Haie de troenes plantée il y a 50 ans voir +

clairemarie - 27 mars 2011 à 10:07
 Utilisateur anonyme - 27 mars 2011 à 10:25
Bonjour,
j'ai une haie de troenes, plantée il y a au moins 50 ans, à environ 30 cms du trottoir (de la voie publique). Les locataires ne taillant pas correctement cette haie a finie par prendre de la hauteur et de l'épaisseur. Quand nous y habitions mon mari taillait la haie 4 fois par an et elle ne dépassait pas sur la voie publique. Maintenant à cause des locataires la police municipale nous ordonne, avec un courrier et mise en demeure, sans avertissement préable, dans un délai de un mois l'abbatage de ces troenes.Ont-ils le droit de nous demander cela. Puis-je me retourner vers les locataires qui n'ont pas fait leur travail, la haie fait 20 mètres de long environ. Les frais engagés ne devraient pas etre à notre charge. Je vous remercie de votre réponse.

1 réponse

Utilisateur anonyme
27 mars 2011 à 10:25
bonjour : Il ne faut pas trop compter sur les locataires pour faire des travaux d'entretien de jardin, même si, en principe, ils devraient le faire. (vous leur joignez une photocopie de la lettre que vous avez reçue) De plus, ils ne sont pas forcément équipés pour transporter les déchets verts, et surtout ne sont pas motivés : ils ne sont pas propriétaires, et sauf de tomber sur une perle rare...

A votre place, je préviendrais le locataire que je viendrais faire une taille sévère, à la demande de la mairie : Un coup de tronçonneuse à 50 cm du sol, et on déblaie tout ça avec une remorque ou un fourgon.

Ce sera rapide et moins pénible que de déterrer. Et avant que ça repousse vous aurez la paix pour un moment.

Ou alors, vous les prévenez que comme ils n'entretiennent pas vous allez faire tout arracher par un paysagiste, et que vous leur ferez payer la valeur d'un entretient qu'ils n'ont pas fait.
Et vous faites faire un devis de taille. Ainsi ils participeront pour le montant de la taille. Si ça se trouve cela coûte aussi cher que l'entretien.

En location, il faut simplifier au maximum, car on a bien assez de souci comme ça.
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