Mise en demeure lettre simple

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Profil bloqué - 4 févr. 2013 à 16:56
sleepy00 Messages postés 17726 Date d'inscription mardi 31 juillet 2012 Statut Membre Dernière intervention 7 août 2024 - 5 févr. 2013 à 12:48
Bonjour,

Voici ce que m'écrit cet huissier Marcotte ruffin: actye isolé

Votre créancier a chngé d'identité; La société COFINOGA a cédé sa créance par voie de titrisation au fonds commun de titrisation CREDINVEST. Ce fonds est représenté légalement par la société de gestion EUROTITRISATION qui est agréé par l'aurorité des marchés financiers.Cette société de gestion a mandaté la société EOS CREDIREC pour réaliser le recouvrement des créances du fonds commun de titrisation.Cette cession est particulière puisqu'elle n'a pas a vous être signifiée pour vous être opposable (art. 214-43 alinéa 8 du code monétaire et financier)

Votre dette est ancienne mais elle est pleinement exigible. Avant l'antrée en vigueur de la loi n° 2008-561 du 17 juin 2008 portant réforme de la prescription en matière civile, un titre exécutoire se prescrivait par 30 ans ( ancien art 2262 du code civil ) Depuis le 19 juin 2008, tous les titres exécutoires rendus antérieurement se prescrivent par 10 ans à compter de cette date ( art L.152-1 du code des procédures civiles d'exécutions).

Afin de mettre définitivement un terme à cette affaire, je vous mets en demeure de payer la somme de =====.== euros, et vous invite à contacter rapidement un gestionnaire spécialisé au 03 21 46 11 87.

Dans l'hypothèse où cette mise en demeure ne retiendrait pas votre attention, votre créancier m'a chargé de faire mettre en oeuvre un procédure d'ecécution forcée qui aura pour effet de vous priver de l'un de vos éléments de patrimoine.

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Si quelqu'un peut me donner quelques informations à ce sujet je l'en remercie d'avance, car cette affaire concerne intrum justitia et eos credirec, apparemment c'est une dette de 16ans qui m'avait été signfié par huissier, que j'avais contesté et que l'huissier de l'époque n'a pas continué les poursuites
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10 réponses

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4 févr. 2013 à 20:38
je vous remercie de m'avoir répondu,

le problème est le suivant :

j'ai reçu d'Intrm justitia en date du 08 octobre 2012,
une notification de cession de créance , ainsi que crédirec finance mandaté par le fond commun de crédinvest dns ce même dossier.

simplement que suite aux notifications de cession, celles-ci ne m'ont pas été signifiés par huissier, que mon accord était indispensable pour passer de intrum justitia à crédirec Finance.

Crédirec finance ne semble posséder aucun titre pour procéder de la sorte, que pour rendre ce transfert opposable au tiers, il est indispensable que cette cession soit accepter par le débiteur dans un acte authentique et signifié par huissier l'utilisation de la cession de créance est donc exclue, que la société crédirec n'est pas une société de crédit en offrant ce genre de service, mais une société de recouvrement de créances. ceci concerne les deux société de recouvrement, avec trois huissiers qui me réclament cette dette , puis-je leur demander la copie du rachat de la dette merci pour m'informer
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Votre accord n'est nullement indispensable !.

Vous tirez cela d'où ?

Ce que vous dites est contraire aux disposition du Code monétaire et Financier en matière de titrisation

Vous savez le droit cela ne s'invente pas !...
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5 févr. 2013 à 08:38
l'article 1271 et suivants du code civil, permet d'éviter la signification prévue à l'article 1690 mais nécessite toujours l'accord du débiteur à l'acte de transfert.

Oui il y a un jugement rendu en date du 3 septembre 1996 pour une somme principale de 44.377,05 francs.je vous dis pas les int^réts énormes que m'a infligé Marcotte ruffin intêréts calculés de de 1996 à 2013 preuve à l'appui, si vous souhaitezt me contacter en privé adressez moi un mail sur ma boite mail je pourrais mieux vous informer de la situation actuelle par téléphone merci
mon avocat m'a conseillé de ne pas exercer une voie de recours en appel, en dépit de la carence du préteur sur les informations qu'il aurait dù me demander
0 l'époque j'avais sollicité l'huissier de bien vouloir demander des justificatifs d'informations,, vu la non réponse du préteur l'huissier a laiisser cette affaire. sans réponse, c'est la raison pour laquelle les sociétés de recouvrement me harcèlent.
je vous remercie pour votre gentillesse en information
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I
Il avait bien un jugement comme je le supposai depuis le départ !...
Ce qui est en général le cas lorsque in fine cette étude intervient au nom de CREDINVEST..

