
La communauté n'étant pas dissoute, tous les biens acquis par votre père et votre mère ensemble ou séparément dépendent de cette communauté.
Il est inutile de retenir la notion de "co-habitation" pour le démontrer.
Depuis le décès de votre mère, sa part dans cette maison acquise avec son compagnon appartient dorénavant à ses héritiers en indivision avec ledit compagnon détenteur, à titre personnel, de ses droits dans l'immeuble.
Je ne comprends pas la question que vous a posée le notaire.
Les dispositions de l'article 1442 n'ont rien à voir dans cette situation.
.Et aucun jugement ne pourrait dissoudre ce mariage?
Vous voudriez qu'un divorce soit aujourd'hui prononcé après le décès de votre mère ?
Cela n'a aucun sens. Le mariage est lui-même déjà dissous par le décès.
choupy62
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19 juin 2013
26 févr. 2013 à 13:11
26 févr. 2013 à 13:11
Je ne comprends pas la question que vous a posée le notaire.
Les dispositions de l'article 1442 n'ont rien à voir dans cette situation.
Car le notaire m'a fait comprendre que mes frères et soeur utérins, en remontant le temps ,le divorce serait prononcé pour non cohabitation et collaboration des époux avant l'achat de la maison par ma mère et son concubin en 1986.
merci pour votre patience amicalement.
Les dispositions de l'article 1442 n'ont rien à voir dans cette situation.
Car le notaire m'a fait comprendre que mes frères et soeur utérins, en remontant le temps ,le divorce serait prononcé pour non cohabitation et collaboration des époux avant l'achat de la maison par ma mère et son concubin en 1986.
merci pour votre patience amicalement.
condorcet
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26 févr. 2013 à 13:56
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Je ne comprends pas la question que vous a posée le notaire.
Moi non plus !
Les dispositions de l'article 1442 n'ont rien à voir dans cette situation.
Exactement.
en remontant le temps ,le divorce serait prononcé pour non cohabitation et collaboration des époux avant l'achat
Vous êtes certain d'avoir rencontré un notaire ?
Si tel est le cas, il serait urgent qu'il refasse ses études.
Un simple étudiant en première année de Droit, sait que la communauté est dissoute par le divorce, le décès ou l'adoption par contrat d'un nouveau régime matrimonial. (pour faire simple)
Il n'est donc pas nécessaire de réfléchir longtemps sur le sujet pour comprendre que vos père et mère n'étaient pas divorcés.
Moi non plus !
Les dispositions de l'article 1442 n'ont rien à voir dans cette situation.
Exactement.
en remontant le temps ,le divorce serait prononcé pour non cohabitation et collaboration des époux avant l'achat
Vous êtes certain d'avoir rencontré un notaire ?
Si tel est le cas, il serait urgent qu'il refasse ses études.
Un simple étudiant en première année de Droit, sait que la communauté est dissoute par le divorce, le décès ou l'adoption par contrat d'un nouveau régime matrimonial. (pour faire simple)
Il n'est donc pas nécessaire de réfléchir longtemps sur le sujet pour comprendre que vos père et mère n'étaient pas divorcés.
choupy62
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19 juin 2013
Modifié par choupy62 le 26/02/2013 à 14:20
Modifié par choupy62 le 26/02/2013 à 14:20
Merci pour tous vos conseils, vous savez quand on est novice comme moi tout ça c'est du charabia.
En l'occurrence, j'hériterai de la part de mon père décédé soit 1/2 de la part de ma mère l'autre 1//2 reviendrai aux frères et soeurs utérins, eux-mêmes hériteraient de 1/3 chacun de la part de leur père.
Le notaire a sortit son bouquin en nous sortant cet article car ma mère et mon père n'avait plus aucune relations quelques qu'elles soient depuis que j'ai 4 ans et nous faire comprendre que mes frères et soeurs utérins pourraient user de celui-ci pour que je perçoive 1/4 de la part de ma mère, amicalement.
En l'occurrence, j'hériterai de la part de mon père décédé soit 1/2 de la part de ma mère l'autre 1//2 reviendrai aux frères et soeurs utérins, eux-mêmes hériteraient de 1/3 chacun de la part de leur père.
Le notaire a sortit son bouquin en nous sortant cet article car ma mère et mon père n'avait plus aucune relations quelques qu'elles soient depuis que j'ai 4 ans et nous faire comprendre que mes frères et soeurs utérins pourraient user de celui-ci pour que je perçoive 1/4 de la part de ma mère, amicalement.
condorcet
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21 juin 2023
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26 févr. 2013 à 14:30
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vous savez quand on est novice comme moi tout ça c'est du charabia.
