Jours férié et garde des enfants
Résolu/Fermé
A voir également:
- Garde enfant jour férié
- Jour ouvré - Guide
- Calcul majoration jour férié - - Congés
- Attestation temoin garde enfant ✓ - Forum garde d'enfants
- Peut-on déplacer un jour de repos sur un jour férié - Forum congés
- Rtt cadre forfait jour 2024 - Guide
5 réponses
australe13
Messages postés
18026
Date d'inscription
dimanche 8 juin 2008
Statut
Modérateur
Dernière intervention
4 mai 2020
6 732
28 mai 2011 à 20:54
28 mai 2011 à 20:54
Bonsoir,
Lorsque le jour férié est accolé au week end, soit le lundi ou le vendredi,
le papa peut prendre l' enfant la veille du jour férié comme pour un week end normal.
Pour le jeudi férié ce n'est pas le cas, le vendredi n'est pas férié.
Voyez directement avec le papa pour voir s'il peut y avoir un arrangement à l'amiable.
Lorsque le jour férié est accolé au week end, soit le lundi ou le vendredi,
le papa peut prendre l' enfant la veille du jour férié comme pour un week end normal.
Pour le jeudi férié ce n'est pas le cas, le vendredi n'est pas férié.
Voyez directement avec le papa pour voir s'il peut y avoir un arrangement à l'amiable.
Pour ma part, je regarderais ce qui est bon pour l'enfant, pas ce qui est comptable.
J'espère que vous pensez, comme moi, qu'un enfant n'a pas à subir de trop la décision de séparation des parents, et donc, doit voir le plus possible l'un comme l'autre.
Alors prenez un calendrier, regardez le nombre de jours où vous avez la possibilité de prendre votre enfant dans vos bras et comptez le nombre de jours où c'est possible pour le père.
Si vous pensez que votre enfant à le droit à autant de jours câlins avec le papa qu'avec la maman, ne vous posez plus de question : Pour l'amour maternel que je suis certain que vous avez en vous pour cet enfant, offrez-lui plein de jours câlins en plus avec le papa.
Si maintenant, d'autres raisons que l'amour pour l'enfant entraient en jeu, alors le papa devrait faire comme à son habitude, et c'est australe13 qui dit vrai : "aller chercher son enfant comme un week-end normal".
Mais voilà, ce n'est pas non plus un week-end normal puisque, si l'enfant doit être récupéré à la sortie des classes le vendredi soir, la grille sera fermée.
En partant de là, et face aux multiples perversions dont nous, adultes, sommes capables et surtout face à une justice qui n'a souvent comme réponse, "Débrouillez-vous entre vous!, tous les scenari sont possibles.
Voici le mien, en tant que papa, pour ce fameux week-end :
Mardi soir, dernier soir de sortie d'école avant mon week-end (puisque le vendredi n'en sera pas un), j'irai chercher mon enfant à l'école. Sa maman sera là et ne me le donnera pas ou, au pire, ne le mettra pas en cours le mardi après-midi pour ne pas me voir le soir.
Le jeudi matin, je me rendrai au domicile de la maman pour récupérer mon enfant (j'ai le droit de me dire, même naïvement que, si les adultes considèrent pour leur bon plaisir personnel qu'un pont fait partie à part entière du jour férié attenant, il devrait logiquement en être pareil pour mon enfant) mais elle ne répondra pas à l'interphone.
Pour finir, le vendredi soir, je me rendrai tout d'abord à la sortie de l'école pour vérifier que les grilles sont bien fermée et que la maman ne m'y attend pas ("tant bien entendu certain qu'elle n'y sera pas) mais surtout pour qu'elle ne m'accuse pas, par main courante au commissariat comme à son habitude, que je ne suis pas venue chercher l'enfant. Puis je me rendrai à son domicile mais elle ne répondra pas sous prétexte soit que ce n'est pas à la maison que je dois récupérer mon enfant mais à l'école, soit que je n'avais qu'à venir le chercher, au choix, le mardi soir pour les raisons indiquées plus haut, le jeudi matin chez elle, idem...