L'expérience !
Pourquoi n'avoir rien dit depuis le départ et distillé une fausse info sur la base d'un RAR absent alors que celui-ci dans votre cas est totalement superflu !...

Quant à votre article 1271 il date de 1804 et ne concerne pas la titrisation dont la législation a été alignée sur une directive européenne introduite au CMF.

Je m'étonne que votre avocat ne vous l'ai pas dît !paréhgil y

Quant au "Conseiller en gestion....etc.." vous l'avez bien roulé dans la farine !.

Votre post était dés le départ cousu de fil blanc, mais ne résistait pas à l'expérience de nombreux dossiers de ce typé !

Reste à faire jouer le prescription quinquennale que je vous citais, vous verrez c'est faivcle chez MARCOTTE-RUGFFIBN ce ne sont que de vulgaires amateurs pr_s à gober n'importe que article du Code civil !...

Votre post était dés le départ cousu de fil blanc, mais ne résistait pas à l'expérience de nombreux dossiers de ce typé !

Reste à faire jouer la prescription quinquennale que je vous citais, vous verrez c'est facile chez MARCOTTE-RUFFIN ce ne sont que de vulgaires amateurs prêts à gober n'importe que article du Code civil !...ajoutez y la jurisprudence récente en la matière (Chambre civile 2 n - moi de mai 2012).
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A mon sens la mise en demeure est inutile car il doit déjà exister une décision de justice préalable à la titrisation.

Ne donnez pas ce genre de conseil sans connaître le dossier.
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L'ennui c'est que lorsque interviennent CETELEM ou COFINOGA puis CREDIREC ou autres puis un FCP comme CREDINVEST et enfin l'étude MARCOTTE-RUFFIN de Calais, il y a de grandes chances pour que le jugement exécutoire existe et reste donc non prescrit jusqu'au 18.06.2018.

Essayez de savoir quand et où pour en obtenir une copie au greffe concerné.

Quant à la lettre simple, ne focalisez pas là dessus, toutes les lettres semblables sont des lettres simples. Pourquoi faire des frais de RAR.
Une mise en demeure peut très bien être envoyée sous pli simple. Le RAR servirait à quoi ?

Mais, dans les discussions futures, il faut savoir que la prescription des intérêts est de cinq années. Ne sont donc dus actuellement que les intérêts courus depuis janvier 2008.

Attention, c'est leur métier ( et ils le connaissent bien !) et vous auriez interêt à vous faire aider.
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4 févr. 2013 à 20:49
Bonjour,

Si pendant 2 ans vous n'avez pas eu de nouvelles et qu'il n'y a eu aucune notification juridique il y a un délai de prescription.

"Une mise en demeure peut très bien être envoyée sous pli simple." Devant les tribunaux le créancier doit pouvoir démontrer que le débiteur a eu connaissance de la MED. L'AR à défaut de remise en propre contre signature est nécessaire.

Tant que vous ne recevez pas d'injonction de payer (un papier jaune type carbone) validé par un tribunal (pour lui donner force exécutoire) ils ne peuvent vous contraindre à régler votre dette.

Bref, pour avoir travaillé quelques temps dans une société de recouvrement amiable et judiciaire je peux vous assurer que parfois ces dernières "effrayent" les débiteurs pour pas grand chose...

"votre créancier m'a chargé de faire mettre en oeuvre un procédure d'ecécution forcée qui aura pour effet de vous priver de l'un de vos éléments de patrimoine. "
=> Vous avez une créance de quel montant en principal (hors intérêt) ?
Car pour faire une Saisie conservatoire ou une saisie vente il faut une créance conséquente...

Si vous avez besoin de plus d'aide pour résoudre votre situation contactez moi

Cdt,
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Profil bloqué
4 févr. 2013 à 21:09
Gérard,

Je n'ai pas dis que dans son cas il devait recevoir une mise en demeure avec AR.

Je répondais à votre phrase (fausse) qui disait "Une mise en demeure peut très bien être envoyée sous pli simple. Le RAR servirait à quoi ? " . Ce qui est Faux.

Et pour vous répondre le RAR servirait à pouvoir prouver la réception de la MED en question.