C'est le Droit avec son vocabulaire.
En l'occurrence, j'hériterai de la part de mon père décédé soit 1/2 de la part de ma mère l'autre 1//2 reviendrai aux frères et soeurs utérins, eux-mêmes hériteraient de 1/3 chacun de la part de leur père.
Vous recueillez la totalité de la part de votre père soit la moitié des droits (également de moitié) dans cette maison, et les 4 enfants de votre mère, vous y compris, recueillez l'autre moitié. Vous êtes toujours l'enfant de votre mère malgré la présence de votre fratrie utérine dans sa succession.
Il convient néanmoins de revoir l'acte d'achat pouvant prévoir qu'au décès du premier des 2 acquéreurs l'autre serait propriétaire de sa part,ou, d'un droit d'usage et d'habitation réservé au survivant.
Le notaire a sortit son bouquin
Si vous me communiquiez le titre et la maison d'édition, je l'achèterais !
C'est le Droit avec son vocabulaire.
En l'occurrence, j'hériterai de la part de mon père décédé soit 1/2 de la part de ma mère l'autre 1//2 reviendrai aux frères et soeurs utérins, eux-mêmes hériteraient de 1/3 chacun de la part de leur père.
Vous recueillez la totalité de la part de votre père soit la moitié des droits (également de moitié) dans cette maison, et les 4 enfants de votre mère, vous y compris, recueillez l'autre moitié. Vous êtes toujours l'enfant de votre mère malgré la présence de votre fratrie utérine dans sa succession.
Il convient néanmoins de revoir l'acte d'achat pouvant prévoir qu'au décès du premier des 2 acquéreurs l'autre serait propriétaire de sa part,ou, d'un droit d'usage et d'habitation réservé au survivant.
Le notaire a sortit son bouquin
Si vous me communiquiez le titre et la maison d'édition, je l'achèterais !
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choupy62
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19 juin 2013
26 févr. 2013 à 14:40
26 févr. 2013 à 14:40
Merci Condorcet pour le temps que tu m'as accordé et de souhaite une bonne après-midi.
Cordialement.
Choupy62
Cordialement.
Choupy62
Bonsoir Condorcet
Peut-il avoir dissolution de la communauté si mes freres et soeur uterins demontrent que mon père et ma mère n'avait aucune relation d'aucune sorte (ils étaient sépares et ne se voyaient plus du tout depuis 1975 mais pas de documents officielles mentionnant cette situation) et ceci avant l'achat du bien immobiler par ma mère et son dernier compagnon. Je précise que ma mère percevait une pension tous les trois mois (au décès de mon père)et au décès de son compagnon a percu la reversion de mon père. Deplus en 1988 donc après l'achat immobilier j'ai hérité de mon père, héritage qui me revenait de droit. Nous sommes passé devant le tribunal car j'ai partagé à parts égales avec ma mère. Donc si on peut parler de dissolution de communauté elle ne peut être antérieure à cette date de partage?
Peut-il avoir dissolution de la communauté si mes freres et soeur uterins demontrent que mon père et ma mère n'avait aucune relation d'aucune sorte (ils étaient sépares et ne se voyaient plus du tout depuis 1975 mais pas de documents officielles mentionnant cette situation) et ceci avant l'achat du bien immobiler par ma mère et son dernier compagnon. Je précise que ma mère percevait une pension tous les trois mois (au décès de mon père)et au décès de son compagnon a percu la reversion de mon père. Deplus en 1988 donc après l'achat immobilier j'ai hérité de mon père, héritage qui me revenait de droit. Nous sommes passé devant le tribunal car j'ai partagé à parts égales avec ma mère. Donc si on peut parler de dissolution de communauté elle ne peut être antérieure à cette date de partage?
choupy62
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19 juin 2013
14 mars 2013 à 17:25
14 mars 2013 à 17:25
Bonsoir
Je reviens de chez le notaire à qui j'ai obtenu une copie de l'acte d'achat ( la maison est à 50/50 mon beau père et ma mère).
Le notaire nous a spécifié pour cette affaire un autre article et je voudrai savoir ce que vous en pensez.
C'est l'article 1442 alinéa 2 qui spécifie que les héritiers d'un des époux peuvent faire reporter la date de dissolution de la communauté.(dans mon cas la reporter avant l'achat de la maison)
Les héritiers de mon beau-père peuvent-ils faire reporter la date de la dissolution de la communauté avant l'achat de la maison?