Dans tous les cas de mauvaise foi, je n'aurai pas ma fille. La police ne prendra donc aucune plainte car ce genre de week-end dont ne veut pas s'occuper la justice aux affaires familiales est flou et tout le monde le sait et personne n'agit.
Conclusion, lili, pensez à votre enfant de tout votre amour et laissez lui le plus possible les bras de son papa. Il vous remerciera plus tard.
Respectueusement.
J'espère que vous pensez, comme moi, qu'un enfant n'a pas à subir de trop la décision de séparation des parents, et donc, doit voir le plus possible l'un comme l'autre.
Alors prenez un calendrier, regardez le nombre de jours où vous avez la possibilité de prendre votre enfant dans vos bras et comptez le nombre de jours où c'est possible pour le père.
Si vous pensez que votre enfant à le droit à autant de jours câlins avec le papa qu'avec la maman, ne vous posez plus de question : Pour l'amour maternel que je suis certain que vous avez en vous pour cet enfant, offrez-lui plein de jours câlins en plus avec le papa.
Si maintenant, d'autres raisons que l'amour pour l'enfant entraient en jeu, alors le papa devrait faire comme à son habitude, et c'est australe13 qui dit vrai : "aller chercher son enfant comme un week-end normal".
Mais voilà, ce n'est pas non plus un week-end normal puisque, si l'enfant doit être récupéré à la sortie des classes le vendredi soir, la grille sera fermée.
En partant de là, et face aux multiples perversions dont nous, adultes, sommes capables et surtout face à une justice qui n'a souvent comme réponse, "Débrouillez-vous entre vous!, tous les scenari sont possibles.
Voici le mien, en tant que papa, pour ce fameux week-end :
Mardi soir, dernier soir de sortie d'école avant mon week-end (puisque le vendredi n'en sera pas un), j'irai chercher mon enfant à l'école. Sa maman sera là et ne me le donnera pas ou, au pire, ne le mettra pas en cours le mardi après-midi pour ne pas me voir le soir.
Le jeudi matin, je me rendrai au domicile de la maman pour récupérer mon enfant (j'ai le droit de me dire, même naïvement que, si les adultes considèrent pour leur bon plaisir personnel qu'un pont fait partie à part entière du jour férié attenant, il devrait logiquement en être pareil pour mon enfant) mais elle ne répondra pas à l'interphone.
Pour finir, le vendredi soir, je me rendrai tout d'abord à la sortie de l'école pour vérifier que les grilles sont bien fermée et que la maman ne m'y attend pas ("tant bien entendu certain qu'elle n'y sera pas) mais surtout pour qu'elle ne m'accuse pas, par main courante au commissariat comme à son habitude, que je ne suis pas venue chercher l'enfant. Puis je me rendrai à son domicile mais elle ne répondra pas sous prétexte soit que ce n'est pas à la maison que je dois récupérer mon enfant mais à l'école, soit que je n'avais qu'à venir le chercher, au choix, le mardi soir pour les raisons indiquées plus haut, le jeudi matin chez elle, idem...
Dans tous les cas de mauvaise foi, je n'aurai pas ma fille. La police ne prendra donc aucune plainte car ce genre de week-end dont ne veut pas s'occuper la justice aux affaires familiales est flou et tout le monde le sait et personne n'agit.
Conclusion, lili, pensez à votre enfant de tout votre amour et laissez lui le plus possible les bras de son papa. Il vous remerciera plus tard.
Respectueusement.
sophiag
Messages postés
38396
Date d'inscription
samedi 20 décembre 2008
Statut
Contributeur
Dernière intervention
10 mars 2020
9 187
2 juin 2011 à 05:34
2 juin 2011 à 05:34
Bonjour Alfed
Qu'attendez vous donc pour saisir le JAF afin de signaler ces comportements ?