S'il vous plaît, ne donnez pas de conseils sans connaître la juridiction applicable.
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sleepy00 Messages postés 17726 Date d'inscription mardi 31 juillet 2012 Statut Membre Dernière intervention 7 août 2024 5 548
4 févr. 2013 à 23:45
je bosse avec un tribunal et tout les jours des injonctions de payer sont rendu avec pour seul mise en demeure une lettre simple, la mise en demeure n'est pas obligatoire, ce qui compte c'est d'avoir la preuve de la dette et qu'elle soit certaine, liquide et exigible
la plus part des juges aiment bien une mise en demeure car cela prouve que l'on tente de récupérer a l'amiable, si certain exige une rar ce n'est pas le cas de tous
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nemrod18 Messages postés 25533 Date d'inscription vendredi 18 avril 2008 Statut Membre Dernière intervention 3 janvier 2022 4 742
5 févr. 2013 à 01:11
Bonsoir Sleepy,

La lettre recommandée ou non est à l'appréciation du juge, j'en ai connu un qui exigeait la preuve d'un recommandé..
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sleepy00 Messages postés 17726 Date d'inscription mardi 31 juillet 2012 Statut Membre Dernière intervention 7 août 2024 5 548
5 févr. 2013 à 12:48
exact d'ou le " si certain exige une rar ce n'est pas le cas de tous"
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Si vous pratiquiez un peu vous sauriez que dans ce type de dossier il n'y a jamais de RAR puisqu'il n' y rien à prouver !

Quant à : "juridiction applicable".....vous n'employez même pas les termes juridiques corrects !..

Mais notre interniute fait ce u'elle veut.
Mias je l'ai déjà dit avec MARCOTTE-RUFFIBN, elle ne s'en sortira pasq toute seule.
Fites vous aider par une assovciation de consomlmateurs. et abndonneze toiut ce pieau sur les cessions de créance et RAR ?

Car dit le CMF en matière de titrisation :

"Elle prend effet entre les parties et devient opposable aux tiers à la date apposée sur le bordereau lors de sa remise, quelle que soit la date de naissance, d'échéance ou d'exigibilité des créances, sans qu'il soit besoin d'autre formalité, et ce quelle que soit la loi applicable aux créances et la loi du pays de résidence des débiteurs. Nonobstant l'ouverture éventuelle d'une procédure mentionnée "

"La remise du bordereau entraîne de plein droit le transfert des sûretés, des garanties et des accessoires attachés à chaque créance, y compris les sûretés hypothécaires, et son opposabilité aux tiers sans qu'il soit besoin d'autre formalité."

On est loin de

"simplement que suite aux notifications de cession, celles-ci ne m'ont pas été signifiés par huissier," !
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"Conseil en création & gestion d'entreprise" et alors ?...
on voit que vous ne pratiquez pas les dossiers dans lesquels figurent des créances rachetées par les FCT et FCC !...

Pourquoi une mise en demeure RAR puisqu'il y a toutes les chances que le tribunal soir déjà passé sur l'affaire depuis quelques années ?

"Conseillez" sur d'autres sujets SVP !

Mais notre interlocutrice fait ce qu'elle veut...mais moi à sa place j'exigerais le RAR ..
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Il avait bien un jugement comme je le supposai depuis le départ !...
Ce qui est en général le cas lorsque in fine cette étude intervient au nom de CREDINVEST..

L'expérience !
Pourquoi n'avoir rien dit depuis le départ et distillé une fausse info sur la base d'un RAR absent alors que celui-ci dans votre cas est totalement superflu !...

Quant à votre article 1271 il date de 1804 et ne concerne pas la titrisation dont la législation a été alignée sur une directive européenne introduite au CMF.

Je m'étonne que votre avocat ne vous l'ai pas dît !paréhgil y

Quant au "Conseiller en création et gestion....etc.." vous l'avez bien roulé dans la farine !.

Votre post était dés le départ cousu de fil blanc, mais ne résistait pas à l'expérience de nombreux dossiers de ce typé !

Reste à faire jouer le prescription quinquennale que je vous citais, vous verrez c'est faivcle chez MARCOTTE-RUGFFIBN ce ne sont que de vulgaires amateurs pr_s à gober n'importe que article du Code civil !...

Votre post était dés le départ cousu de fil blanc, mais ne résistait pas à l'expérience de nombreux dossiers de ce typé !