Votre avis?
Cordialement.
Je reviens de chez le notaire à qui j'ai obtenu une copie de l'acte d'achat ( la maison est à 50/50 mon beau père et ma mère).
Le notaire nous a spécifié pour cette affaire un autre article et je voudrai savoir ce que vous en pensez.
C'est l'article 1442 alinéa 2 qui spécifie que les héritiers d'un des époux peuvent faire reporter la date de dissolution de la communauté.(dans mon cas la reporter avant l'achat de la maison)
Les héritiers de mon beau-père peuvent-ils faire reporter la date de la dissolution de la communauté avant l'achat de la maison?
Votre avis?
Cordialement.
condorcet
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14 mars 2013 à 17:54
14 mars 2013 à 17:54
C'est l'article 1442 alinéa 2 qui spécifie que les héritiers d'un des époux peuvent faire reporter la date de dissolution de la communauté.
Cet article du code civil stipule :
Les époux peuvent, l'un ou l'autre, demander, s'il y a lieu, que, dans leurs rapports mutuels, l'effet de la dissolution soit reporté à la date où ils ont cessé de cohabiter et de collaborer.
Il n'est pas écrit les "héritiers des époux" mais "les époux peuvent", ce qui est parfaitement logique car d'un commun accord lesdits époux, seuls directement concernés par le sujet, sont en droit de prendre une telle décision. Leurs héritiers ne peuvent décider à leur place à titre posthume.
Ce serait un comble !
Cet article du code civil stipule :
Les époux peuvent, l'un ou l'autre, demander, s'il y a lieu, que, dans leurs rapports mutuels, l'effet de la dissolution soit reporté à la date où ils ont cessé de cohabiter et de collaborer.
Il n'est pas écrit les "héritiers des époux" mais "les époux peuvent", ce qui est parfaitement logique car d'un commun accord lesdits époux, seuls directement concernés par le sujet, sont en droit de prendre une telle décision. Leurs héritiers ne peuvent décider à leur place à titre posthume.
Ce serait un comble !
choupy62
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19 juin 2013
14 mars 2013 à 18:56
14 mars 2013 à 18:56
bonsoir Condorcet
C'est ce que j'arrête pas de me dire, même si je ne m'y connais pas trop en droit, que cela serait aberrant de décider d'une chose à la place des personnes décédées. Surtout que ces dites personnes n'ont jamais émis le souhait de divorcer... Alors quel est le but du notaire de nous faire douter comme ça?
cordialement
C'est ce que j'arrête pas de me dire, même si je ne m'y connais pas trop en droit, que cela serait aberrant de décider d'une chose à la place des personnes décédées. Surtout que ces dites personnes n'ont jamais émis le souhait de divorcer... Alors quel est le but du notaire de nous faire douter comme ça?
cordialement
condorcet
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21 juin 2023
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14 mars 2013 à 19:09
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Surtout que ces dites personnes n'ont jamais émis le souhait de divorcer...
Ce qui est le cas de beaucoup de couples pour des raisons matérielles, psychologiques ou spirituelles.
Alors quel est le but du notaire de nous faire douter comme ça?
Je me pose la même question.
Si les héritiers de votre beau-père persistent dans leur intention d'engager une procédure en ce sens, je pense que leur avocat va les en dissuader.
Ce qui est le cas de beaucoup de couples pour des raisons matérielles, psychologiques ou spirituelles.
Alors quel est le but du notaire de nous faire douter comme ça?
Je me pose la même question.
Si les héritiers de votre beau-père persistent dans leur intention d'engager une procédure en ce sens, je pense que leur avocat va les en dissuader.
condorcet
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21 juin 2023
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14 mars 2013 à 20:03
14 mars 2013 à 20:03
peuvent-ils se servir de la *séparation de fait*?
Cette séparation dans les faits n'a aucune base juridique sur laquelle ils puissent fonder une action en justice.
Malgré mes recherches depuis votre première intervention sur ce forum, je n'ai retrouvé aucune jurisprudence allant dans ce sens.
Conserver ce diction : "les chiens aboient......la caravane passe !"
Cette séparation dans les faits n'a aucune base juridique sur laquelle ils puissent fonder une action en justice.
Malgré mes recherches depuis votre première intervention sur ce forum, je n'ai retrouvé aucune jurisprudence allant dans ce sens.
