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8 réponses
Alors pour conclure ma réflexion sur ce sujet :
Il y'a deux choses à prendre en compte, le légal et le moral.
C'est le côté moral de l'affaire que j'ai décidé de prendre en compte. En effet, quand les enfants seront en âge de comprendre, je leur expliquerai à tous que mon beau fils, leur "demi" frère, fait partie à part entière de la fratrie, et qu'à ce titre il héritera de la même manière que ses "demi" frères et soeurs.
Je pense qu'à partir du moment où on aime ses beaux-enfants comme ses propres enfants on ne peut pas faire de différence entre eux. Le plus important pour moi est qu'ils comprennent tous bien notre décisions et qu'il n'y ait pas de tensions entre eux pour de si vils sujets après notre mort.
D'un point de vue moral je ne peut pas envisager de ne pas lui donner autant qu'un autre sous prétexte qu'il a un père qui lui donnera aussi quelque chose.
L'héritage, bien plus que la valeur monétaire qu'il représente, a pour moi une signification symbolique, et je ne pourrais pas envisager de moins lui donner. La plus grande partie de son héritage sera dans son éducation, dans la façon qu'il a de se laver les mains, de parler, de faire ses lacets, de monter sur son vélo...
Quand on a tant partagé avec un enfant, les liens du sang et le fait qu'il ait un autre parent biologique du même sexe que moi qu'il voit régulièrement un weekend sur deux et la moitié des vacances n'y change rien.
J'espère assez réussir l'éducation de mes enfants à venir pour qu'il ne se posent pas longtemps la question de la justice de mon choix.
La fonction de beau-parent n'est pas forcement une place évidente mais elle devient encore plus belle quand elle donne l'envie d'aimer autant tout en refusant d'imposer un retour.
Il y'a deux choses à prendre en compte, le légal et le moral.
C'est le côté moral de l'affaire que j'ai décidé de prendre en compte. En effet, quand les enfants seront en âge de comprendre, je leur expliquerai à tous que mon beau fils, leur "demi" frère, fait partie à part entière de la fratrie, et qu'à ce titre il héritera de la même manière que ses "demi" frères et soeurs.
Je pense qu'à partir du moment où on aime ses beaux-enfants comme ses propres enfants on ne peut pas faire de différence entre eux. Le plus important pour moi est qu'ils comprennent tous bien notre décisions et qu'il n'y ait pas de tensions entre eux pour de si vils sujets après notre mort.
D'un point de vue moral je ne peut pas envisager de ne pas lui donner autant qu'un autre sous prétexte qu'il a un père qui lui donnera aussi quelque chose.
L'héritage, bien plus que la valeur monétaire qu'il représente, a pour moi une signification symbolique, et je ne pourrais pas envisager de moins lui donner. La plus grande partie de son héritage sera dans son éducation, dans la façon qu'il a de se laver les mains, de parler, de faire ses lacets, de monter sur son vélo...
Quand on a tant partagé avec un enfant, les liens du sang et le fait qu'il ait un autre parent biologique du même sexe que moi qu'il voit régulièrement un weekend sur deux et la moitié des vacances n'y change rien.
J'espère assez réussir l'éducation de mes enfants à venir pour qu'il ne se posent pas longtemps la question de la justice de mon choix.
La fonction de beau-parent n'est pas forcement une place évidente mais elle devient encore plus belle quand elle donne l'envie d'aimer autant tout en refusant d'imposer un retour.