Reste à faire jouer la prescription quinquennale que je vous citais, vous verrez c'est facile chez MARCOTTE-RUFFIN ce ne sont que de vulgaires amateurs prêts à gober n'importe que article du Code civil !...ajoutez y la jurisprudence récente en la matière (Chambre civile 2 - mois de mai 2012).
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5 févr. 2013 à 09:51
merci pour tout, j'ai contacté la chambre départementale des huissiers due justice du pas de calais, i bis rue du Collège 62000 Arras tel : 03 21 71 32 01 car si cette société a le titre elle n'a aucune somme à facturer, ce qui me reste à penser que ceci est cousu de fil blanc, quant à vous avoir rouler dans la farine, vous n'êtes pas encore frit ;o))

simplement que sur le net on est obligé de mesurer nos informations c'est pourquoi je vous demandais une communication en privé par ma boite mail

en droit = nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude ceci étant dit pour MF
merci pour tout et surtout ne pensez nullement que je vous roulais dans la farine...
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Je ne pense pas que la Chambre des huissiers vous ait répondu que l'étude concernée munie d'un titre exécutoire ne pouvait vous facturer de frais !...
..ou alors il faut qu'elle se procure un petit bouquin vieux rose avec "écrit dessus" ! Code des procédures civiles d'exécution" ...c'est récent d'accord (01.06.2012) mais quand même !

Mais libre à vous de les contester cela fera partie de la négociation . Et avec MARCOTTE-RUFFIN celle-ci est toujours possible lorsqu'on connaît le "'prix d'achat" des créances lors de la titrisation !

Par ailleurs le Code civil et la jurisprudence vous autorisent à ne régler qu'au niveau du prix de la cession.

Il reste donc à vous pencher sur une possibilité offerte par l'article 1699 du Code civil et par des décisions récente de la Cour de cassation.

Article 1699 : « Celui contre lequel on a cédé un droit litigieux peut s'en faire tenir quitte par le cessionnaire, en lui remboursant le prix réel de la cession avec les frais et loyaux coûts, et avec les intérêts à compter du jour où le cessionnaire a payé le prix de la cession à lui faite. »

Cour de cassation
- pourvoi 03-15969 le 15.04.2008 (1)
- pourvoi 02-12451 le 12.07.2005 (2)
- pourvois 07-11428 et 07-11530 le 27.05.2008 (3).

(1)La circonstance que la cession des créances litigieuses se réalise au profit d'un fonds commun de créances, aux conditions prévues par la loi n° 88-1201 du 23 décembre 1988, codifiées aux articles L. 214-43 et suivants du code monétaire et financier, ne fait pas obstacle à l'exercice du droit au retrait litigieux prévu à l'article 1699 du code civil

(2)Il en résulte que, pour acquérir le droit dont s'agit, le retrayant n'est tenu au principal que de la somme payée par le retrayé ; par suite, viole ce texte par refus d'application, la cour d'appel qui, pour condamner au paiement d'une certaine somme des débiteurs contre lesquels avait été cédé un droit litigieux parmi d'autres créances et qui demandaient la communication du prix de la créance particulière les concernant, a retenu que la cession des diverses créances s'était faite pour un prix global et non créance par créance.

(3)Le seul fait que la cession d'un bloc de créances ait été faite pour un prix global calculé statistiquement et non créance par créance, n'est pas, en soi, de nature à écarter l'application du retrait litigieux prévu à l'article 1699 du code civil. Viole dès lors ce texte la cour d'appel qui, ayant constaté que les créances pouvaient être individualisées, rejette la demande de retrait litigieux
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Profil bloqué
5 févr. 2013 à 11:42
En tout état de cause, la société de recouvrement agit en tant que mandataire du créancier ne peut réclamer au nom de ce dernier que le principal de la dette. Seul un juge, saisi à cet effet, peut ordonner le paiements de dommages-intérêts ou de pénalités recouvrés uniquement par voie d'huissier de justice territorialement compétent auprès du domicile du débiteur.Souvent les sociétés de recouvrement amiable facturent des frais illégaux, jouant sur la confusion avec les intérêts légaux. <souligne>De m^me, il peut arriver, comme c'est mon cas, que de véritables huissiers de justice se saissisent du dossier de recouvrement racheté aupres de la societe originellement détentrice de la créance. cet huissier de justice ne possède pas toutes les prérogatives habituelles de sa profession, mais agit dans ce cas, comme simple mandataire doté de pouvoirs identiques à un organisme de recouvrement amiable.</souligne>
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Négociez avec Marcotte-Ruffin et non avec le forum et lisez ma dernière réponse.
Une juriste de votre niveau doit pouvoir faire baisser le prix aux alentours de dix à quinze pour cent du principal c'est à dire au niveau du prix de titrisation ...!

Et, si vous êtes sage, un mois après la première bafouille MF propose de lui-même une réduc'..
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