Conserver ce diction : "les chiens aboient......la caravane passe !"
choupy62
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19 juin 2013
Modifié par choupy62 le 15/03/2013 à 12:25
Modifié par choupy62 le 15/03/2013 à 12:25
Bonjour je pense que cet article correspond parfaitement à mon affaire
article 262-1 cc
Le jugement de divorce prend effet dans les rapports entre les époux, en ce qui concerne leurs biens :
- lorsqu'il est prononcé par consentement mutuel, à la date de l'homologation de la convention réglant l'ensemble des conséquences du divorce, à moins que celle-ci n'en dispose autrement ;
- lorsqu'il est prononcé pour acceptation du principe de la rupture du mariage, pour altération définitive du lien conjugal ou pour faute, à la date de l'ordonnance de non-conciliation.
A la demande de l'un des époux, le juge peut fixer les effets du jugement à la date à laquelle ils ont cessé de cohabiter et de collaborer. Cette demande ne peut être formée qu'à l'occasion de l'action en divorce. La jouissance du logement conjugal par un seul des époux conserve un caractère gratuit jusqu'à l'ordonnance de non-conciliation, sauf décision contraire du juge.
article 262-1 cc
Le jugement de divorce prend effet dans les rapports entre les époux, en ce qui concerne leurs biens :
- lorsqu'il est prononcé par consentement mutuel, à la date de l'homologation de la convention réglant l'ensemble des conséquences du divorce, à moins que celle-ci n'en dispose autrement ;
- lorsqu'il est prononcé pour acceptation du principe de la rupture du mariage, pour altération définitive du lien conjugal ou pour faute, à la date de l'ordonnance de non-conciliation.
A la demande de l'un des époux, le juge peut fixer les effets du jugement à la date à laquelle ils ont cessé de cohabiter et de collaborer. Cette demande ne peut être formée qu'à l'occasion de l'action en divorce. La jouissance du logement conjugal par un seul des époux conserve un caractère gratuit jusqu'à l'ordonnance de non-conciliation, sauf décision contraire du juge.
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15 mars 2013 à 13:02
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Bonjour
je m'incruste dans la conversation, Vous ne voulez pas "entendre" ce que les intervenants vous disent !
dans tous les articles que vous citez, il est bien spécifié "à la demande de l'un des époux".
les deux époux étant décédés, rien ne peut etre demandé à leurs places !!!!!!???
vos parents devant la Loi, étaient toujours "mariés".
La séparation de Fait, ne change rien quant à la situation patrimoniale des époux.
Seul un testament aurait pu priver votre père de la succession de votre mère.
vos "demi", ont du chercher des lois ou autres, et n'en ont absolument pas compris le sens
Quant à ce "notaire"....pourrait peut-etre retourner à l'école !!!! ou apprendre à lire ?!!!!
à moins d'une existence de Jurisprudence, et à ce moment là, qu'il vous signifie laquelle !
ps : il est quand meme "bizarre"qu'à l'achat de ce bien, le notaire de l'époque ait laissé faire cela !!!! Qu'est-il donc inscrit sur l'acte de vente quant à l'état civil de votre mère ???
cordialement
je m'incruste dans la conversation, Vous ne voulez pas "entendre" ce que les intervenants vous disent !
dans tous les articles que vous citez, il est bien spécifié "à la demande de l'un des époux".
les deux époux étant décédés, rien ne peut etre demandé à leurs places !!!!!!???
vos parents devant la Loi, étaient toujours "mariés".
La séparation de Fait, ne change rien quant à la situation patrimoniale des époux.
Seul un testament aurait pu priver votre père de la succession de votre mère.
vos "demi", ont du chercher des lois ou autres, et n'en ont absolument pas compris le sens
Quant à ce "notaire"....pourrait peut-etre retourner à l'école !!!! ou apprendre à lire ?!!!!
à moins d'une existence de Jurisprudence, et à ce moment là, qu'il vous signifie laquelle !
ps : il est quand meme "bizarre"qu'à l'achat de ce bien, le notaire de l'époque ait laissé faire cela !!!! Qu'est-il donc inscrit sur l'acte de vente quant à l'état civil de votre mère ???
cordialement
choupy62
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15 mars 2013 à 13:43
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Bonjour Domdo76
L'état civil de ma mère est Mme +nom de jeune fille (n'est pas mentionné épouse de...)
