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2 réponses
Bonjour,
Je viens de lire la convention collective de la métallurgie, et les heures sont bien cumulables. De plus on peut les prendre lors d'une démission.
Ci après l'extrait de la CC:
==========================
Quand le préavis est observé, qu'il soit consécutif à un licenciement ou à une démission, l'ingénieur ou cadre est autorisé à s'absenter, en une ou plusieurs fois, en accord avec la direction, pour rechercher un emploi, pendant 50 heures par mois. Ces absences n'entraînent pas de réduction d'appointements. Si
l'ingénieur ou cadre n'utilise pas, sur la demande de son employeur, tout ou partie de ces heures, il percevra à son départ une indemnité correspondant au nombre d'heures inutilisées si ces heures n'ont pas été bloquées, en accord avec son employeur avant l'expiration du préavis.
==========================
Donc à mon avis, il faut demander...
Si l'employeur refuse, il devrait être obligé de les payer en tout cas, soit 1 mois de salaire environ.
Je viens de lire la convention collective de la métallurgie, et les heures sont bien cumulables. De plus on peut les prendre lors d'une démission.
Ci après l'extrait de la CC:
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Quand le préavis est observé, qu'il soit consécutif à un licenciement ou à une démission, l'ingénieur ou cadre est autorisé à s'absenter, en une ou plusieurs fois, en accord avec la direction, pour rechercher un emploi, pendant 50 heures par mois. Ces absences n'entraînent pas de réduction d'appointements. Si
l'ingénieur ou cadre n'utilise pas, sur la demande de son employeur, tout ou partie de ces heures, il percevra à son départ une indemnité correspondant au nombre d'heures inutilisées si ces heures n'ont pas été bloquées, en accord avec son employeur avant l'expiration du préavis.
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Donc à mon avis, il faut demander...
Si l'employeur refuse, il devrait être obligé de les payer en tout cas, soit 1 mois de salaire environ.
3 nov. 2010 à 15:51
Cette disposition de la CC de la mettallurgie n'est pas neuve. Deux exemples d'application de cette même clause dans la même entreprise à quelques mois d'écarts.
Je démissionne de mon job en février 95. Je suis assez pressé et je demande à réduire au max le préavis qui était normalement de trois mois. Comme je venais de réceptionner l'installation sur laquelle je bossais et qu'il n'y avait pas de besoin urgent sur la période sur un autre chantier, mon boss m'accorde un départ en trois semaines. Juste le temps de terminer les rapports et la mise à jour des documents.
Au bout des trois semaines j'ai touché mon solde de tous comptes avec inclus les 50h au prorata des 15/22 jours, en cash.
Un collègue file sa démission 6 mois plus tard. Ca l'arrangeait de toucher également du cash. Il fait ses trois mois, mais au bout du compte, on ne le paye pas car il n'avait pas d'accord écrit.
Conclusion, mieux vaut mettre les choses au clair dès le départ et donner l'impression que l'on préfére travailler 5 à 6 heures par jour, ou à la rigueur 3 ou 4 jours par semaine et déposer des demandes d'absence, écrites, pour ce faire. Ca obligera les RH à se positionner par écrit.
Dernier point, ces heures ne sont pas dues si vous avez déjà trouver un travail. Donc évitez d'en donner l'impression.