Qu'attendez vous donc pour saisir le JAF afin de signaler ces comportements ?
Sans vouloir accuser personne, je n'ai jamais trop compris à quoi m'auront servi, voire mieux, à quoi auront servi à mon enfant, mes trois passages devant des J.A.F.
Trois fois pour, à chaque fois, recevoir des grosses de tribunal toujours floues du force qui me fait dire que si je travaillais aussi mal dans mon job, il y a longtemps que soit l'entreprise aurait fermé boutique, ou que j'aurais été remercié.
Passage devant des gens intouchables, que l'on ne pourra jamais recontacter pour explications ou suivi de dossier. Passage où lorsqu'on souligne que tel ou tel flou risque de poser problème ou représenter une faille renforçant la toute puissance d'un des parents contre l'autre, la réponse donnée aura donc toujours été "On en peut pas penser à tout, vous n'avez qu'à vous entendre à l'amiable".
Si je passe devant la Justice, c'est pour que, au contraire, elle pense à tout ce que je n'imagine pas, forte de son expérience, afin de prévoir tel ou tel dérapage.
Ca n'aura jamais été le cas!
La première réflexion que la justice pourrait se faire, c'est "Si une certaine catégorie de gens se présente devant nous alors que rien ne l'oblige à le faire, c'est qu'il ne doit pas y avoir d'amiable possible".
A chaque passage devant un JAF pour souligner les problèmes survenus lorsque aucune plainte n'aura jamais abouti à rien de probant, la réponse du JAF aura été qu'il n'est pas dans ses attributions de faire respecter ses propres ordonnances!!!!!
Oui mais alors qui? Et s'il n'y a personne, pourquoi un simulacre d'ordonnance?
Malgré tout, pour répondre à Sophiag, il y a déjà plusieurs semaines, j'ai relancé une nouvelles fois ma demande en trois exemplaires manuscrits (comme si les ordinateurs n'existaient pas et comme pour mieux nous faire perdre notre temps), et j'attends la réponse. Elle sera forcément tardive. On me demandera alors une tonne de papiers à fournir pour cette demande qui ne se résumerait qu'en une phrase "aidez mon enfant!" (ou une autre "c'est quand que vous allez un peu vous mettre au travail?"). Papiers souvent représentant les diverses photocopies des anciens passages devant eux, preuve qu'il n'y a aucun suivi, comme aucune trace, quand il serait bien plus efficace de repasser devant la personne qui nous aurait déjà reçu et qui pourrait relire ses fiches). Tonne de papiers, aussi, à porter au tribunal le jour de l'audience et qui n'auront en rien rapport avec la problématique soulevée. Je me retrouverai alors comme un numéro auquel on ne donnera que dix minutes pour exposer un problème qui aura pour premier risque d'être aussi mal traité que les trois fois passées.
Malgré tous ces mots quelque peu sombres mais si réalistes, si vécus, je garde toujours espoir en me disant : "Et si cette fois..."
Trois fois pour, à chaque fois, recevoir des grosses de tribunal toujours floues du force qui me fait dire que si je travaillais aussi mal dans mon job, il y a longtemps que soit l'entreprise aurait fermé boutique, ou que j'aurais été remercié.
Passage devant des gens intouchables, que l'on ne pourra jamais recontacter pour explications ou suivi de dossier. Passage où lorsqu'on souligne que tel ou tel flou risque de poser problème ou représenter une faille renforçant la toute puissance d'un des parents contre l'autre, la réponse donnée aura donc toujours été "On en peut pas penser à tout, vous n'avez qu'à vous entendre à l'amiable".
Si je passe devant la Justice, c'est pour que, au contraire, elle pense à tout ce que je n'imagine pas, forte de son expérience, afin de prévoir tel ou tel dérapage.
Ca n'aura jamais été le cas!
La première réflexion que la justice pourrait se faire, c'est "Si une certaine catégorie de gens se présente devant nous alors que rien ne l'oblige à le faire, c'est qu'il ne doit pas y avoir d'amiable possible".