J'ai demandé au notaire si en cas qu'ils ne pouvaient plus faire face au paiement des loyers, si mon père aurait du prendre le relais, et moi à son décès. Il m'a répondu que les créanciers ne pouvaient pas saisir les salaires de mon père ( je ne sais plus quel article il m'a sorti)
L'état civil de ma mère est Mme +nom de jeune fille (n'est pas mentionné épouse de...)
J'ai demandé au notaire si en cas qu'ils ne pouvaient plus faire face au paiement des loyers, si mon père aurait du prendre le relais, et moi à son décès. Il m'a répondu que les créanciers ne pouvaient pas saisir les salaires de mon père ( je ne sais plus quel article il m'a sorti)
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Bonjour
Mme ....puis nom de naissance (ou jeune fille)
normalement cela aurait du etre spécifié ; épouse de Mr ou divorcée de Mr.... etc.... en fonction de sa situation maritale !!!!
je ne sais pas dans quel coin ils sont mais "bonjour" les notaires par chez vous !
pour le reste, je ne comprends pas, vous dites au début que votre père est décédé, on ne peut donc rien saisir sur son salaire ????
de quels loyers parlez-vous ???
de quelles créances, dettes ???
Mme ....puis nom de naissance (ou jeune fille)
normalement cela aurait du etre spécifié ; épouse de Mr ou divorcée de Mr.... etc.... en fonction de sa situation maritale !!!!
je ne sais pas dans quel coin ils sont mais "bonjour" les notaires par chez vous !
pour le reste, je ne comprends pas, vous dites au début que votre père est décédé, on ne peut donc rien saisir sur son salaire ????
de quels loyers parlez-vous ???
de quelles créances, dettes ???
choupy62
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19 juin 2013
15 mars 2013 à 14:23
15 mars 2013 à 14:23
je m'explique comme l'achat date de 1984, mon père décédé en 1987 si dans cet intervalle de temps ma mère et son concubin ne pouvaient pas faire face aux remboursements des emprunts de la maison est-ce que à l' époque les créanciers auraient pu saisir les salaires de mon père?
L'acte d'achat ne mentionne pas la situation maritale de ma mère (mariée)
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domdo76
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ne rajoutez pas d'autres données qui ne concerne pas la succession , sinon on va se perdreeeeeeeeeeeee :-)
effectivement d'après ce que je pense (là niveau bancaire hors de ma compétence donc sous toutes réserves, les pros me corrigeront s'ils viennent par ici) , que si votre mère était en impayée et vu que la communauté crée par le mariage existait toujours , on aurait pu se retourner vers votre père .
sur les registres de l'Etat Civil, il est toujours notifié Mme x épouse Z
Les créanciers savent très bien trouver les gens qu'il faut pour payer.
je trouve quand meme très bizarre que notaire et banque ont "omis" ce fait du mariage ! sans vous offenser votre mère a du cacher des choses !!
mais là, on commence à s'enliser sévère !!! non !!! la question d'origine est réglée.
pour la succession de votre mère, les choses sont simples , les enfants sont héritiers (une part de la maison vous appartient déjà -celle héritée de votre père- et vous récupérez votre part venant de votre mère), le concubin non pacsé sans testament n'a le droit à rien.
cdlt
effectivement d'après ce que je pense (là niveau bancaire hors de ma compétence donc sous toutes réserves, les pros me corrigeront s'ils viennent par ici) , que si votre mère était en impayée et vu que la communauté crée par le mariage existait toujours , on aurait pu se retourner vers votre père .
sur les registres de l'Etat Civil, il est toujours notifié Mme x épouse Z
Les créanciers savent très bien trouver les gens qu'il faut pour payer.
je trouve quand meme très bizarre que notaire et banque ont "omis" ce fait du mariage ! sans vous offenser votre mère a du cacher des choses !!
mais là, on commence à s'enliser sévère !!! non !!! la question d'origine est réglée.
pour la succession de votre mère, les choses sont simples , les enfants sont héritiers (une part de la maison vous appartient déjà -celle héritée de votre père- et vous récupérez votre part venant de votre mère), le concubin non pacsé sans testament n'a le droit à rien.
cdlt
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15 mars 2013 à 12:52
15 mars 2013 à 12:52
je pense que cet article correspond parfaitement à mon affaire
"ite missa est"
Formule latine signifiant en bas latin « Allez, vous pouvez disposer », par laquelle, dans la messe primitive, on congédiait les catéchumènes à la fin de la seule partie de l'office à laquelle ils étaient admis.
