Besoin daide par des femmes de mn cas

petite -  
 Utilisateur anonyme -
Bonjour,
ca fait un peu plus d'un an que je vis avec mon ami,je suis jeune et sans enfant, mais extremement attachée a lui.Cela doit faire la cinquieme fois qu'il me frappe mais de plus en plus violent,je pensais que c'etait passagé et a ce que j'entend,"cela commence toujours comme ca",j'ai peur que ca ne continu et empire puis finir a l'hopital.Y a t'il des moyens de faire changer ca, thérapeute ou autre ou dois je vraiment partir,en sachant que je ne pourrais expliquer la raison a personne car mes proches ne me comprendrons pas, et que je pense avoir du mal a partir car ses violences ne sont pas frequentes mais quand meme tres violentes

2 réponses

maylin27 Messages postés 28278 Date d'inscription   Statut Contributeur Dernière intervention   8 752
 
bonjour,

les conseilleurs ne sont pas les payeurs, mais en tant que femme, je n'accepterai pas d'etre frappée. il existe des thérapies, mais acceptera t il de les suivre ? Imaginer votre vie dans quelques années. Vous vivez déjà dans la peur que cela recommence et cela a recommence et recommencera. La violence conjugale est un fléau et c'est inacceptable de frapper. L'amour ne doit pas faire du mal. Vous souffrirez certainement si vous partez, mais toujours moins et moins longtemps que si vous restez avec votre compagnon.
cordialement
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Utilisateur anonyme
 
Bonjour.

SOS femmes battues


Les femmes victimes de violences conjugales peuvent désormais
trouver de l'aide au bout du fil, en composant le 3919 !

Entre 11 et 23 assistantes sociales, éducatrices spécialisées ou
psychologues assurent la permanence.

Elles écoutent les compagnes d'hommes violents et les guident,
si nécessaire, en langue étrangère : anglais, arabe ou espagnol.

Ce numéro, mis en place par le gouvernement, est disponible au
coût d'un appel local, du lundi au samedi, de 8h à 22h.

Il garantit, bien entendu, l'anonymat de la victime...


D'après les chiffres de la Direction générale de la police nationale,
une femme décède tous les trois jours sous les coups de son conjoint.

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