A chaque passage devant un JAF pour souligner les problèmes survenus lorsque aucune plainte n'aura jamais abouti à rien de probant, la réponse du JAF aura été qu'il n'est pas dans ses attributions de faire respecter ses propres ordonnances!!!!!
Oui mais alors qui? Et s'il n'y a personne, pourquoi un simulacre d'ordonnance?
Malgré tout, pour répondre à Sophiag, il y a déjà plusieurs semaines, j'ai relancé une nouvelles fois ma demande en trois exemplaires manuscrits (comme si les ordinateurs n'existaient pas et comme pour mieux nous faire perdre notre temps), et j'attends la réponse. Elle sera forcément tardive. On me demandera alors une tonne de papiers à fournir pour cette demande qui ne se résumerait qu'en une phrase "aidez mon enfant!" (ou une autre "c'est quand que vous allez un peu vous mettre au travail?"). Papiers souvent représentant les diverses photocopies des anciens passages devant eux, preuve qu'il n'y a aucun suivi, comme aucune trace, quand il serait bien plus efficace de repasser devant la personne qui nous aurait déjà reçu et qui pourrait relire ses fiches). Tonne de papiers, aussi, à porter au tribunal le jour de l'audience et qui n'auront en rien rapport avec la problématique soulevée. Je me retrouverai alors comme un numéro auquel on ne donnera que dix minutes pour exposer un problème qui aura pour premier risque d'être aussi mal traité que les trois fois passées.
Malgré tous ces mots quelque peu sombres mais si réalistes, si vécus, je garde toujours espoir en me disant : "Et si cette fois..."
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
licorne22
Messages postés
1
Date d'inscription
samedi 18 octobre 2014
Statut
Membre
Dernière intervention
18 octobre 2014
18 oct. 2014 à 14:13
18 oct. 2014 à 14:13
moi, perso avec le papa ça se passe très mal, aucune communication depuis qu'ils nous a laissé alors que notre enfant avait 2 mois et demi. 2 fois au JAF, première fois bien passé, deuxième fois, du délire avec un juge qui s'est planté sur toute la ligne même sur le nombre de kilomètres entre l'école et la résidence de son père mais impossible de pouvoir avoir un contact avec ce juge qui s'en fout certainement, il gagne bien sa vie, et leurs erreurs ne sont pas prises en compte !!! Là, d'après ce que vit mon enfant chez eux, l'assistante sociale me dit qu'il faut impérativement saisir le JAF, mais j'ai peur de retomber sur un juge vereux et que ce soit encore lui qui ai l'avantage ! je suis perdue et j'ai l'impression d'être une mauvaise maman du fait que je ne fais rien pour aider ma fille qui me reproche souvent de la laisser aller chez son père même si maintenant elle a compris que ça n'était pas moi mais un juge qui a décidé. Et de plus, je ne vais pas me voiler la face, j'ai surtout peur que mon enfant subisse encore plus que ce qu'elle vit chez eux en ce moment. A savoir que ce fameux juge, alors que mon enfant n'avait jamais passé une seule nuit chez son père, a décidé de lui donner la garde du vendredi après l'école jusqu'au lundi matin à l'école ainsi que toute les moitiés des vacances scolaire et le pire de tout c'est que j'ai reçu la grosse du jugement le vendredi des vacances de noël . Impossible de la préparer psychologiquement, la cata !!!! j'ai trouvé ça vraiment honteux. mais vu comment ça se passe ces derniers temps avec notre enfant quand il est chez eux, je pense prendre le taureau par les cornes et ressaisir le JAF en espérant tomber sur un juge compréhensif d'autant que mon enfant âgé de presque 8 ans parle. mais je dois avouée que je suis très malheureuse de voir mon enfant dans cet état d'esprit qui va jusqu'à me dire qu'il aimerait être une fée pour pouvoir réaliser son voeux !