A la demande de l'un des époux, le juge peut fixer les effets du jugement à la date à laquelle ils ont cessé de cohabiter et de collaborer, action non transmissible aux héritiers.
"ite missa est"
Formule latine signifiant en bas latin « Allez, vous pouvez disposer », par laquelle, dans la messe primitive, on congédiait les catéchumènes à la fin de la seule partie de l'office à laquelle ils étaient admis.
A la demande de l'un des époux, le juge peut fixer les effets du jugement à la date à laquelle ils ont cessé de cohabiter et de collaborer, action non transmissible aux héritiers.
condorcet
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jeudi 11 février 2010
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21 juin 2023
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15 mars 2013 à 13:22
15 mars 2013 à 13:22
dans tous les articles que vous citez, il est bien spécifié "à la demande de l'un des époux"
Vous avez raison, mais l'intéressée, inquiète, panique avec cette "épée de Damoclès" que sont les prétentions stupides de sa fratrie consanguine.
Aucune avocat ne les suivront dans ce raisonnement inique.
Vous avez raison, mais l'intéressée, inquiète, panique avec cette "épée de Damoclès" que sont les prétentions stupides de sa fratrie consanguine.
Aucune avocat ne les suivront dans ce raisonnement inique.
choupy62
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mardi 26 février 2013
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19 juin 2013
18 juin 2013 à 17:19
18 juin 2013 à 17:19
Bonjour,
Voici un bref récapitulatif de la situation
- Ma mère et mon père se sont mariés sans contrat de mariage le 23 décembre 1970 dont je suis l'unique enfant.
- Ma mère se sépare de mon père quand j'avais 3-4 ans et vit avec son concubin dont sont issus 3 enfants ( l'ainée en 1974. Ils achètent un bien immobilier en 1984 (50/50). Mon père est décédé en 1989, le concubin en 2005 et ma mère en 2010.
Je cherche à démontrer que le bien immobilier appartient à la communauté de mon père également car la communauté à pris fin au décès de mon père donc en 1989.
Le notaire chargé de l'affaire fait appel au cridon car il prétend que les héritiers (enfants utérins) peut reporter la date de dissolution de la communauté communauté en invoquant l'article 1442 alinéa 2 du code civile et ont toutes les chances d'obtenir gain de cause en reportant la date de dissolution où les époux ont cessé de cohabiter et de collaborer (cass. 2ème ci. 25 juin 1998 - Bull, n°234 et DEFRENOIS 1999, p.430, obs. CHAMPENOIS.
Je précise que ma mère à perçu les retraites de reversion de mon père jusqu'à son décès, et que récemment, j'ai perçu de l'épargne salariale de mon père (décédé depuis 26 ans!) que ma mère aurait du percevoir au début de l'année 2010 (mais erreur d'adresse) cette épargne peut-elle être une preuve qu'il y avait continuité de la communauté?
L'épargne salariale est-elle un bien de communauté?
Cordialement choupy62
Voici un bref récapitulatif de la situation
- Ma mère et mon père se sont mariés sans contrat de mariage le 23 décembre 1970 dont je suis l'unique enfant.
- Ma mère se sépare de mon père quand j'avais 3-4 ans et vit avec son concubin dont sont issus 3 enfants ( l'ainée en 1974. Ils achètent un bien immobilier en 1984 (50/50). Mon père est décédé en 1989, le concubin en 2005 et ma mère en 2010.
Je cherche à démontrer que le bien immobilier appartient à la communauté de mon père également car la communauté à pris fin au décès de mon père donc en 1989.
Le notaire chargé de l'affaire fait appel au cridon car il prétend que les héritiers (enfants utérins) peut reporter la date de dissolution de la communauté communauté en invoquant l'article 1442 alinéa 2 du code civile et ont toutes les chances d'obtenir gain de cause en reportant la date de dissolution où les époux ont cessé de cohabiter et de collaborer (cass. 2ème ci. 25 juin 1998 - Bull, n°234 et DEFRENOIS 1999, p.430, obs. CHAMPENOIS.
Je précise que ma mère à perçu les retraites de reversion de mon père jusqu'à son décès, et que récemment, j'ai perçu de l'épargne salariale de mon père (décédé depuis 26 ans!) que ma mère aurait du percevoir au début de l'année 2010 (mais erreur d'adresse) cette épargne peut-elle être une preuve qu'il y avait continuité de la communauté?
L'épargne salariale est-elle un bien de communauté?
Cordialement choupy62
26 févr. 2013 à 10:48